Titca Défunt/Fantôme
Nombre de messages : 6004 Age : 35 résidence ds les RR : Vendôme Date d'inscription : 15/01/2009
| Sujet: Hagiographie de saint Sjnoel Ven 23 Avr - 18:49 | |
| Hagiographie de saint SjnoelFIDELE SERVITEUR DE L'EGLISE ET CO-FONDATEUR DE L'EGLISE HOLLANDAISE dans le Lyonnais-Dauphiné, Sjnoel prit très vite la décision de servir l'Eglise Aristotélicienne. Fervent défenseur de celle-ci, il a juré de la défendre avec sa vie. L'armement ne lui attire guère, il prend alors les décisions qui changent sa vie de simple paysan à un clerc renommé.
Il entra dans l'Ordre Cistercien, ordre monastique renommé, où, le Père Fredstleu, l'accueillit les bras ouverts. Il se fit baptiser à l'abbaye Saint Arnvald de Noirlac, et prit le statut de Frère de l'Ordre Cistercien et accomplit ses études théologiques dans le Séminaire Saint-Benoît. Il prêcha dans les halles de son village, Dié, mais très vite, il entendait parler des contrées de l'Hollande, où l'on parlait le néerlandais, une langue, qu'il pratiquait particulièrement bien.
Au sein de l'Ordre Cistercien, Sjnoel su trouver un appui sans faille notamment auprès de son abbé et ami le Protonotaire Romain Frère Roger qui lui apporta le soutien nécessaire pour s'imposer à la fois comme clerc et comme diplomate romain en Hollande. Plusieurs de ses condisciples amenés à former l'ossature du clergé hollandais furent formés au sein de séminaire Saint Benoît de Noirlac. Un temps, ils formèrent même une belle abbaye hollandaise cistercienne.
Sjnoel rejoignit aussi l'Ordre Teutonique, ordre dont il avait beaucoup entendu parler, et par lequel il se sentait attiré. Grâce à sa maîtrise des langues, il put rapidement évoluer dans cet univers avant tout militaire : il connaissait en effet l'anglais, français, néerlandais et bien d'autres, ce qui faisait de lui un personnage clé pour l'ordre.
Il prit alors la décision de partir en Hollande, après s'être intégré auprès de l'Inquisition Romaine, où il fut accepté après la sélection des candidats. Il poursuivra cette tâche dans les nouvelles terres du nord.
Avec son oncle, il arriva, l'un des premiers en Hollande, terres vides et peuplées d'ignorant, sa seule tâche était de les instruire, mais surtout, de mener une politique religieuse, au nom de la Sainte Eglise Aristotélicienne. Il accéda au Conseil Comtal, en tant que Chancelier. Il déposa sa candidature auprès de la Nonciature Apostolique en même temps, il s'y fit accepter en tant que None Apostolique pour la Hollande.
Quelques mois passèrent, mais la religion importait peu le peuple hollandais, il la rejetait, il l'ignorait totalement, tout comme le Diacre Sjnoel, Diacre de Rotterdam à l'époque. Ne pas cessant sous les hautes pressions des habitant de la cure, il continuait sa progression, et rédigea le Concordat entre l'Eglise Aristotélicienne et le Comté Hollandois. Ce dernier document, fit une telle polémique, que le jeune Sjnoel reçut les pires critiques, mais l'homme se durcissait de plus en plus.
Après un mois de sévères discussions entre les habitants, le conseil, et Sjnoel même, il réussit à faire passer le Concordat tel qu'il était. A partir de ce moment, Sjnoel savait, que les fondations étaient posées.
Il ne tarda pas de déménager à Leiden, ville situé plus au nord de Rotterdam, et prit la charge de Curé. Il dirigea alors, de main ferme cette cure. Peu de temps après, il prit sous ses ailes, le diacre Sonho, qui se trouvait être un excellent élève. A LA TÊTE DU COMTE HOLLANDAIS C'est alors, lors des suivantes élections comtales, que le peuple le reconnut comme Comte de Hollande. Il régna de façon religieuse, plaçant et mettant en avant la religion avant toute autre chose. Fit des réformes importantes au niveau des institutions et réglé les problèmes restants à propos du Concordat ecclésiastique.
Pendant son règne, il entreprit de fonder une section néerlandaise de l'Ordre Teutonique, ordre dans lequel il avait progressé et atteint le statut d'"Ordenskaplan". Il n'avait plus de difficultés de trouver des membres, cependant, il dut s'opposer à quelques obstacles, tel que des personnes désirant la séparation de l'Eglise et de l'Etat, chose inimaginable pour le jeune Curé. Il en fit part à la Curie, qui ne resta pas lâche à propos, et l'Ordre en question, tomba quelques mois plus tard, alors que l'Ordre Teutonique prit de l'ampleur, et vit ses rangs grandir d'environ vingt membres.
Beaucoup d'entre eux furent des disciples ou de très bons amis de Sjnoel, et lui dévouaient leurs vies. Il dit alors:
"Dévouez votre vie à l'Eglise et non à moi, je ne suis que le meneur du troupeau, qui vous guidera vers la Gloire du Très-Haut!"
Ceux-ci comprirent et se mirent en service de l'Eglise dans l'Ordre Teutonique. Le mandat de Sjnoel prit fin, et reçut comme fief le Comté de Gouda, et offrit un commanderie à l'Ordre Teutonique, qui devint l'Intendance. Tout de même qu'il avait fait de Krimpen, la commanderie générale de l'Ordre Teutonique hollandais. Un Ordre Militaro-religieux était désormais puissant dans le comté, qui parlait une autre langue, que la France ou encore le Saint Empire Romain Germanique.
Quelques batailles eurent lieu, contre des bandes de voleurs, de manants, hors-la-loi ou encore des brigands. Au début de celle-ci, Sjnoel fut nommé HochMeister, titre le plus important dans l’Ordre. Il dut donc prendre la tête d'un groupe de teutoniques, bien qu'il ne fût pas lui-même armé. Chaque bataille fut gagnée par les Teutons et l’Armée Hollandaise. La confiance envers l’Ordre Teutonique grandissait, tout de même envers ces membres, qui libèrent à plusieurs reprises des villes du Comté. ARCHEVEQUE DE COLOGNE – LA FIN D’UN GUIDE Bien que la fatigue commençait à toucher le jeune prêtre de plus en plus, il continuait à faire son devoir et sa volonté qui consistait à servir l’Unique, avec rigueur et passion. Les traductions du Droit Canon et du Livre des Vertus avançaient bien, et commençaient à se terminer. Ceci était un travail extrêmement épuisant, un travail de recherche et de connaissances en langues. Il fallait trouver les bonnes personnes, qui avait les bons diplômes en lettres de leur langue, ainsi, il n’en put trouver qu’une bonne dizaine. Cependant, ils furent très compétents et c’est alors que le Curé de Leiden, fut élu Archevêque de Cologne, par l’Assemblée Episcopale du Saint Empire Germain.
Désormais, il était temps de réorganiser et de démarrer l’organisation de l’Archevêché et d’augmenter sa réputation auprès du reste du monde Aristotélicien. Une Inquisition, avec tribunaux, avocats, juges et Procureurs devait être organisée. Une Armée Episcopale devait tout de même être mise au point, jusqu’à ce jour-ci, il n’y en a toujours pas, mais la caserne est achevée, et les traductions faites grâce à une femme, nommé Raldar. Celle-ci s’est investie pour la Garde, hélas, elle aussi, elle à rejoint le Très-Haut.
Tout se mit en place, tout s’organisa, et l’Archevêché commença à trouver son ampleur. Des pèlerinages se dirigeaient vers elle, avec pour mission de prêcher les savoirs de Rome. Ceci ne fit que du bien à la Province nordique. L’Archevêque avait fondé le parti Ultra Montanus en Hollande, celle-ci gagna les élections comtales et une Comtesse de ce parti prit le pouvoir et fit des réformes favorables à l’Eglise.
Deux mois passèrent, et le prêtre tomba malade. Sa fatigue avait atteint un tel point qu’il devait s’exclure du monde grouillant, vivant et c’est alors qu’il partit en retraite spirituelle pour deux mois. Il retourna une seule fois, pour annoncer son départ du monde, il laissa une lettre et son testament. Ensuite, il quitta la Terre pour rejoindre le Soleil, après une vie courte mais intensive, une vie qui agrandit l’Eglise, qui la donnait plus d’ampleur qu’auparavant, et qui, désormais, pouvait compter des centaines de fidèles de plus, prêt à la servir jusqu’à la fin des Temps. HOMMAGES DEDIES A L’ARCHEVEQUE Son Eminence MrGroar :
« Homme volontaire, audacieux, téméraire et parfois impatient, Sjnoel a toujours su écouter ses amis et aider son prochain »
Comtesse Nadia de Ligne : « Gedreven, grondlegger van het Aristotelische Geloof in Holland, een groot man voor het Graafschap. (Personne rigoureuse, fondateur de l’Eglise Aristotélicienne en Hollande, un grand homme pour le Comté Hollandais.) [u]Son Excellence DragothAr Ooms : « Als je Holland zou mogen vergelijken met een gierstveld, dan is Monseigneur Sjnoel het eerste zaadje dat de Almachtige gezaaid heeft in deze vruchtbare bodem. En door dit ene zaadje mag ik dezer dagen genieten van een rijk gevuld veld waar ik goed de Vruchten van de Heer kan oogsten.” ( Si l’on devait comparer l’Hollande à un champ de maîs, alors Monseigneur Sjnoel est la première graine que le Très-Haut a semé dans ce sol fertile. Et grâce à cette première graine j’ai le droit de profiter en ces jours d’un champ bien rempli dans lequel je peux récolter les fruits du Seigneur.) Sa Grâce Karanda de Ligne : “Sjnoel is voor mij de vader van het geloof in Holland, een van de grondleggers van de Raad van Holland en een goedwillende wereldverbeteraar.” (Sjnoel est pour le père de la Foi en Hollande, un des fondateurs du Conseil Hollandais et un sage qui tentait d’améliorer le monde.) Dame Pippa : "Zijn leven stond in dienst van de kerk, vele uren vertaalde hij de geschriften, zijn eenzaamheid hierdoor voor lief nemend, hij had grote wijsheid maar kon slecht tegen domheid en reageerde hier op met groot ongeduld, voor hen die dichtbij zn hart waren had hij echter alle geduld, liefde en zorgzaamheid. Hij wordt erg gemist." (Sa vie était dédiée à l’Eglise, pendant de nombreuses heures, il passait à traduire des textes, sa solitude ne lui importait peu, ses connaissances étaient nombreuses, cependant il ne supportait pas les ignorants et sa réaction sur ses gens là, fut parfois impatiente. Pour ceux près de son cœur, il possédait toute la patience et l’écoute. Il nous manque.) [/i] MOMENTS FORTS ET MIRACULEUX - Citation :
- Rome (APP) - SAINT ARNVALD: MOMENTS FORTS ET MIRACULEUX DE L'AN 1457
Au commencement, le vieux recteur cistercien roger s'était senti mal le 17 mai 1457 et un médecin avant été appelé le lendemain. le verdict avait été sans appel. Le coma du début s'était transformé en une éradication In Gratibus, indices forts de rupture définitive du lien entre l'âme et le corps. Puis surprise, une nouvelle connexion neuronale In Gratibus a eu lieu le 19 Mai 1457 à 02h33. Un espoir était permis. Roger sortira t-il de son coma Res Parendo ? ...
Dans la nuit du 20 mai, un vent mystérieux souffla toutes les bougies de l'Abbatiale Saint Bernard, perturbant les rares moines priant à cette heure pour le rétablissement de Frere Roger. Une douce mélopée intérieure sembla bercer les témoins qui se sentirent confiant et serein dans l'instant. Une expérience difficilement descriptible, ils vous en parleront mieux que moi. Puis le calme fut rompit bizarrement par ce qui ressemblait à des battements d'ailes et un cri de rapace. Un novice affirma même avoir vu un aigle noir près du corps comateux de Frère Roger dans sa cellule.
Le 21 mai, malgré la tristesse due aux ennuis de santé de roger, les célébrations de la Saint Arnvald en l'abbaye cistercienne de Noirlac se déroulent normalement. Quand soudain, le miracle : l'arrivée de l'aigle noir teutonique au dessus du manoir ou reposait le corps de frère Roger. Le frère Roger sort de son coma profond dans un grand fracas et arrive dans l'abbatial pour partager son retour miraculeux. Frère Roger a aperçu Sjnoel, à qui est imputable ce miracle. Un chant improvisé et spontanée partit de l'abbatial pour célébrer cette évènement extraordinaire.
Un beau jour, ou peut-être une nuit, A Noirlac, il s'était endormi Quand soudain, venant de l'abbatiale Et nimbé de lumière, Surgit un aigle noir.
Lentement, Roger ouvrit les yeux, Lentement, il sortit du coma. Près de lui, dans un bruissement d'ailes, Comme tombé du ciel, Il vit Sjnoel.
Il portait, les couleurs teutoniques, Et parlait, avec une voix grave. C'est alors, que l'abbé cistercien, Retrouvant sa vigueur, Se leva de sa couche.
Ô, Très-Haut, Tu l'as touché du doigt, Tu le rends à ses frères, ici-bas. C'est ainsi que Tu es reconnu Ceux qui osent le nier Oh, qu'ils soient pourfendus.
En ce jour, bénit de tous les saints. Le fameux, fondateur hollandais, En héros, sur les terres cisterciennes, Surgissant du passé, Nous était revenu.
"Dis mon Frère, O dis, écoute-nous. Donnes nous, à vivre ta sagesse Fais de nous, des constructeurs d'empires, Au service du Très Haut, Toujours dans la foi.
Comme avant, dans ta vie cistercienne, Comme avant, chez tes freres teutoniques, Comme avant, en la cure de Leiden, Être faiseur de joies Montres nous des merveilles."
Une tenue, couleur de la nuit, Une voix, ou peut-être un rubis J'avais peur, il m'a rendu l'espoir L'oiseau nous a laissé Seuls avec Frère Roger.
L'aigle noir, dans un bruissement d'ailes Repartit, pour regagner le ciel. Et toujours, au paradis solaire Sur ses Frères et ses Sœurs, Il veille sur nos vies.
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sources : https://cistercien.forumactif.com/abbatiale-saint-bernard-f7/ceremonies-du-21-mai-en-l-honneur-de-saint-arnvald-t4086.htm annonces à rome : http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=15396
frereRoger pour l'APP | |
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