Arrivée de la Garde Episcopale et Pontificale Romaine

[Archevêché de Rouen.]

Humide … Pour être humide, c’était humide ! Peut-être même un peu trop … Cela ne convenait guère au cadet qui semblait être irrité par l’idée que ses tonneaux pourraient pourrir prématurément. Il faudrait améliorer la ventilation … Ce serait fait.

Il erra plusieurs minutes avant de s’arrêter subitement devant un foudre sur lequel était indiqué en caractères gothiques : « Franziskaner - Weizenbier – Munich » Il se lecha les babines … Il en restait … Une Weissbier, il n’en avait pas bu depuis des lustres. Il fit un signe à un jeune homme qui s’approcha immédiatement.

- Tu m’en rempliras deux tonneaux … Euh … Hésitation … Trois tonneaux finalement … Il fait chaud, on risque d’avoir soif.

Après avoir sélectionné la bière qu’il amènerait pour abreuver un régiment, le grand gaillard remonta à la surface. Un chariot fut affrété et les tonneaux furent chargés. On tenta bien de s’inquiéter de ce qu’il y aurait à manger mais le cadet se contenta de répondra qu’on pouvait tenir plus de temps sans manger que sans boire. En tout cas, il ne s’attarda pas et après avoir revêtu son uniforme, affuté son hallebarde et sa spatha, le soldat et ses trois tonneaux de bière étaient en route pour le rassemblement …

[Dans une roulotte, en compagnie du détachement de la Garde Épiscopale et Pontificale Romaine]

FICHTRE ! Vous ne pourriez pas faire un peu plus attention ? *hurla un Mathis, teste à travers une ouverture, rouspétant après le cocher qui s'était pris les ornières des chemins boueux, ayant fait renverser une fiole sur le pauvre Médecin.*

Imposant à ses pauvres oreilles quelques jurons lâchés dans sa petite pièce sur roues, Mathis essayait tant bien que mal de retirer une tâche qui s'était formée sur le tissu couvrant son torse, au dessous de son armure, qu'il n'avait pas encore mis pour être à l'aise dans cette situation ô combien difficile. En effet, par ses responsabilités, on lui avait confié une roulotte, et ceci était bien bénéfique pour préparer quelques remèdes au cas où quelque chose ne tournerait pas rond lors d'une quelconque cérémonie. Le Dunkerquois soupira afin de reprendre son calme, puis déposa dans sa besace moult ingrédients et ustensiles médicaux. Il s'était en effet porté volontaire pour se rendre au Berry en compagnie de ses Frères. Décidant enfin à se vêtir complètement de son armure de garde, tatouée d'une signification particulière pour qu'on puisse le reconnaître facilement en cas d'incidents, Mathis décida d'ouvrir la petite porte arrière et de se tenir à une rambarde en bois pour respirer l'air pur qui se dégageait en cette période agréable.

Le Premier Maréchal, Killdragon, le Cadet Thadeus, et d'autres soldats étaient présents. Quand certains arrivaient à son niveau, le jeune homme les salua d'un signe de la main. Juste devant lui se trouvait le chariot de l'assoiffé. Henry était aussi de la partie, cet homme était fort sympathique, il avait la joie de vivre. Le Dunkerquois le gratifia d'un sourire tout en se délectant du paysage qui passait tranquillement devant ses yeux.

[Formation de la colonne]

Arrivé au Carrefour d’où les routes partaient dans toutes les directions, les détachements des Provinces étaient arrivé.
Fessant halte le Premier Maréchal regarda le cadet Tadeus de Rohan, il pouvait y lire toute la fierté dans ces yeux à porter haut les couleurs.
Les cuirasses des cavaliers avaient subit la poussière des chemins, mais malgré cela, il sentait toujours un pincement au cœur et l’honneur qu’il avait à les avoirs commandés. Le temps passait et la vie aussi lentement mais inexorablement. Nul n’avait à savoir pour l moment.

Le Premier Maréchal salua son ami Monseigneur Kil, Aspirant Vidame de Bretagne arrivé avec son détachement ainsi que son cousin Monseigneur Frédèric, Aspirant Vidame de Trèves.
La garde de Provence suivi à quelques instant d’intervalle l’Aspirant Capitaine Eavan femme de caractère que Mun appréciait véritablement, il savait que un jour elle serait un grand Vidame avec une Province forte répondant à son salut lorqu’elle passe devant lui.

Lorsqu’un brui sourd couvrit les pas des chevaux un grand
Bloingggggggg Blanggggggg
comme si des marmites et chaudrons s’entrechoquaient puis une voix forte sorti d’une des carrioles accompagnées de jurons.
Mun se redressa sur ses étriers afin de mieux voir, voyant la tête du Cadet et Médecin de la Garde Episcopale Mathis passer légèrement.
Les Gardes étaient en de bonne main avec le nouveau médecin ce qui rassura Mun, souvent des accidents arrivaient lors des campements.
Fermant les yeux un instant comme pour enfuir cette tristesse qui l’envahit pensant à Elou si loin tellement loin. Les épreuves que la vie lui imposait étaient de plus en plus difficiles pour lui, son cœur en souffrait comme si avec plaisir on le découpait morceau par morceau.
Prenant une large respiration réouvrant les yeux
Les gardes étaient experts dans le maniement des armes mais, parfois lorsque celle-ci était remplacée par une hache, plus d’une fois, il avait remarqué que tout l’art qui leur avait été appris par le Maîstres d’Arme Monseigneur Fabrizion, disparaissait.
Accueillant d’un signe de tête le médecin, qui fit placer sa carriole en fin de la colonne.

Une deuxième carriole venue d’un autre chemin arriva dans un bruit encore plus sourd
BONNNGGGGGGG BONNNGGGG
mais celui si ne ressemblait pas aux marmites qui s’entrechoquaient cette fois. Comme si des tonneaux se cognaient l’un contre l’autre au rythme du chariot qui penchait quelques fois sur la gauche puis sur la droite lorsqu’une des larges roues entrait dans un nid de poule. Il est vrai que la route qui entrait dans le bois prouvait sa fréquentation, nombre de trous présents et d’ornières y étaient tracées profonde d’une demi botte à certain endroits, les éclaireurs qu’il avait envoyé en avant était revenu inquiet en fessant leur rapport. Si en plus une roue cassée devait retarder leur route cela les mèneraient en retard à la cérémonie et il n’en était pas questions, Chaque Gardes avait son métier propre, il serait bien triste qu’un charpentier ne soit pas avec eux. Mun était forgeron mais il y avait des mois qu’il n’avait revu sa forge.
Serrant légèrement la main sur les rennes de Nomade au passage de la lourde carriole Mun reconnu son cousin et jeune cadet Henri de Rubempré lui adressant un large sourire de bienvenue, il savait que lors du bivouac ce soir les bouches sèchent ne le resteraient pas très longtemps après une dure journée à avaler la poussière.

Laissant les derniers détachement arriver Mun regarda vers le soleil qui était au plus haut, annoncant une journée de forte chaleur mais grâce à l’ombre de la forêt il ne devrait trop en subir ces effets.
Le Premier Maréchal se retourna vers Tadeus tout en inclinant rapidement la tête annonçant le départ.
La longue colonne s’était formée, les carrioles avaient pris place à l’arrière du convoi entouré de quelques cavaliers
L’escorte avait rejoint le Premier maréchal et le porte Gonfanon de la garde.
Remontant la colonne au petit trop le Premier maréchal se plaça en milieu du convoi à sa droite Tadeus et les deux cavaliers à l’arrière prêt à partir aux ordres donnés.

Quelques éclaireurs avaient été envoyés vers l’avant afin de trouver l’endroit le plus approprié, pour que la garde s’installe ce soir ou prévienne de tous problèmes.
Plusieurs heures de chevauchées seraient encore nécessaires avant de profiter d’une journée de repos bien méritée. Depuis des semaines la garde Episcopale était sollicitée sur tous les fronts et cette cérémonie ne pouvait que leur apporter un peu de quiétude dans leurs multiples activités.

Mun se redressa sur sa selle un regard vers l’arrière de la colonne puis vers l’avant Le Premier Maréchal leva le bras droit et d’une voix forte
EN AVANT
tout en abaissant le bras pointant du doigt la direction du chemin qui entrait dans la forêt.
Les ordres se répercutèrent de Province en Province puis la longue colonne se mis en route au trot.
Qu’Aristote nous accompagne en s’adressant à Tadeus

[A une lieu du Campement]

Voilà plusieurs heures que la colonne s’ébranlaient à une bonne cadence.
Les charriots remontaient péniblement la côte tellement ils étaient chargés de provisions.
Le Premier Maréchal se redressait quelques fois regardant d’arrière en avant afin de s’assurer que tout allait pour le mieux.
Bon nombre de cadets étaient présent Achara de Bourges avec qui il avait eu le temps de discuter lors d’une entrevue en sa Province.
Les gardes de Trèves anciens et nouveaux se côtoyaient fièrement, Mun s’arrêta un instant sur le gonfanon de la Province, lui rappelant tous les bons souvenirs surtout celui ou Elou lui avait annoncé qu’elle attendait enfant, et les plus douloureux aussi la mort des cadets aux combats
Reconnaissant Jewak13 présent à toutes les campagnes que Trèves avaient faites depuis novembre 1456, et une nouvelle venue semblait chevaucher à ses côtés le cadet Margès certainement.

La Province de Bordeaux était placée en colonne juste devant la Bretagne voyant un cadet qu’il avait déjà eu l’occasion de rencontrer à la Herse de la citadelle, le cadet Nouchka.

La colonne ralentissait imperceptiblement pour arriver au pas, les sourcils de Mun se levèrent, un nuage de poussière se déplaçait en contre sens se dirigeant vers lui.
Le nuage se déplaçait lentement puis un cheval en sorti, reconnaissant les habits du Vidame de Bretagne qui vint se placer au côté de Mun.
Répondant au salut de son ami.

Maréchal, la plupart des gardes sont là, mais je pense qu'il reste encore quelques groupes en arrière...avez-vous des consignes particulières?
Un instant de réflexion, il est vrai que les situations des effectifs étaient toujours difficiles à tenir que se soit en caserne ou en campagne avec autant de Gardes qui venaient chaque jour remplir leurs rangs.
Monseigneur merci m’en avertir Je propose que nous laissions le cadet Joaly de la Province de Reims en arrière garde avec quelques autres cavaliers.
Dés qu’elle aura accueilli les retardataires, elle nous rejoindra au campement.
De part un chemin de traverse deux cavaliers surgirent au galop semant un peu le désordre dans la colonne, les chevaux fessant des écarts de côtés, les cavaliers légèrement déportés se retenant à leur selle.
Mun se dit s’est maintenant que les ennuis vont commencer portant sa main sur son épée son escorte personnel se rapprocha en imitant son geste.

Le calme revenu dans la colonne après quelques ordres donnés pars les dignitaires à leur Province.
MONSEIGNEURRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
Résonna dans le calme apparent qui était revenu.
S’étaient les éclaireurs qui étaient sorti du chemin de travers et se dirigeait vers le Premier Maréchal.
Mun repoussa son épée et s’écarta légèrement de la colonne afin de recevoir au calme le rapport quelques instant passèrent puis tirant les rennes de Nomade il revint se placer aux côtés de son ami Kill.
Monseigneur dans une lieux nous serons arrivés, les éclaireurs ont trouvé une large clairière dans la forêt ou tous détachements pourront y prendre leur campement.
Une rivière traverse même la clairière de part en part. Voilà bonne chose pour nos montures et certainement aussi pour les cadets cette poussière
Tout en se frottant le visage puis sous armure nous colle à la peau comme une cuirasse adressant un sourire à Kill.

Monseigneur
regardant Kill
je vous met en charge de la mise en place du campement et tous les travaux de campagnes qui s’y rapportent
Veiller surtout à la sécurité si nous pouvons attraper quelques brigands et pilleurs serai tune bonne chose
Mun se souvenait de sa dernière aventure et des marques qu’elle lui avait laissée au plus profond de sa chaire, s’étant juré cette fois que tous ceux qui toucheraient à un garde, il lui mènerait une guerre personnel.

Cest un honneur pour moi d'accompagnait le premier Maréchal de la Garde Episcopale Monseigneur mun von frayner,

j'ai enfin trouve une colonne à suivre celle du premier Maréchal, en direction de l'Abbaye cistercienne à Saint-Arnvald de Noirlac, où se tiendrait une importante cérémonie religieuse. je reconnaissais bien quelque tete comme le medecin Mathis ou Tadeus

est ce bien celle ci je ne sais pas car je suis la seule de ma caserne

Citation :

mwouarfffffff nous allons manquer de temps pour faire le campement et être présent à la cérémonie
je propose ceci
Cadet Xena, Theociel et mon fidèle porte Gonfanon Tadeus, vous ouvrez et annoncer l’arrivée de la GE.

A ces mots du premier marechal M F V , xena courru et executa les ordres!!

xena deplia un parchemin

Oyez oyez!!!

moi cadet xena ainsi que mes compagnons sommes ici pour vous annoncer que la garde episcopale est en route pour la cérémonie;
la garde arrivera demain dans la journée au plus tard;

xena se tût , attendi que ses compagnons deplie l'entendard de la GE et se mît aux gardes a vous.[/i]

(hs: cela va-t-il comme entrer et annconce d'arrivée??)

Rapidement les ordres furent donnés lorsqu’ils arrivèrent au campement.
Il avait toute confiance en son frère d’arme Kill.
Les provinces s’éparpillaient sur la plaine Mun n’avait jamais vu tel rassemblement en un si petit endroit, restant quelques instants sur Nomade regardant les gardes se mettre à l’ouvrage.
Quelle Armé immense il avait devant lui une fois réunie elle aplanirait des montagnes la seul foi étant leur épée.
Mun savait sa position et ses responsabilités envers chaque garde où il les menaient, il veillaient sur eux comme un frère. Chaque paroles ou tortures qu’ils subissaient étaient une marque sur sa peau Mais trop fier jamais il ne l’avait montré.
Laissant les rennes à un de ses gardes de son escorte personnel Mun mis pieds à terre .
Adressant un signe de main Tadeus pour qu’il le suivi.

Puis se dirigeant vers une endroit ombragé tout en appelant les cadets Xena et Theoriciel qui les rejoignirent.
Vous partirez ce soir nous annonçant à l’Abbaye
Mun Regarda Xena et Theo
Cadet protégez notre Gonfanon et soyez digne de ma confiance.

eh eh attendez moi maintenant que je vous ai retrouve
je courru aupres du marechal et l'interpella toute essoufflee
je le salua reglementairement

je peux vous aider Marechal ou quand comment dit moi et je vous suis

j'ai repondu au sourire contente d'etre intendante mais je repris mon serieux pour lui repondre
un peu honteuse de ne pas connaitre le role qui venait de m'etre attitré

euh non je ne sais pas ce que je dois faire mais j'apprends vite

en pensant ce que le vidame Cagi lui avait deja dit
puis je me suis reprise et finit

donnez moi les grandes lignes (meme peut etre les p'tites) et je les appliqueraient dans la droiture necessaire et reglementaire.
je vous promets d'etre à la hauteur et je ne vous decevrai pas

Se penchant légèrement vers l’arrière tout en écoutant le cadet.
Sentant sa volonté de vouloir bien faire malgré son jeune age.
Venez avec moi
ce que le cadet fit rapidement.

Je vous charge de trouver des cadets pour monter mes quartiers.
Dirigeant sa main vers les tentes qui se levaient.
Prévoyez une grande table ou je pourrais accueillir les Vidames des provinces
Se frottant le menton un instant sentant sa barbe ;
Et quelques viandailes .
Une fois cela fait j’aurais courrier à vous donner.

Le Premier Maréchal se tourna vers Nouchka .
Cela vous semble t il réalisable
Ah oui j’oubliais vous dormirez dans ma tente ou vous y prendrez vos quartiers.

J'écouta attentivement les ordres du Premier Marechal mun von frayner.
Reflechis rapidement pour lui repondre

oui il me semble que cela me sera possible, si je trouve des cadets disponible car actuellement il n'ya pas grand monde d'arriver.

merci je suis tres honoree que vous m'invitiez à partager votre tente

J'alla me coucher car la journee avait longue avec beaucoup d'imprevue et ayant eu un appercu les tâches que je devais accomplir dans les jours suivants il me fallait un peu de repos.
Par une belle journee enfin ensoleillee, je suis partie en quête de trouver des cadets. Je croisa les Cadets Margès et Gratien, ils n'avaient pas l'air d'être tres occupes et si ils etaient disponibles pour m'aider à monter les quartiers du Maréchal ca serait tres bien, je m'approcha d 'eux :

Messire Cadet, puis je vous demandais de l'aide pour monter les quartiers du Marechal ?

En attendant leurs reponses, je repartis pour trouver des fleurs des champs pour agrementer la grande table qui permettra d'accueillir les Vidames des provinces.

Puis je revins aupres du Premier Marechal pour lui indiquer mes demarches aupres des deux cadets. oups j'ai encore oublie quelque chose a vous demandez :

Ou dois je installer vos quartiers Premier Maréchal ?
et si vous souhaitez en attendant que les cadets m'aide je suis disponible pour voir avec vous les courriers

Le Premier maréchal s’était installé sur un souche .
Une jambe repliée sous son postérieur, il ergardait avec plaisir tout ce qui se passait, les gardes savaient ce qu’ils devaient faire et comment le faire.
Monseigneur Kill courait dans toutes les directions apportant conseils et aide si cela était nécessaire.
Mun n’avait aucun regret son chois était bon.
Se penchant légèrement vers l’arrière admirant le ciel comme si il allait se noyer dedans la soirée allait être tranquille ;

Ou dois je installer vos quartiers Premier Maréchal ?
et si vous souhaitez en attendant que les cadets m'aide je suis disponible pour voir avec vous les courriers
Se redressant légèrement ébloui par la clarté du ciel, il voyait des étoiles devant lui, fermant doucement les paupières un instant.
Ici me semble un très bon endroit
en réouvrant les paupières.

Nous avons tout à portée de main.
Pour le courrier nous verrons ce soir
Montrant une des carrioles qui venait d’arriver.
Vous y trouverez mes malles et j’aimerais que vous me rameniez une carte de la Province de Reims et plus précisément du Comté d’Artois.
L’intendante avait l’air surprise aux paroles de Mun.
Fronçant les sourcils
oui d’Artois s’est bien cela que j’ai di.

Au croisement des routes avaient eu lieu le rassemblement des provinces de la garde épiscopale.
Frédéric à la tête de la province de Trèves avait salué son cousin, le premier maréchal et ses confrères présents.
Mun et Killdragon prirent la tête, un groupe d'éclaireurs étant partis en avant pour trouver non loin de l'abbaye un emplacement pour installer le campement.

Frédéric choisit de rester à l'arrière garde, veillant à ne perdre personne.
Il y eut un problême de chariot, une roue s'étant coincé dans une ormière du chemin.
Quelques bras, la bonne volonté des chevaux de trait et le chariot se remit en route.

Quand l'arrière garde atteignit ce qui serait le futur campement, Fedy réalisa que Killdragon n'avait pas chomé.
Les tentes étaient déjà entrain de se monter, des fumées se dégageaient déjà des braseros installés à espace régulier autour du camp et des feux qui serviraient à l'intendance.

Le jeune aspirant vidame se dirigea du côté des chevaux.
Il avait l'intention de superviser l'installation des écuries de plein air sachant qu'une monture était le bien le plus précieux d'un garde en dehors de ses armes.

Il héla un garde qui passait par là.
J'ai besoin de monde pour tendre des cordes. Y seront attachés les chevaux.
Que les chariots contenant ce qui concerne les chevaux soient amenés au plus près.

Il jeta un regard sur les lieux et désigna du doigt deux endroit.
Ici et là ! de part et d'autre des lignes de cordes.

La rivière n'était pas loin, l'endroit était idéal.

La sellerie ne doit pas trainer à terre.
Je veux une tente dans laquelle on entreposera les selles et les brides.

La fatigue de la route se faisait sentir mais le jeune homme pensait toujours au confort des montures et seulement après au sien.

Après avoir fait un tour au pas de son cheval, il mit pied à terre et attacha sa jument Lavande a une des premières cordes de ligne déjà tendue.
Il dessella sa jument et s'en occupa avec soin.

Mun se leva après avoir donné ses recommandations à l’intendante.
Il lui confia son épée celle si lui pesait parfois.
Les chois qu’il avait du faire durant toute sa vie les décisions qu’il avait prise parfois le torturait intérieurement.
Regardant les gardes s’activer
Prenez soins de mon épée je l’ai forgée moi-même et jamais elle ne m’a trahie Dés que les Quartiers seront prêt faites moi avertir .
Inclinant la tête légèrement en remerciement, Mun se dirigea vers un coin de la clairière ou une grande activité régnait.
Cordes et ficelles étaient tendues entre les arbres, les chevaux de la colonne étaient amenés par les gardes certain en tenait trois ou quatre qui n’avaient l’air de s’apprécier.
Refusant d’avancer le cou tendu la tête de côté tirant les rennes que le garde avait du mal à maîtriser.

Mun s’avança un peu plus dans la plaine cherchant Nomade du regard.
Voyant l’habit d’un Vidame et les couleurs blanches liserées d’or les cheveux dorés qui se levaient légèrement avec le vent.
Mun sourit tout en avançant vers son cousin.

Sans bruit faire il déposa sa main sur son épaule.
Alors cousin toujours aussi amoureux des chevaux.
Je cherche mon étalon
tournant la tête de gauche à droite

je pris l'épee que le maréchal venais de me confier, j en pris grand soin en la rangeant dans son foureau puis deposer dans la malle
Puis je m'approcha de la cariole indiqué par le Maréchal afin de trouver la carte

euh deja c'est laquelle ah oui c'est carte de l'artois
je fouille , recherche, j'ouvre rien et toujours rien
puis au fin fond d'une malle je trouve quelque chose
est ce ca ? je n'en sais rien mais c'est pas grave je l'emmene au Maréchal et il me le dira

je deposa le parchemin sur la table car avec un air un peu interrogatif
http://documents.univ-lille3.fr/files/pub/www/recherche/theses/barrois-dominique/Fig/p0000004.jpg

Je me suis eclipsée, laissant le marechal recevoir son cousin, pour essayer de trouver d'autre cadet pour m'aider a monter le quartier generale et mettre la table car les cadets Margès et Gratien ne repondaient pas.

je revins sur mes pas pour deposer un autre parchemin plus complet car je me souvenez car le Vidame cagi m'en avait fourni un

peut etre que celle ci vous ira mieux sir, elle est un peu grande mais elle est complete il n'y a pas que Reims ou le comte d'artois

http://www.aidesetastuces.seek4host.net/MrGroar/eglise.html

voila, Personne me reponds pour monter votre quartier general donc au lieu de perdre du temps a chercher je me suis mis a le preparer sinon ca ne sera jamais pres l'heure.
je dressa une table avec des victuailles, décorés de fleurs cueillis dans la matinee
c'est bon sir maréchal tout a l'air d'etre en ordre

Citation :

cadet nouchka a écrit:

Je me suis eclipsée, laissant le marechal recevoir son cousin, pour essayer de trouver d'autre cadet pour m'aider a monter le quartier generale et mettre la table car les cadets Margès et Gratien ne repondaient pas.

xena revenant de son coin majestueux, apercu un cadet qu'elle eut pas le passé connue;

milles excuses dame!!! je me presenet xena , excusez moi de vous interpeller mais il me semble vous connaitre, n'etes-vous pas le cadet Douchka???

Oh que diantre!!!! milles excuses non je m'en souvient vous etes le cadet nouchka n'est-ce pas???

xen a ses mots rougit de honte ne te retenir les noms de ses compagnons

le premier marechal me demande de partir en avant pour annoncer la garde mais nous ne partirons seulement que ce soir ou demain. je voit que son campement et la table ne sont pas tout a fait fini.
Si vous le desirer je puis vous aider???

demander moi ce que vous voulez!!!
_________________

je vis Xena interpellait quelqu un, au debut je ne me sentais pas concernée et donc j'ecoutais d'une oreille lorsque

Citation :

Oh que diantre!!!! milles excuses non je m'en souvient vous etes le cadet nouchka n'est-ce pas???

xen a ses mots rougit de honte ne te retenir les noms de ses compagnons

je me retourna pour repondre
si c'est bien moi nouchka de Saintes et vous etes xena de Blaye me semble t il ?
pas de souci pour le coup de main,

Quoi ? La nourriture bougeait encore ? Le grand gaillard se précipita vers sa carriole pour récupérer une lance et sa spatha et monta sur la selle du premier cheval qu’il trouva. Prise par sur surprise la pauvre bête hennit lamentable pendant que son propriétaire pestait en attendant que sa jument lui soit rendue. Mais l’appel de la faim était plus fort … Le cadet hurla :

- Il va y avoir du sanglier à la bière ce soir !

Il lança alors sa monture à la poursuite des sangliers, pendant que le cadet Mathis s’extrayait péniblement des orties dans lesquelles il avait (lamentable) chu ! Les bêtes partaient s’enfonçaient maintenant dans la forêt. Il fallait arrêter leur course avant que la végétation ne devienne trop touffue. Il tenait sa lance en position armée prête à être lancée de sa main gauche et les rennes de sa main droite. Par chance, fils de ducs, il avait très régulièrement pratiqué ce sport. Les malheureuses proies se rapprochaient au fur et à mesure car la belle jument gagnait du terrain. Il ne résonnait maintenant plus que dans la forêt le bruit des fers à cheval martelant le sol avec vitesse et puissance.

Il n’aurait qu’un seul essai, un unique …

Lorsqu’il fut à une dizaine de mètre de la plus proche des bêtes, dans une violente extension à en déchirer les tendons, le grand gaillard lança son arme qui après un bref vol alors se planter dans l’échine du pauvre animal qui s’écroula lamentablement quelques mètres plus long se vidant de son sang … Mais il ne fut pas le seul à choir d’une manière si peu honorable … Le seigneur serra les rennes de sa monture pour l’arrêter mais malheureusement beaucoup trop tard … Si bien que la jument se prit les pates dans le corps sans vie du sanglier pour se retrouver les quatre fers en l’air (Tout l’expression d’ailleurs). Le cavalier trouva lui le moment de tomber sur le fourreau de son épée qui se brisa sous le choc et dont un éclat de la lame se retrouva planté dans le gras du cavalier.

Dans un hurlement de douleur qui a du s’entendre à des kilomètres de là, le cadet tenta de se relever sans succès. Il ne lui restait plus qu’à attendre qu’on vienne le chercher pour extraire le morceau de métal si douloureux !

- AAARRRRGGG

Arrivé au campement, Gratien avait attendu une injonction de son Maréchal. Il en profita pour parcourir un pli qu'il avait emporté de Trèves. Une lettre d'un ami proche en mission dans laquelle il semblait discerner quelques émois quant à sa destinée et aux choix qu'il devrait poser. Il replia le document et le plaça dans le revers de son uniforme. Il demeura songeur. Il n'avait même remarqué que sa coéquipière de garnison, Margès, avait été affectée à une tâche spécifique.

Il l'aperçut au loin s'éloigner vers la carriole du cadet Mathis, médecin par interim.

Il vit encore l'arrivée d'une personne (Jewak) arborant les mêmes insignes que lui. Bien qu'étant casernés dans la même garnison, il n'avait pas encore eu l'occasion de le rencontrer. Il alla vers lui et le salua.
Mes salutations. Content de vous rencontrer. Je me nomme Gratien et nous sommes dans la même unité à ce que je vois. Nous aurons sans doute l'occasion de discuter plus avant durant cette mission.

Gratien prit ensuite congé de lui.

Il observa le campement pour déterminer où il pourrait se rendre le plus utile. A quelques toises, il vit s'éloigner une petite escouade. Celle-ci, composée de trois cavaliers, irait sans doute annoncer la venue de la colonne au monastère. Au loin, il crut reconnaitre la silouhette du cadet Xena.

Il vit aussi une cadette qu'il ne connaissait pas courir de-ci, de-là; tantôt avec l'épée du maréchal, tantôt avec des piquets de dais, tantôt avec une toile;
Elle débordait d'énergie mais ne semblait pas coordonner tout cela avec efficience. Gratien sourit un peu. Il allait attacher son cheval et s'avancer vers elle pour l'aider un peu, lorsqu'il vit le colosse Henri abandonner son tonneau (chose très rare !), remonter en selle et s'engager dans la forêt à toute vitesse. Ceci captivait son attention maintenant.

Après quelques minutes, il crut entendre un cri rauque venant du bois. Gratien remonta prestement en selle et emprunta le même chemin qu'Henri. Il viendrait aider plus tard la cadette débordant d'énergie et bien sûr faire sa connaissance par la même occasion.

Il s'avança au trot afin d'écouter d'où pouvait provenir ce cri. Il était sans doute arrivé quelque chose au colosse. Une crise de goutte subite, une rixe avec un vieux mâle d'une harde, une chute malencontreuse, … Il entendit un appel et éperonna son cheval

Fonce, Fidèle, il y a danger !
Dit-il à l'attention de son cheval.

Henri ! Henri ! Où êtes vous ?

Gratien entendait maintenant distinctement un râle. Il ralentit sa monture et la dirigea dans cette direction. En contre-bas, il apeçut enfin un tableau qui aurait été cocasse si Henri n'avait pas été en si vilaine posture.

On voyait en tas, une tête de sanglier, le corps à moitié recouvert par un cheval, sur le quel gisait un colosse gémissant. Le cheval avait des vélléités de se relever d'un coup.

Gratien mit prestement un pied à terre et s'approcha avec diligence du colosse. Il le glissa de côté et aussitôt il vit un beau bout d'épée brisée qui dépassait du lard du géant. Heureusement, cela était au niveau de la jambe et donc sa vie n'était pas menacée. Le cheval ainsi soulagé de la carcasse du collosse put se dégager

Henri, je vais vous extraire cela. Avant buvez un peu de ceci !

Gratien sortit une flasque de mirabelle. Il la réservait pour les cas urgents. Et Henri semblait ressortir ce genre de situation.

Celui-ci entonna si bien le goulot, que Gratien dut le modérer. Il aurait encore besoin d'alcool après.

Tout doux mon ami.

Il ramassa un bout de bois assez épais et le fourra dans la machoire du géant.

Ensuite, d'un coup vif, il arracha le bout de métal. La plaie n'était pas profonde. Il versa prestement le reste du contenu de sa flasque sur celle-ci.

Henri se contracta et rugit ....

Il fallait encore entouré la blessure d'un pansement sommaire. Gratien avisa une fine écharpe de soie de couleur bleue qui dépassait de la besace du colosse. Peut-être le souvenir d'une gente demoiselle

. Désolé Henri. j'en ai besoin pour empêcher tout saignement supplémentaire.

Gratien serra avec vigeur la jambe meurtrie d'Henri. Dommage pour cete belle étoffe, pensa-t-il !

Ben voila notre médecin Mathis aura du boulot maintenant. Et on aura du sanglier au repas du soir .

Il restait à Gratien à ramener le blessé au campement. Bon vu sa stature, ce ne serait pas ne sinécure.

Tandis qu'Henri somnolait un peu grâce à l'alcool ou aux émotions, Gratien identifia deux perches de bonne longueur ainsi que deux plus petites. Voilà qui feraient les bases d'un bon traîneau. Il assembla à l'aide de lianes les deux perches croisées au niveau de l'encolure de son cheval. Les troisième et quatrième fut disposées à la perpendiculaire à quelques pieds du sol. Voila qui fait un excellent réceptacle pour y mettre … la victime d'Henry.

Gratien aida encore Henry à se hisser sur son cheval et prenant celui-ci par la bride, ils cheminèrent vers le campement à travers bois. Fidèle, le cheval de Gratien, était lui-même attaché à celui d'Henry et fermait docilement la marche. Il tirait le traineau de fortune sur lequel gisait le trophée du géant.

Après une demi-heure, ils arrivèrent en vue du campement. La carriole de Mathis n'était plus qu'à une demi-toise. Il vit d'ailleurs ce dernier venir à leur rencontre. Enfin, il accueillit donc son premier client !!!!

La main posée était une main familiale et complice.
Par ici Mun. J'ai fait installer tous les étalons à l'écart pour ne pas avoir de problèmes avec les juments.
Ah oui ces juments elles nous en font voire.

Accompagnant Fèdy
Mun regarda Nomade un instant mais il était pas là pour cela il aurait voulu lui parler de la peine qu’il avait sur le cœur et de la souffrance qu’il avait en lui .
J'ai deux chevaux dont les membres sont enflés. Nous allons les faire marcher dans l'eau ce qui sera très bon pour eux. Un massage naturel et bénéfique.
Acquiescant de la tête
et que les palefreniers,….
SANGLIER ! SANGLIER !

Mun porta sa main de côté l’épée n’y était plus.
Regardant Fèdy un instant Mun sorti la dague de sous sa cuirasse le manche ornée de l’aigle bicéphale de la famille Von Frayner
Haussant les épaules se tournant de côté
Le repas est annoncé cousin

Courant vers l’animal.
Un garde s’interposait entre Mun et le sanglier.
-Bonjour Monseigneur MVF ! Je vous prie de m'excuser de ce retard mais j'ai été retenu par des obligations personnelles...je suis maintenant disponible pour vous aider.
Quels sont vos ordres Monseigneur ???

Suivez moi cadet votre épée nous seras d’un grand secours.
Mun continuait a courir vers le sanglier pas question que telle bête s’échappe

Margès fut heureuse de voir qu'il la reconnaissait.

Cadet Margès ! Content de vous revoir.. il est vrai que vostre présence va être bénéfique pour moi, mais actuellement, je remarque avec tristesse que personne ne requiert mes soins.

Elle pensa alors qu'il suffisait d'attendre, que les choses souvent peuvent changer, et elle ne croyait pas si bien penser....

Mathis gesticulait, inclinait la tête, mangeait des fruits, "Qu'avait-il ? souffrait-il ? non, il semblait s'amuser...." C'est alors que des bruits de sabots se rapprochèrent ; un animal chargeait !! Sanglier ! Sanglier ! hurlait le médecin ...

Margès se déporta de l'autre côté du chemin, et évita de peu... le sanglier, en effet.

Prestement, elle releva son manche dans sa main et en asséna un coup franc et direct sur la tête de l'animal qui résista. Bien que stoppé, il émettait de grands bruits, tout comme le Cadet Mathis, d'ailleurs, qui ne l'avait évité qu'en se jetant violemment dans un buisson de ronces et d'orties.

Margès hésita : que faire ? aider le Cadet ? finir le sanglier ? le sanglier ? le Cadet ? Bon elle opta pour tendre une main secourable à ce dernier... après tout, c'était le médecin... et laissa au Cadet de Rubempré, qu'elle avait vu arriver, le soin de s'occuper du sanglier...

En fait, elle avait bien du mal à s'empêcher de rire Holà ! Cadet Mathis , rien de grave, j'espère ?
Il se trouvait en fâcheuse position... il attrapa la main que lui tendait Margès. A présent, avec vivacité, il et se frottait l'arrière-train.

Ses fesses avaient été les premières touchées, il allait avoir besoin de soins. Margès réalisant la situation commençait à s'inquiéter. Bon comment allait-elle procéder ?

jewak, qui s'apprétait à rejoindre Monseigneur MVF pour l'aider à capturer le sanglier, entendit une voix se présenter à lui.

Citation :

Mes salutations. Content de vous rencontrer. Je me nomme Gratien et nous sommes dans la même unité à ce que je vois.

- Bonjour cher Ami, enchanté je suis le Cadet Jewak et nous sommes en effet ans la même unité...

Puis le garde Gratien s'en alla, il le salua et se retira également pour aller porter secour.
Il arriva auprès du Maréchal qui lui dit :

Citation :

Suivez moi cadet votre épée nous seras d’un grand secours.

Jewak sortit alors son épée et suivit Le Maréchal qui se dirigeait tout droit vers la bête.
Pourvu que ce soit nous qui gagnons, se disait le garde dans sa tête, cela ferait un bon festin !!!

[quote]Margès se sentait apaisée. En attendant le début de la cérémonie, elle essayait de reconnaître parmi les visages des membres de la Garde Episcopale ceux qu'elle avait déjà rencontrés.

Tout à coup, du bruit vers l'entrée, ah... mais n'était-ce pas ce géant de Henri de Rubempré qui arrivait, clopin clopan sur une canne de fortune ?

Une force de la nature, ce Cadet ! Elle qui le croyait en train de se reposer, que faisait-il là ? Mathis ne l'aurait sûrement pas laissé aller ainsi, mystère..

Margès était dubitative à présent

Et où était-il d'ailleurs, le Cadet Mathis ? Il lui avait dit d'aller devant... il n'allait pas tarder...