Eloin Recteur de l'Ordre de Cîteaux
Nombre de messages : 5507 Age : 36 résidence ds les RR : Abbaye Ste-Illinda, Guyenne Date d'inscription : 13/02/2008
| Sujet: [Livre] Celse - Traité de Médecine Ven 10 Juil - 11:17 | |
| TRAITÉ DE LA MÉDECINE.Explication des signes abréviatifs employés pour indiquer les doses des médicaments. Le p, qui n’est précédé ou suivi d’aucune marque, désigne une livre. Quand une marque le précède ou le suit, il signifie simplement pondo;ce qui veut dire de poids ou pesant.Le signe X indique le denier d’argent ou le drachme; et comme il est souvent représente sur les monnaies ou dans les manuscrits par une figure qui ressemble un peu à l’astérisque de la typographie, plusieurs éditeurs, pour simplifier, ont remplacé le X par cette astérisque. Le trait unique — désigne une once; les deux traits =, deux onces, et les deux doubles traits, = = quatre onces. Quant aux figures Z, 1et T, il paraît certain qu’elles désignaient également deux onces, et que cette diversité des signes, pour exprimer une même quantité, est uniquement due à l’habitude ou à la fantaisie des différents copistes. Il résulte du beau travail de M. Letronne (Considérations générales sur l’évaluation des monnaies grecques et romaines,in-4°; Paris, 1817, p. 8, 9, 126 et passim),que la livre romaine contenait environ 6,160 grains, ou 10 onces 5 gros 40 grains, ou 327 grammes 18; que le denier d’argent ou drachme pesait grains; et le scrupule 21,375 grains. Il est assez remarquable que notre gros médicinal ou drachme, ainsi que notre scrupule, soient encore aujourd’hui, h peu de chose près, du même poids qu’au siècle d’Auguste. On trouve aussi mentionnées dans Celse quelques mesures de capacité, qui sont l’hémine, l’acétabule, le sextarius ou setier, et le cyathus ou la verrée. La première contenait 60 drachmes, et la seconde en contenait 15. Le sextarius équivalait à deux hémines, et le cyathus à deux onces. (Voy.Celse, édit. Delalain, 1821, préface, vii, viii et ix) introduction LIVRE PREMIER.
Préface I. De la manière de vire qui convient aux personnes bien portantes II. Des précautions que doivent prendre les personnes délicates III. Circonstances accidentelles qui réclament des soins particuliers. — Autres règles relatives aux tempéraments, aux sexes, aux âges et aux saisons IV. Moyens de remédier à la faiblesse de certaines parties du corps, et à celle de la tête en particulier V. Précautions à prendre contre la disposition aux ophtalmies, aux rhumes, aux maux de gorge et aux fluxions VI. Des moyens diététiques contre la trop grande liberté du ventre VIl. De ces mêmes moyens contre les douleurs habituelles du gros intestin, appelé côlon VIII. Du régime à observer dans la faiblesse d'estomac IX. De celui qu'on doit prescrire aux personnes qui éprouvent des douleurs de nerfs X. Des précautions à prendre quand il règne des maladies pestilentielles LIVRE II. PRÉAMBULE. — Quelles sont les époques de l'année, les températures, les périodes de la vie, et les constitutions qui résistent ou prédisposent le plus aux influences morbides, et quel est le genre de maladies qu'on a le plus à redouter I. Il n'est pas de saison plus favorable que le printemps; vient ensuite l'hiver; on court plus de dangers en été, et de bien plus grands encore en automne. Chaudes ou froides, les températures égales sont les meilleures, et les plus fâcheuses sont caractérisées par d'extrêmes variations. — Maladies qui se rattachent à ces diverses saisons. ou qui s'expliquent par l'influence de l'âge et de la constitution II. Des signes précurseurs de la maladie III. Des signes favorables IV Del signes fâcheux V. Des signes qui annoncent que la maladie sera longue VI. Des signes qui présagent la mort VII. Des signes propres à chaque espèce de maladie VIII. Des signes qui font espérer ou craindre dans chaque espèce de maladie IX. Des moyens de traitement applicables aux maladies X. De la saignée par la lancette XI. De la saignée par les ventouses XII. De la purgation XIII. Du vomissement XIV. Des frictions XV. De la gestation XVI. De la diète XVII. De la sueur XVIII. Des aliments solides et liquides — Celse les divise en trois classes d'après leurs qualités nutritives XIX. De la nature et des propriétés de chaque espèce d'aliment XX. Des aliments de bon suc XXI. De aliments de mauvais suc XXII. Des aliments doux et de ceux qui sont âcres XXIII. Des aliments qui épaississent ou atténuent la pituite XXIV. Des aliments convenables à l'estomac XXV. Des aliments nuisibles à l'estomac XXVI. Des aliments qui produisent des flatuosités XXVII. Des aliments qui réchauffent ou qui rafraîchissent XXVIII. Des aliments qui se corrompent facilement dans l'estomac XXIX. Des aliments qui relâchent le ventre XXX. Des aliments qui resserrent le ventre XXXI. Des aliments qui sollicitent les urines. XXXII. Des aliments qui portent au sommeil. XXXII. Des moyens diététiques qui attirent les humeurs au dehors. LIVRE III.Chap. I. Des différentes espèces de maladies. II. Il est facile de savoir dès le début si la maladie est aiguë ou chronique; et cela n’est pas vrai seulement pour les affections dont la forme est constante mais pour celles aussi dont le caractère est variable. — Comment on reconnaît si le mal est à la période d’augment, d’état ou de déclin. — Moyens diététiques destinés à combattre les premiers symptômes d’une maladie. III. Des différentes espèces de fièvres. IV. Traitement des fièvres; multiplicité des méthodes curatives. V. Considérations relatives aux fièvres en particulier; et d’abord du temps où il convient de donner à manger aux fébricitants.VI. De la soif qui accompagne la fièvre. —Quand doit-on faire boire les malades. — Le pouls, auquel nous accordons tant de créance, est souvent la cause des plus grandes erreurs, car il présente des variations nombreuse, en raison de l’âge, des sexes et des tempéraments. — Une seconde indication à laquelle noua ajoutons foi et qui nous trompe également, c’est la chaleur; car elle peut s’élever par l’effet de la température, du travail, du sommeil, de la peur et des anxiétés morales. — Moyens de constater l’état fébrile. VII. Du traitement des fièvres pestilentielles. VIII. Du traitement de la fièvre que les médecins appellent hémitritée.IX. Du traitement des fièvres lentes.X. Il faut examiner ai la fièvre existe seule, ou si elle est accompagnée d’autres signes fâcheux, c’est-à-dire de douleur de tête, de sècheresse de la langue et de gonflement des hypocondres. — Des remèdes propres à combattre ces différents symptômes.XI. Remèdes contre le frisson qui précède la fièvre.XII. Remèdes contre le tremblement dans les fièvres.XIII. Traitement de la fièvre quotidienne. XIV. Traitement de la fièvre tierce.XV. Traitement de la fièvre quarte.XVI. Traitement de la fièvre double-quarte. XVII. Traitement de la fièvre qui de quarte est devenue quotidienne.XVIII. Des trois espèces de délire; et d’abord du traitement de celui que les Grecs appellent frénésie.XIX. De la maladie cardiaque.XX. De la léthargie. XXI. De l’hydropisie. — On en reconnaît trois espèces: la première a reçu des Grecs le nom de tympanite,la seconde celui de leucophlegmatie ou hyposarque,et la troisième celui d’ascite.— Traitement de chaque espèce.XXII. De la consomption. — On distingue aussi trois sortes de consomption: on les nomme en grec, atrophie, cachexie, phtisie.—Traitement.XXIII De l’épilepsie. XXIV. De la jaunisse. XXV. De l’éléphantiasis. XXVI. De L’apoplexie.XXVII. De la paralysie. LIVRE IVI. De la situation des parties internes du corps. II. Du traitement des maladies de la tête.III. Des maladies qui affectent le cou.IV. Des maladies du gosier; et d’abord de l’angine. V. Des maladies de l’estomac.VI. Des douleurs de côté. VII. Des maladies des viscères; et premièrement de celles des poumons.VIII. Des maladies du foie.IX. Des maladies de la rate X. Des maladies des reins XI. Des maladies intestinales; et d’abord du choléra.XII. De la passion cœliaque; maladie du ventricule. XIII. De la maladie de l’intestin grêle.XIV. De la maladie du gros intestin.XV. De la dysenterie. XVI. De la lienterie. XVII. Des vers intestinaux.XVIII. Du ténesme.XIX. De la diarrhée.XX. De l’hystérie. XXI. Des pertes séminales.XXII. Des maladies des hanches.XXIII. De la douleur des genoux.XXIV. Des maladies qui attaquent les articulations des mains et des pieds.XXV. De la convalescence, et du régime à suivre pour la confirmer.LIVRE V.Chap. I. Des médicaments qui arrêtent leshémorragies. II. Des cicatrisants. III. Des maturatifs.IV. Des apéritifs qu’on emploie dans les blessures.V. Des détersifs. VI. Des corrosifs. VII. Des substances qui consument les chairs.VIII. Des caustiques IX. Des escaroliques. X. Des médicaments qui font tomber les croûtes des ulcères Xl. Des résolutifs. XII. Des attractifs et digestifs. XIII. Des moyens propres à enlever les aspérités. XIV. Des remèdes qui favorisent la régénération des chairs. XV. Des émollients. XVI. Des substances qui servent à mondifier la peau. XVII. Du mélange des médicaments simples. —Indication des poids qui servent à formuler. XVIII. Des onguents. XIX. Des emplâtres XX. Destrochisques XXI. Des pessaires XXII. Des médicaments qu’on emploie sous forme sèche.XXIII. Des antidotes, et des cas où ils conviennent. XXIV. Des acopes. XXV. Des pilules. XXVI. Des cinq manières dont le corps peut être lésé. XXVII. Des plaies faites par morsure et de leur traitement.XXVIII. Des ulcères provenant de causes internes. | |
|
Eloin Recteur de l'Ordre de Cîteaux
Nombre de messages : 5507 Age : 36 résidence ds les RR : Abbaye Ste-Illinda, Guyenne Date d'inscription : 13/02/2008
| Sujet: Re: [Livre] Celse - Traité de Médecine Ven 10 Juil - 11:18 | |
| LIVRE VI.Chap. I. Des maladies propres à chaque partie du corps. II. Du porrigo. III. Du sycosis.IV. De l’aréa. V. Des boutons, des lentilles, et des éphélides.VI. Des maladies des yeux; et d’abord de celles dont le traitement consiste en remèdes adoucissants. VII. Des maladies des oreilles. VIII. Des maladies des narines. IX. De la douleur de dents. X. Des amygdales. XI. Des ulcères de la bouche. XII. Des ulcères de la langue. XIII. Des parulies, et des ulcères des gencives. XIV. De l’inflammation de la luette. XV. Des ulcères gangréneux de la bouche. XVI. Des parotides. XVII. Des hernies de l’ombilic. XVIII. Des maladies des parties génitales.XIX. Des ulcères des doigts. LIVRE VII. Préface. De la chirurgie; de ceux qui s’y sont distingués; des qualités nécessaires au chirurgien. — Indication des matières contenues dans ce livre. Chap. I. De l’entorse. II. Des tumeurs qui se développent spontanément; de la manière de les ouvrir et de les traiter. III. Des signes qui servent à caractériser une bonne et une mauvaise suppuration IV. Des fistules V. De l’extraction des traits VI. Des tumeurs de la tête, qu’on appelle ganglions, mélicéris, athéromes et stéatomes VII. Des maladies des yeux qui réclament le se cour de la main, et des opérations VIII. Des maladies des oreilles que les ressources de la chirurgie doivent guérir IX. Des moyens de remédier aux pertes de substance des oreilles, du nez, et des lèvres X. Du polype XI. De l’ozène XII. Des maladies de la bouche qu’il faut traiter par l’opération XIII. Des maladies du cou XIV. Des maladies de l’ombilic XV. De la manière d’évacuer les eaux dans l’hydropisie XVI. Des plaies pénétrantes du bas-ventre, et des blessures des intestins XVII. De la rupture du péritoine XVIII. De la structure des testicules et de leurs maladies. XIX. Du traitement général des maladies des testicules; et premièrement de l’incision qu’on fait à l’aine ou au scrotum, et de la manière de panser cette incision XX. Des moyens de réduire la hernie intestinale, et de l’opération qu’elle comporte XXI. Traitement de la hernie formée par l’épiploon XXII. Traitement du cirsocèle XXIII. Du sarcocèle. — Inutilité de l’opération quand le cordon est affecté XXIV. De la dilatation des veines dans la région inguinale. XXV. Procédé pour recouvrir le gland lorsque le prépuce est trop court XXVI. De la rétention d’urine, et des moyens d’y remédier. — Des calculs vésicaux, et de la taille XXVII. De la gangrène qui peut succéder à l’opération de la taille XXVIII. Manière de remédier aux adhérences contre nature des parues naturelles chez la femme XXIX. De l’extraction du fœtus, mort dans le sein de la mère XXX. Des maladies de l’anus XXXI. Des varices XXXII. De l’adhérence des doigts, et des moyens de les redresser lorsqu’ils sont restés courbés par suite d’accidents XXXIII. De la gangrène LIVRE VIII.Chap. I. Description générale des os II. Des diverses altérations des os; à quels signes on les reconnaît III. De la manière d’exciser les os; du trépan et de la tarière IV. Des fractures du crène V. Des fractures du nezVI. Fractures des cartilages de l’oreille VII. En passant de ces diverses fractures à celles de la mâchoire, il commence par établir quelques généralités sur les fractures des os, afin d’éviter de répétitions trop fréquentes. VIII. De la fracture de la clavicule IX. De la fracture des côtes X. Traitement général de la fracture du bras, de l’avant-bras, de la cuisse, de la jambe et des doigts XI. Des luxations. XII. De la luxation de la mâchoireXIII. De la luxation de la tête. XIV. De la luxation des vertèbres. XV. De la luxation du bras. XVI. De la luxation du cubitusXVII. De la luxation du poignet XVIII. De la luxation des os de la paume de la main XIX. De la luxation des doigts XX. De la luxation du fémur XXI. De la luxation du genou XXII. De la luxation du cou de pied XXIII. De la luxation des os de la plante du pied XXIV. De la luxation des orteils XXV. Des luxations qui sont compliquées de blessures. | |
|