Messe du Mercredi 17 Novembre

Retraitant Nombre de messages : 50 Date d'inscription : 05/11/2010

[i]Le jour venait de ce levé, ainsi que le jeune homme, anxieux, il mit quelques heures pour se préparer, car c'était un jour important pour lui, un tournant pour son séminaire : La messe.

Il allait organiser une messe pour que les fidèles puissent faire leurs louanges au très-haut, créateur de toutes choses, et c'est donc d'un pas motivé qu'il se dirigea vers l'église devant laquelle il ouvrit les deux grandes portes qui le séparait de l'office.

Une fois entrée, korri voulait faire sonner les cloches, un rêve de gamin, il monta donc au sommet de l'église pour y faire sonner les cloches.

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Il descendit rapidement pour accueillir les fidèles.

Mes biens aimés frères soeurs ou amis aristoléciens, Je suis Korrigans, Séminariste en cette Abbaye, et c'est avec un immense plaisir que je vous accueillent dans la demeure de Dieu pour nous rapprocher encore plus de lui durant cette messe. Prenez place, Nous allons commencer par demander le pardon pour nos fautes.

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Petit sourire, il entama la suite de sa messe d'ouverture.

Oblate Nombre de messages : 1215 Date d'inscription : 13/05/2010

Eilinn avait bien noté que ce jour, un de ses étudiants officierait à l'abbatiale. Le nimois, bien que très empressé, semblait vouloir faire au mieux. La soeur cuisinière délaissa ses marmites et se rendit à l'abbatiale, pour s'installer dans la partie réservée aux membres du chapitre, non sans saluer l'officiant au passage.

La jeune fille récita encore le confiteor, et attendit la suite de l'office.

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Tiens ... une messe d'un Cadet de la Gared Episcopale.
En tant que représentant de celle-ci, Uriel se devait d'y assister ; ainsi, le Haut-Dignitaire se rendit de bon matin à l'abbatiale lorsque les cloches sonnèrent.

Vêtu d'une simple robe de bure, il n'affichait aucun signe ostensible d'appartenance à une quelconque garnison, hormis bien entendu celle de l'Ordre Cistercien. Saluant l'Officiant, il laissa son nez le guider vers l'odeur des gâteaux que dégageait la petite. Il lui sourit en guise de bonjour, puis prit place à ses côtés et récita le confiteor, la prière du pardon.

Entre le soigneux nettoyage de la robe qu'elle avait décidé d'enfiler pour le prochain mariage de l'une de ses soeurs ; une réflexion sur le sermon de sa prochaine messe dominicale à Bourganeuf ; et le suivi des derniers évènements romains et alentours pouvant concerner de près ou de loin l'ordre ; la moniale n'avait point eu le temps de prendre un repas après son lever.

Alors, quand elle rejoignit le choeur après s'estre signée, et que son odorat distingua la délicieuse odeur dégagée par l'habit de la soeur cuisinière ; l'estomac de la Grande Prieuse n'y tint plus et se fit ouïr, si clairement qu'Eloin rougit fortement en s'asseyant dans sa stalle. Voilà qui luy apprendrait à sauter un repas, songea-t-elle en récitant le confiteor !

Ce matin là, en bon novice qu'il était, Turinge se rendit à l'abbatiale pour accomplir ses dévotions matinales. Il entra dans l'abbatiale, salua le frère Uriel, la soeur Eloin et la grand-Prieuse qui étaient déjà là. Il s'installa dans un banc et très humblement, récita le confiteor avec le séminariste qui officiait. Cela lui rappela le temps pas si lointain où il se prêta à la même épreuve.

La demoiselle prenait plaisir à se lever aux aurores... Aujourd'hui comme les autres jour, elle ne dérogea pas à l'appel des cloches et se rendit à l'abbatiale. Elle y aimait particulièrement la diversité des offices.

Elle entra, se signa puis s'avança pour s'installer, saluant les regards qu'elle croisait.

Tête baissée et les yeux clos, elle murmura le confiteor.

L'oiselier, aprés sa toilette matinale vint se présenter a la quotidienne messe du matin, qui l'aiderais sans doute a mieu appréender le monde.

Retraitant Nombre de messages : 50 Date d'inscription : 05/11/2010

Le jeune homme s'avança devant la foule et prit la parole pour montrer un extrait des livres des vertus, nerveux, de nombreux petits souffles se perdirent dans le vide pour essayer d'atténuer son stresse, en priant intérieurement le très-haut qu'il 'laide.

Mes soeurs, mes frères, j’aimerais vous parlez de saint Gorges, qui est le patron de la Chevalerie et des Gens d’Armes, il symbolise le triomphe du Bien contre le Mal, la victoire de la Foi sur la Créature sans nom, la force de la Foi et la bravoure, car aujourd’hui plus que jamais, la Foy est menacée par de nombreux hérétiques, et que malgré tout, les Fidèles exercent les volontés et préceptes de la religion Aristotélicienne en étant prêt à mourir pour leur croyance et par amour au très-haut, car ils savent tous qu’ils ont plus où moins vécus vertueusement, en aimant son prochain, et en éprouvant de l’amitié pour ses frères fidèles, aidant les nécessiteux et en ayant jamais abandonnés leur frères.

Voici ce qu’à répondu Saint Georges à l’Empereur Romain qui, pervertie par les vices du sans nom et la colère de Léviathan, ainsi que par la jalousie à voulu faire abjurer la foi Aristotélicienne enseignée par nos prophètes à saint Georges :

Il récita donc un extrait du livre des vertu.

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Citation :

« Ton règne se corrompra et disparaîtra rapidement dans le brouillard lunaire, sans te procurer aucun profit ; mais ceux qui offrent un sacrifice de louange au Très-Haut siègeront avec Lui pour l’éternité dans le Soleil ! »

Saint-Georges était aussi un jeune homme à l’esprit vif et aux mœurs raffinées, à un courage et une bravoure remarquable et d’une foi inébranlable. Il est mort en Martyr aux côtés de l’impératrice Lydda qui à sue remettre son âme à dieu et pas se laisser tourmenter par le sans nom comme son époux s’est laissé corrompre par tout les princes-démons et tenté par le sans nom.

Grande respiration, et c'était parti pour la suite.

Et maintenant, communions tous ensemble pour nous rapprocher de cet idéal aristotélicien de l'amitié entre fidèles, de cet amour entre les hommes.

Et après avoir rompu le pain, Korrigans en donna un morceau à chacun des fidèles.

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Citation :

Que la paix du Dieu soit avec vous.
Et avec votre esprit
Louons Dieu et ses prophètes Aristote et Christos

Son regard arpentait les fidèles en espérant ne pas se tromper dans sa messe.

Retraitant Nombre de messages : 50 Date d'inscription : 05/11/2010

Après avoir dis et célébré la cérémonie, le jeune homme était beaucoup plus détendu, sachant que le très-haut l'accompagnait pour cloturer la messe.

A présent, je voudrais qu'on récitent le credo pour se rappeler ce qui nous guides :

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Bon mercredi à tous.

Oblate Nombre de messages : 1215 Date d'inscription : 13/05/2010

Le petit gobelin de Noirlac salua tour à tour ceux qui arrivaient, papy Uriel, Turinge, puis mère Eloin, dont l'estomac se mit à grogner. Eilinn se retint de pouffer de rire, et chuchota à la grande Prieuse quelques paroles d'un ton amusé.

Conservation, mère Eloin, conservation !

La jeune fille écouta l'homélie avec attention, puisque ce passage permettait de savoir si le séminariste avait bien compris le sens du texte. Cela convenait plutôt bien, et Eilinn se leva ensuite pour aller communier, avant de se rasseoir pour le crédo. Puis ce fut la fin de la messe, et la soeur cuisinière alla féliciter l'officiant, avant de sortir de l'abbatiale.

Turinge suivit la suite de la messe.
Il acquiesça à l'écoute de l'homélie, alla communier avec les autres et récita le Credo Aristotélicien :

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Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Entendant l'estomac de Mère Eloin hurler famine, Uriel leva un sourcil et sourit.
Voici qu'elle n'avait pas eu le temps de manger, sans doute. Lorsque Korrigans en appela à venir au partage, il se serait bien précipité, mais le Don de Soi était très fort chez Uriel, ainsi il laissa d'abord passer la gamine, puis la Grande Prieuse, afin qu'elle puisse se sustenter à souhait.

Il remercia d'un signe de tête, pour les croissants et le chocolat ... euh non, le pain et le vin, puis alla se rasseoir pour entonner un crédo un peu chanté ...

Et vlà que la soeur cuisinière se payait gentiment sa teste en luy parlant de conservation ! La moniale blêmit et suivit le reste de l'audience en silence, murmurant les prières, les mains dans les poches de sa robe, appuyant discrètement sur son abdomen à chaque amorce d'un nouveau gargouillement.

Lorsqu'il fallut se lever pour communier, Eloin sourit malgré elle à frère Uriel qui luy laissa le passage, prit un peu de pain et de vin, puys marmonna son Credo tout en demandant pardon au Très-Haut pour le spectacle qu'elle donnait en ce jour.

A la fin de l'office, la Grande Prieuse sourit au séminariste pour toute appréciation, et quitta l'abbatiale à pas rapide, pour gagner en hâte le réfectoire...