Il met pied a terre. Un peu moins vite que sa fille, ni aussi élégamment. Mais il l'avouera en toute circonstance : Les cheveux et lui faisait bien deux. Lointains sont les voyages et encore plus ses aventures d'enfants dans les sables chaud.
Ses pieds foulent le sol,il inspire l'air frais de l'automne. Les feuilles des caducés sont majoritairement tombés. D'ici peu ils seront entierement nus.
Deja sa fille avance vert les portes. Il la rejoint, prends soin de remettre sa cape en place. Manie d'un père trop inquiet pour sa fille.
Il la devance et frappe à la lourde porte de la Conciergerie dans l'espoir de pouvoir s'abriter du froid qui déjà, pénétrait leur vêtement.
Il croise le regard de Nour, lui sourit tendrement.