veillée de prière en l'honneur des âmes de cisterciens défunts.

Fondateur Nombre de messages : 4123 Date d'inscription : 24/05/2005

Les Frères et Soeurs Cisterciens étaient là pour veillée d'Hommage funèbre en l'honneur de ces Frères disparut.

le père Roger devant l'autel avec les autres prélats cisterciens, fis le signe de croix s'agenouilla avant de se placer derrière celui-ci et pris la parole

Bonjour mes frères, bonjour mes soeurs. Nous somme réunis aujourd'hui, pour célébrer la mémoire de nos frères et soeurs disparue, Tous ont oeuvré pour la gloire d'Aristote et le salut des Hommes, tous ont servient la Sainte Eglise Aristotélicienne et l'Ordre Cistercien, fidèle défenseur et serviteur de l'Aristotélicisme.

Leur souvenir reste intacte dans nos coeurs, célébrons leurs mémoires, pour qu'il ne tombe pas dans l'oublie du quotidien que beaucoup de gens connaissent à travers le monde.

Puis Roger prit le Livre des Vertus:

Citation :: Alors, Dieu créa deux astres au-dessus du monde. L’un, rayonnant de lumière, fut appelé “soleil”. L’autre, luisant froidement, fut nommé “lune”. Dieu expliqua à Oane: “Que votre fidélité soit celle des enfants envers leurs parents ou je serais aussi sévère que les parents envers leurs enfants. Car, lorsque chacun de vous mourra, Je le jugerai, en fonction de la vie qu’il a mené. Le soleil inondera chaque jour le monde de sa lumière, par preuve d’amour pour Ma création. Ceux, parmi les tiens, que j’y enverrai, vivrons une éternité de bonheur. Mais entre chaque jour, la lune prendra la relève. Et ceux qui, parmi les tiens, y seront jetés n’y connaitront plus que la tourmente.”
Livre des vertus I – Partie VIII : la Création ; la décision.

Mes frères, mes soeurs, chacun de nous doit avoir dans son coeur, le nom des notres disparue, et célébrer leurs noms pour leur oeuvre, peut etre plus ou moins grande pour chacun de nous, mais le plus important, ce n'est pas forcement de plaire à son voisin, mais bien d'apporter de l'aide et de l'amour à tous, de suivre la parole d'Aristote et de Christos, comme ont pu le faire nos défunt regrettez. Ayez la certitude que leur place est au côtés de Dieu, et oeuvrer pour les rejoindre et mériter votre place au pret de Dieu

Rappelons nous d'eux comme il le mérite et méditons sur leurs actes et leurs paroles. Prions pour eux.

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Un silence de méditation..puis Roger reprit la parole

Souviens-toi, Seigneur, de ton Eglise répandue à travers le monde
Fais-la grandir dans ta charité, et souviens toi de tes fils disparu, le Saint Arnvald, Illinda, Assunto, Mlle Loulou, Bynarr, Altho et tous les autres plus morts plus récement. Fais leur une place a tes côtés, eux qui ont tant servie l'Eglise et son Oeuvre.

Eloin avait suivi le cortège sortant de l'Abbatiale, pour se rendre au coeur des catacombes cisterciennes de l'abbaye. Lieu souvent désert où s'égaraient parfois quelques uns des moines les plus âgés en quête d'une présence amie.
Une présence... Elle repensa alors à la forme blanche aperçue quelques jours plus tost dans le couloir du dortoir. Avait-elle rêvée, ou cette apparition fut-elle réelle ? Aucun moine ni retraitant n'avait fait mention d'une chose anormale, aussi elle n'avait rien dit. Si l'abbaye était habitée par des âmes -quelles qu'elles soient-, ces dernières finiraient bien par se manifester à nouveau. Et elle espérait que ce jour-ci, elle ne serait pas la seule à les voir...

Fais-la grandir dans ta charité, et souviens toi de tes fils disparu...

Cette phrase, perdue au milieu du discours du frère recteur, luy fict baisser la teste en signe de recueillement. Eustaise, brutalement défunt et récemment mis en terre... Le père Vlad dont nul n'avait de nouvelles... Monseigneur Savoie, premier guide spirituel du Maine... Tant de décès en peu de temps, tant d'âmes qui s'en étaient allées rejoindre les cieux et les prophètes. Tant de frères et soeurs s'en étaient allées. Mais tant d'autres étaient arrivés, apportant leur foy et leur dévouement, apportant aussi avec eux une espérance qui redonnait le sourire aux vieux moines désabusés qu'elle croisait de temps en temps en dehors de l'abbaye.
Relevant un peu la teste pour voir l'officiant célébrer, elle joignit les mains en signe de prière à son appel...

L'Archevêque ne pensait qu'à une chose : Bourges... et l'aspotat provençal qui usurpait le trône primatial de France. En fait, cela faisait deux, mais Monseigneur de Bouviers aimait à croire que l'archevêque d'Arles ne méritait même pas sa place dans ses pensées.

Toutefois, il était venu prier pour l'âme des cisterciens défunts. Il espèrait qu'ils pourraient apporter leur aide aux évêques français qui en avaient bien besoin.

Bardieu entra au début de la cérémonie et commença à prier dans un coin de la catacombe. Le tombeau de Saint Arnvald trônait au milieu de la pièce, avec autour les cisterciens recueillit. Il commença une prière en hommage au saint cistercien comme aux autres frères, décédé après une vie de travail et de prière. Il pensa tout haut dans une parole chantée quand le frère Bardieu cita les cisterciens morts :

Et Baboune38.

Bardieu pensa au petit cimetière à l'extérieur de l'abbaye dans lequel reposait un grand nombre de ses anciens frères, qui avait disparu aujourd'hui. Il indiqua à la fin de la cérémonie un :

Amen