[Baptême] : Stephandra, Redyane, Ulrich, Julien

Titca écouta l'histoire du frère Uriel, elle était amusante et la scène devait l'être encore plus ! Pouffant assez discrètement elle regarda le frère et sourit amusée voilà un Archevêque très aimable certain aurait déjà envoyé le jeune curé voir ailleurs.

Très drôle mon frère... j'en aurais une autre à vous raconter, mais... mmmh pas ici.

Le regardant partir elle regarda les personnes présentes et remarqua le frère Roger en grande conversation avec un ami très certainement ? Quand Uriel sonna le calice, elle alla le rejoindre et s'installa à ses côtés. De là elle regarda l'assemblée dans un silence parfait la cérémonie allait commencer et justement voici l'heure de la prière du pardon.

Julien sortit de ses pensées aux premières paroles d'Uriel, il l'écouta alors, puis étant invité à réciter quelques paroles de pardon, il le fit de bonne grâce, d'autant plus que la confession avait deja eu lieu, ici même, peu de temps auparavant...

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Retraitant Nombre de messages : 192 Date d'inscription : 14/01/2010

Sauvée par le gond, Stéphandra libère doucement Julien de son regard interrogateur,en fait elle avait fini par se demander si elle avait pas une trace de charbon ou autre sur le front voire pire sur le bout du nez et écouta Frère Uriel.

Il avait pris le relais habilement avec une certaine prestance et lança la prière du pardon, que Steph ne put s’empêcher de se commenter intérieurement

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. Oui, surtout en pensée arf…désolée…je dois l’avouer…mes pensées…bref passons….
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés. Hop…hop…hop…faut se dire quand ces temps je ne suis sûrement pas la seule,vi alors ça serait gentil d’obtenir ce jour l’absolution

Stéphandra tenta malgré tout d’entonner cette demande en chœur avec Julien, Emeline et Ulrich, mais son esprit partait un peu n’importe où, à la fin de ses paroles elle se mordit la lèvre pour reprendre le dessus.

Invité

Mitijo venait d'arriver, invitée par la Baronne Arianrod pour faire une surprise à Stéphandra ... La cérémonie avait commencé. Elle resta en retrait, près des grandes portes, cherchant à voir si elle voyait quelqu'un de connaissance.

Elle reconnut quelques personnes de Normandie et Nothias, qu'elle avait croisé dans l'armée de Provence.

Devant l'autel, agenouillée face à la croix de Christos, elle entendit la voix claire de Stéphandra entonner la prière du pardon.

Ce n'était que le début de la cérémonie, Mitijo , patiente et silencieuse comme à son habitude attendit pour pouvoir parler à sa nouvelle amie.

Retraitant Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 11/03/2010

LGA avait parcouru les dédales de l'abbaye avant d'entrevoir le lieu de la cérémonie.
Il entra sans trop faire de bruit s'inclinant devant la baronne et la remerciant en chuchotant de l'invitation.
Il arriva au moment ou la camériste entonna la prière du pardon et s'installa dans l'une des travées pour suivre le reste de la cérémonie

Retraitant Nombre de messages : 192 Date d'inscription : 14/01/2010

Fins traits de lumière venants jusqu’à l’autel, l’entrée fut discrète mais la lueur ne pouvait mentir…curieuse, enfin ça tout le monde le sait, la jovente pencha délicatement la tête vers l’avant, laissa sa mèche rebelle dissimuler l’espace d’un instant son visage.

Ses yeux se dirigèrent doucement vers le côté afin de voir qui était arrivé, un petit rictus se pointa à la double vision qu’elle eut. Mitijo et Alex, ahem…Quelles surprises ! Elle chercha rapidement Siaam, compagne d’Alex qui semblait ne pas être là.

D’un geste doux, elle décala sa mèche et redressa le chef, Arian avait bien préparé son coup, la camériste allait être entourée de tous ceux qu’elle appréciait. Pourra-t-elle un jour remercier son amie comme il se doit. Amis de Croisade, de Provence…inspiration, concentration elle pourrait bientôt aller les saluer.

Elle prit conscience qu’elle comptait aussi aux yeux de ceux qui étaient là pour l’accompagner dans son entrée dans l’amitié Aristotélicienne. Le cœur léger et en fête, elle se sentait de taille à tout affronter…ou presque…Elle pensa, merci, merci…à vous…

Tit au côté d'Uriel écouta la prière du pardon tout en observant l'abbatiale dans le silence, regardant parfois à droite parfois à gauche, il y avait du monde ! Et cela la fit sourire de bonheur, dans le lot pas mal devait être croyant et quand ont savait les malheurs qui arrivait dans son Duché rien ne pouvait la rendre plus heureuse qu'un tel assemblée. S'appuyant contre l'autel afin de reposer ses jambes elle profita du calme pour méditer et recharger son âme d'énergie positive.

Retraitant Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 10/03/2010

Le vieux comte fit large sourire à la mère de son petit fils
Nous vous remercions madame de votre invitation nous aurons plaisir soyez en certaine à l'honorer.

Puis un homme s'avança, il le reconnu pour l'avoir souvent croiser sans jamais avoir eu de conversation avec lui.
C'était un homme qu'Ursin de Lasteyrie respectait profondément, pour sa droiture, sa foi et tout ce qu'il représentait.

Monsieur le plaisir de la rencontre est pour moi.
Il est vrai que si nous sommes l'un et l'autre si vous me permettez de vieilles reliques témoins d'un passé révolu nous n'en restons pas moins acteurs du temps présent.
C'est là bien belle cérémonie qui se déroule sous nos yeux et pour ma part j'ai fierté de voir un Lasteyrie se faire baptiser.

Emeline écouta les paroles du frère Uriel, la prière du pardon ? Hum non non il avait du se tromper cela ne la concernait en rien cela va de sois, un agneau qui viens de naître ne serait plus pur... Ahem... quoi que éventuellement en pensée, dans l'absolu peut-être que il faut bien dire que parfois elle s'emportait facilement.

Enfin les chiens ne font pas des chats comme dit l'adage... qui avait il d'autre ? Peut-être ce goût prononcé envers le cidre Normand. Oui bon à la réflexion la jeune femme devait bien avouer que tout n'était pas blanc comme neige. Enfin il aurait été sacrilège de refuser tel nectar, oui bien sur il valait mieux se dire ça pour soulager sa conscience. Levant les yeux au ciel l'air de rien et reprenant contenance elle entonna clairement en même temps que les autres.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.

Disant ses paroles elle tourna tout de même la tête vers sa mère furtivement pour lui intimer du regard, que pas du tout part contre. On ne sait jamais hein quand même qu'elle ne s'imagine pas bien que comme l'avait porté sa réflexion il y avait quand même quelques petits détails.

Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Fondateur Nombre de messages : 4123 Date d'inscription : 24/05/2005

Roger semblait heureux d'avoir entrevu et bavardé avec le comte Ursin. il afficha une mine réjouie et s'abstient de faire sa sieste pendant la cérémonie.

Et c'est parti, le début de la fin... la cérémonie était la dernière formalité à remplir pour achever son entrée dans le cercle des fidèles...
Ulrich essaya de penser chaque mot qu'il allait devoir dire, il ne voulait pas prendre le risque de voir son baptême annulé ultérieurement, lors de son arrivée devant les grilles du paradis solaire par exemple...

Il prit une grande inspiration...

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés

Regard dérobé vers le maître des novices: avait-il fait ce qu'il fallait?

Retraitant Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 10/03/2010

Rochefort assistait à la scène, attentif pour une fois. Il répéta intérieurement les paroles répétées par les futurs baptisés, une façon à lui de faire la paix avec le Très Haut... Un premier pas en sorte.

Il aperçut la dame de Soye qui l'avait accueilli énergiquement à l'entrée, et lui fit un petit coucou de la main, un large sourire aux lèvres.

Puis il reporta son attention, espérant que cela ne s'éterniserait pas trop non plus... Même si rien n'était prévu, il comptait bien arroser ça ! Il devait bien y avoir une cave dans cette abbaye. Peut-être même fabriquaient-ils sur place !

Titca de sa place aperçu le regard d'Ulrich et lui sourit approuvant de la tête doucement afin de confirmer que tout était parfait et qu'il n'avait aucun souci à se faire, après quoi elle répondit d'un sourire au signe de la main que lui adressa ''l'ogre'' un bien gentil homme d'être aussi polie malgré l'accueil qu'elle lui avait réservée. A présent c'était son tour de prendre la parole.

Merci à vous quatre pour votre prière très belle après cela le Très-Haut n'a aucune raison de vous refuser l'enter dans nôtre grande et belle famille Aristotélicienne.

Souriante encore, elle toussa et regarda l'assemblée.

Je vous invite tous à réciter le Crédo avec moi. Vous aussi, bien sûr. Rajouta Tit en regardant les quatre âmes devant Uriel et elle.

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Retraitant Nombre de messages : 192 Date d'inscription : 14/01/2010

Stéphandra qui n'avait pas ses yeux dans sa poche, ni sa langue, ni rien d'autre d'ailleurs, observait la Maître des novices, se demanda bien à qui pouvait être adressé ce charmant sourire. Elle tourna la tête et aperçu Roche un large sourire aux lèvres, Stéph lui sourit amusée en pensant quel tombeur celui-là.

La jovente profita de cette vue pour saluer Mitijo et Alex d'un large sourire...elle chercha du regard Nothias, qui n'était plus là où elle l'avait laissé... Quand elle le vit ses yeux la trahir sûrement, elle se mordit la lèvre inférieure et revient au toussotement de Titca.

L'heure du crédo était venu, la cérémonie était rondement menée entre Frère Uriel et Titca, on aurait dit une petite danse douce mais rythmée. Stéphandra était heureuse de constater tout cela, de profiter de chacun ici présent.

Alors après une douce inspiration, elle récita le Crédo

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A l'issu de cette récitation , elle observa les autres futurs baptisés puis sa marraine en lui souriant.

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Uriel passa la main à Titca pour la suite de la cérémonie, comme arrangé entre eux. Il ferait un "come-back" par la suite.

Ces sacrements à double officiant était toujours un vrai travail d'équipe où il fallait une parfait entente entre les partenaires. Ils n'en étaient pas à leur première fois et telle la rivière qui continuait sa route pour se jeter dans la fleuve, la cérémonie se poursuivait.

Il récita son crédo en regardant les jeunes gens.

Retraitant Nombre de messages : 25 Date d'inscription : 17/05/2009

Arianrod souriait aux quatres baptisés, elle était heureuse pour eux, elle avait senti que sa fille n'allait pas peut etre du à cette petite bise qu'elle lui vaait fait, mais elle ne pouvait faire plus, Uriel avait demandé le silence, elle lui fairait le gros calin à la fin de la cérémonie.

Credo... il fallait le réciter comme tous...

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Retraitant Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 11/03/2010

LGA était attentif comme toujours en pareil occasion , il serra ses mains l'une contre l'autre puis récita le Credo

Retraitant Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 10/03/2010

Le jeune homme récitait en mème temps que tous..

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Ulrich inspira, il décida de ne pas faire de fioritures, et se lança, à voix lente, et détachant chacune des syllabes de son credo...

Je crois en Dieu, le Très-Haut Tout Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la Mort.

Et en Aristote, son Prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la Sagesse
Et les Lois Divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa Vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le Martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la Communion des Saints,
En la Rémission des péchés,
En la Vie Eternelle.

Aaaaameeeeeeeeeen!

Emeline écouta la soeur Titca qui prenait à son tour le relais, son esprit repartie un instant en entendant sa mère réciter le crédo. Chemin faisant les voix devenait de plus en plus murmures aux oreilles de la jeune femme si bien qu'elle se trouva encore un peu dans les vapes. Reprenant un peu consistance, elle revint doucement à la réalité du moment avec de gros trou noir au niveau des paroles.

Ah non c'était bien plus que cela, c'était carrément des blanc... le vide rien... bon il fallait se lancer toutefois, elle prit une grande inspiration, murmurant les mots parfois avant de se rappeler des bons termes.

Je crois en Dieu, le Très-Haut Tout Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la Mort.

Et en Aristote, son Prophète,
Le fils de... nicotine ou pastis ou les deux hum...Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la Sagesse
Et les Lois Divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa Vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la Communion des Saints,
En la Rémission des péchés,
En la Vie Eternelle.

Amen

Écoutant le Crédo récité en coeur dans l'Abbatiale elle sourit ravie et tourna la tête vers Uriel, tout deux s'entendaient bien quand il s'agissait que co-officer sachant chacun ou et quand agir, après avoir fait réciter le Crédo comme il était prévu dans le plan d'attaque elle regarda Uriel. Il avait prévu de faire lire un texte par deux personnes, mais Tit ne savait absolument pas qui exactement ? Dans le doute elle recula très légèrement et lui sourire sachant très bien que le Cap' - ex cap'- allait la tirer de ce mauvais pas plus vite que son ombre. Souriante toujours donc elle regarda l'assemblée et attendit l'air de rien.

Julien fut tiré une fois de plus de ses rêveries par la douce voix d'Arian, elle venait d'entonner le credo, le rappelant à ses devoirs...il reprit en coeur avec les autres.

Je crois en Dieu, le Très-Haut Tout Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la Mort.

Et en Aristote, son Prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la Sagesse
Et les Lois Divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa Vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le Martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la Communion des Saints,
En la Rémission des péchés,
En la Vie Eternelle.

Amen

Moniale Nombre de messages : 362 Date d'inscription : 15/02/2010

Héliona, toujours discrète dans son coin regardait la cérémonie.
Elle récita le credo avec tout le monde

Je crois en Dieu, le Très-Haut Tout Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la Mort.

Et en Aristote, son Prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la Sagesse
Et les Lois Divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa Vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le Martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la Communion des Saints,
En la Rémission des péchés,
En la Vie Eternelle.

Amen

ferme les yeux et récite :

Je crois en Dieu, le Très-Haut Tout Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la Mort.

Et en Aristote, son Prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la Sagesse
Et les Lois Divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa Vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le Martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la Communion des Saints,
En la Rémission des péchés,
En la Vie Eternelle.

Amen

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Ayant récité son crédo, Uriel avait laisé faire les baptisés et ceux qui voulaient le réciter à voix haute.
Le choeur résonnait de toutes ces voix qui chantaient leur foi en Dieu.

Reprenant la parole, il regarda les parrains et les marraines des futurs baptisés et leur dit alors :

J'invite maintenant l'un ou l'une d'entre vous à venir nous lire un texte issu du livre des vertus.

Top départ ! C'était pour le plus rapide.
Il désigna alors la place qui était derrière le lutrin ...

Retraitant Nombre de messages : 192 Date d'inscription : 14/01/2010

Prière du pardon exécutée, le Crédo avait suivit sans souci ou presque pensa amusée la jovente.

Le relai était repassé dans les mains de Frère Uriel qui voulait déjà s'en débarrasser qui qui allait attraper le bâton?
Qui allait être le plus rapide?

La camériste impulsive de nature fit celle qui avait pas compris et prit un air godiche amusée. Son regard se pose sur chaque parrain marraine, Julien, Emeline Ulrich...

Arian semble ouvrir la bouche on dirait qu'elle va gagner la course de vitesse... Oui Non?

Retraitant Nombre de messages : 25 Date d'inscription : 17/05/2009

Relais passé avec sourire en croisant le regard de sa camériste, puis elle se dirigea vers le lutrin, ou reposait le livre des vertus. Souvenir d'un temps ou elle était diaconesse, et heureuse de pouvoir s'exprimer pour ses enfants, pour son Julien, pour sa protégée.

Mais le seul passage qu'elle voulait lire ce jour était sur le thème de l'amour. Elle tourna quelques feuillets puis retrouva le texte.

Je vais vous lire un passage du livre des vertus. Tome 1. Création : l’amour

Citation :: “C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créé alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste.”

“Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.

Ce passage nous rappelle que nous sommes nés de l’Amour du Tout Puissant, notre vie est issue de ce Don du Créateur. Depuis notre naissance il veille sur nous en nous regardant grandir en silence.
Lorsque que nous décidons de dire : Dieu je t’aime car tu as veillé sur moi durant tant d’année, et je t’aimerai car tu seras continuellement auprès de moi, c’est que nous avons décidés de rejoindre et de reconnaître la communauté des enfants de dieu que nous sommes.
Nous devons chaque jours penser à nos frères et sœur, en les aimants, en partageant avec eux ce qui est illusoire, un ou deux écus pour aider un pauvre, partager le minimum vital pour vire est une preuve d’Amour.
Aimer c’est aussi accepté, nous sommes l’image de Tout Puissant, c’est lui qui nous a fait, ne critiquons pas son ouvrage.
Il nous faut ne jamais quitter le chemin de la vertu, de son Amour, car sinon nous aurions écouté la créature sans nom et finiront à la Lune à errer au milieu de la haine et de la douleur.
Pour avoir une vie vertueuse, nous devons dire Oui à l’Amour de notre Seigneur, rester dans sa lumière en commençant par ce faire baptiser, en venant régulièrement à l’église et surtout répandre les valeurs de l’Amour et de partage qu’il nous a enseigné.
N’oubliez pas que l’Amour est la seule richesse qui ne peut nous être volé, elle est en nous pour toujours.

Arianrod se tut quelques minutes gênée de s'être emballée autant, rougissant elle reprit place le regard vers le sol.

Retraitant Nombre de messages : 192 Date d'inscription : 14/01/2010

Ouiiii...elle avait gagné...
Stéphandra sourit et odit chaque mot sortant de la bouche de son amie. Elle avait choisit un passage sur l'Amour...il ne pouvait en être autrement...

La dernière phrase dite était superbe "N’oubliez pas que l’Amour est la seule richesse qui ne peut nous être volé, elle est en nous pour toujours." La jovente n'avait point ce velin pour la noter, alors elle la grava en son coeur.

Elle regardait Arian avec admiration et comme d'habitude avait bu ses paroles. Le rouge aux joues lui allait si bien que Steph la suivit du regard avec un sourire de tendresse.

Ulrich était fasciné de voir sa mère expliquer un texte avec autant d'aise... La montée vers la nef des "credo" ne l'avait déjà pas laissée indifférent... Il avait envie d'applaudir, mais il sentit que la solennité de l'instant indiquait que ce n'était pas le moment...
Ulrich opta donc pour digérer les paroles maternelles: lui étaient-elles destinées?
Toujours était-il qu'il les grava dans ses pensées, pour ne jamais les oublier...

Emeline écouta son professeur passer à la suite, les crédo avait résonné magnifiquement dans l'abbatiale Saint-Bernard. Bon un léger détails lui était resté il n'y avait aucunes personnes du nom de Nicotine ou Pastis dans le crédo par contre. La jeune femme tacherait de s'en souvenir plus rapidement la prochaine fois. Puis l'homme d'église se pencha vers les parrains et marraine présent invitant le premier qui se présentait à lui à venir lire devant tous un passage du livre des vertus.

Un petit regard de côté et la demoiselle vit bientôt sa mère s'avancer vers lui, rejoignit le lutrin et commença sa recherche. Trouvant finalement la page qui l'intéressait elle se mit à lire d'une voix haute et clair, elle alla même plus loin en commenta de son cru le passage.
Emeline écouta sa mère avec attention un grand sourire sur le visage, avant de se lever tout d'un coup pour la féliciter d'une révérence.

Bravo mère !!! Bravo !!! Vous fûtes brillantissime mère !!! Quelle oratio, j'en suis sans voix intérieurement parlant !!!

La brunette regarda un instant les autres resté à genoux à terre et entendit quelques murmures derrière elle. Mais oui bien sur ainsi debout les autres ne pouvez bien plus voir le devant de l'autel où avait elle la tête. Une fois sa mère félicitée, elle respira un bon coup, elle se sentait un peu mieux là faut dire et se remit à genoux.

Retraitant Nombre de messages : 192 Date d'inscription : 14/01/2010

Stéphandra sourit en regardant Emeline, elle avait fait ce qu'elle n'avait pas osé. Elle comprenait que trop bien la fierté qu'avait ressenti la fille de son amie.

Doucement, elle la regarda s'agenouiller et lui fit une inclinaison de la tête de total respect. Ensuite elle regarda Ulrich qui avait été touché aussi par les mots et Julien qui semblait être sur un nuage ou une autre planète.

La jovente appréciait plus que tout d'être là baptisée aux côtés d'une famille unie malgré les soucis de la vie et entourée de ceux qui lui tienne à coeur. Malgré ce bonheur, elle avait un vide en elle qu'elle espérait un jour pouvoir combler.

Était ce fou de vouloir connaître ses racines? Était ce rêve que de désirer vivre un jour un amour clair et confiant? Sans le vouloir elle soupira doucement. La phrase d'Arian lui emplissait l'esprit et bien des questions se bousculaient...

Bon qui va prendre le relai là? Fallait que quelque chose se passe avant que Stéph sombre elle ne savait où...
Elle chercha du regard le Frère ou la soeur, à quelle sauce allait elle être mangé désormais.

Julien ne put s'empecher de sourire à ces reactions. Plein de souvenirs étaient remontés à la surface là encore...aaah quand elle voulait bien se lâcher un peu la brune le surprenait tous les jours, et pourtant il la connaissait bien...quelle Diaconesse elle faisait.....!

Il lui adressa un regard plein d'amour et de fierté...s'ils avaient été seuls, il lui aurait sauté au cou !

Retraitant Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 11/03/2010

LGA était peu habitué a s'exprime devant un si nombreux public , mais il s'avanca devant l'autel puis sortit de son rouleau de cuir un parchemin et s'adressa a l'assemblée

Par un rude jour d’hiver, un disciple, qui avait atteint le terme de son enseignement, vint trouver Aristote, avant de quitter le lycée.

Le disciple : "Cher maître, maintenant que je vais être livré à moi-même, il y a une chose que j’aimerais savoir."

Aristote : "Je t’écoute, brillant disciple."

Le disciple : "Vous m’avez remarquablement formé à l’art de la logique et à la science métaphysique, mais vous ne m’avez rien dit quant à la morale."

Aristote : "Tu dis vrai, mon ami. C’est en effet une lacune de mon enseignement. Que veux-tu savoir au juste ?"

Le disciple : "Il est important pour un homme, je le crois, de savoir identifier le bien du mal, afin de se conformer aux règles qui conduisent au premier, et qui permettent d’éviter le second."

Aristote : "Certes."

Le disciple : "Ce qui m’amène à cette question simple, maître, qu’est-ce que le bien ?"

Aristote : "C’est un problème tout à la fois vaste et d’une simplicité limpide comme le cristal. Le bien, dans son principe, c’est la perfection de la nature de l’objet, de sa substance."

Le disciple : "Mais pourquoi donc, cher maître ?"

Aristote : "Parce que le bien ultime réside dans le divin, sans nul doute. Et pour identifier le bien, il suffit donc de s’attacher à l’analyse de l’essence du divin. La substance du tout puissant étant intelligibilité pure et parfaite, le bien ne peut être que perfection de la substance, et donc de la nature d’une chose. Comprends-tu ?"

Le disciple : "Oui, cher maître, je comprends."

Aristote : "Je t’ai enseigné, cher disciple, que la nature d’une chose réside dans sa destination, puisque le mouvement révèle la substance de l’objet. Tu sais donc quelle est la nature de l’homme n’est-ce pas ?"

Le disciple : "Certes, maître, la nature de l’homme est de vivre en collectivité, et cette collectivité prend le nom de cité."

Aristote : "Tout à fait. Le bien de l’homme, c’est à dire ce qui tend à réaliser la perfection de sa propre nature, est donc une vie vouée à assurer les conditions de l’harmonie au sein de la cité. Or, le bien de la cité, est tout ce qui participe à son équilibre, puisque la nature de la collectivité est de se perpétuer. Ainsi donc, tu peux le constater, le bien de l’homme conduit au bien de la cité."

Le disciple : "C’est remarquable !"

Aristote : "En effet, ça l’est. Vois-tu, l’homme ne fait le bien qu’en s’intégrant pleinement à la cité, en participant à la politéïa, et en faisant tout son possible pour en maintenir l’harmonie."

Le disciple : "Alors, cher maître, l’homme de bien est donc le citoyen ?"

Aristote : "Je n’ai pas dit cela, cher disciple. Un esclave peut être un homme de bien, s’il a conscience de sa propre nature d’homme, et qu’il sait se satisfaire de sa condition, car ainsi il œuvre au maintien de l’équilibre de la cité. La politéïa n’est pas que la participation aux assemblées."

Le disciple : "Et bien, cher maître, voilà des réponses qui me satisfont."

Aristote : "J’en suis heureux, mon ami."

Et sur ce, Aristote ne revit jamais son disciple qui, selon la légende, vécut une existence exemplaire, inspirée par les principes de la vertu.

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Uriel écouta le texte avec attention, il réfléchissait déjà à ce qu'il allait ajouter à ce passage de la Création.
Mais ce fut Arianrod qui prit la parole, ce qui ne fut pas pour lui déplaire, au moins il pourrait entendre une autre version que la sienne et c'était toujours intéressant.

La baronne n'avait rien perdu de sa verve, elle aurait fait une diaconnesse hors-pair. Mais voilà il fallait choisir entre les armes et le verbe.
Seules les sanctes armées pouvaient mêler les deux, et ce n'était souvent que temporaire, car à la finale, l'un des deux plateaux de la balance devenait indéniablement plus lourd.
Dans la plupart des cas, le fer pesait de plus en plus pour les diacres et même quand ils ne se faisaient pas ordonner, bien souvent, ils le laissaient de côté.

Les "quatre fantastiques" avaient eu l'air d'apprécier le passage, icelui ayant une valeur et une signification différente pour chacun d'entre eux.
Ce fut alors messire LGA qui prit la parole pour lire un passage de la Vita d'Aristote, attendant quelques instants, le Frère le commenta :

Voilà donc un homme qui se demande ce qu'est le "Bien" ... et nous y voyons la Perfection, celle que nous devons nous forcer d'atteindre, à travers les sept vertus.
Bien évidemment, étant imparfaits comparés à Dieu, cela nous est impossible, mais cependant personne ne nous empêche de nous en rapprocher.
Ainsi, la Vertu ne peut se cultiver et s'apprécier que parmi et par les autres, qu'est-ce que l'Amitié sans avoir personne pour ami ; qu'est-ce que la tempérance sans être en situation de conflit ?
Toujours nous devons garder cela à l'esprit, car tous nos actes comptent aux yeux de Dieu.

Mais le temps était venu, celui de la purification par excellence.

Le Frère Doyen s'empara d'un petit récipient contenant de l'eau bénite puis les regarda.

Mes Enfants ... hum ça lui faisait toujours tout drôle de dire ça ...

... vous voici prêts à entrer dans une nouvelle famille, dans une grande communauté de croyants et de fidèles, et à compter de ce jour, nous serons tous vos frères et vos soeurs.
Nous vous aiderons dans la détresse et la douleur, et nous serons là aussi pour partager vos joies.

Maintenant, voici le moment où vous devez prêter serment, le Serment du Baptisé :

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d'un geste il les invita à prononcer le serment après lui.

Retraitant Nombre de messages : 192 Date d'inscription : 14/01/2010

Alex avait pris le relai...Stéphandra le regarda et l'écouta avec attention cette lecture. Joli texte qui lui rappela qu'il était dans la nature humaine de se poser des questions...Elle n'échappait pas à cette règle.

Suivre une cause juste faisait partie du bien, tout comme l'écoute de l'autre, l'amour, ainsi toute action tendrait vers le bien, tout comme la citoyenneté et la prudence.

Plutôt que de répondre à ses questionnements, LGA lui en remit pleins en tête, la jovente lui sourit, sa vie serait sûrement faite de questions.

En tous les cas, elle était ravie de sa prise de parole, lui plutôt timide et réservé. Elle le remercie de ses azurs...Elle chercha ensuite du regard celui auquel elle tenait tant, qui lui semblait si loin et parfois si proche, peut être qu'il pourrait lui répondre à certaines de ses interrogations.

Oh Frère Uriel avait du entendre ses interrogations et à sa façon y répondit, tout ouïe elle le regardait.

Il s'approcha d'eux avec un récipient d'eau, l'heure de la purification et du Baptême était là...
Il les invita à réciter le serment des baptisés, Stéph regarda ses frères et soeurs de baptême et se lança d'une voix suave

Je reconnais en Dieu le moteur du monde
La pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde
Je reconnais l'Église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Être divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

Les yeux fermaient pour s'en imprégner au mieux, un sourire vient naître au coin de ses lèvres. Voilà...

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Alors que Stephandra récitait le serment, Uriel prit alors un petit récipient contenant de l'eau bénite qu'il avait puisé dans le fond baptismal de l'église et fit le tour de l'autel ; il vint se placer devant la future baptisée, s'accroupit et avec cette eau, il traça le signe de la Croix de Christos sur son front.

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Je vous baptise, Stephandra, au nom de l'Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l'amitié de tous les Saints et pour l'amour du Père de l'humanité.

Ensuite le Frère invita la jeune fille à se relever et alluma un cierge qu'il lui tendit.

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Il entama avec conviction :

Prenez ce cierge, que sa lumière guide vos pas dans l'obscurité, qu'elle dissipe les ténèbres de vos doutes ; portez la lumière, mon enfant, et éclairez les coeurs de ceux qui sont actuellement dans le noir.
Bienvenue dans la fraternité Aristotélicienne, vous voici baptisée.
Puisse cet engagement vous rappeler à tout instant la voie à suivre, la voie de la perfection et du chemin vers Dieu, vers son Paradis, ne vous en éloignez jamais car vous risqueriez de vous perdre en trahissant votre engagement solennel par une conduite déshonnête.

Il regarda les autres ... à qui le tour ...

Retraitant Nombre de messages : 192 Date d'inscription : 14/01/2010

Frère Uriel fit le signe de la Croix de Christos sur son front pendant qu'elle récitait doucement. Et il lui dit:

Je vous baptise, Stephandra, au nom de l'Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l'amitié de tous les Saints et pour l'amour du Père de l'humanité.

Stéphandra se releva et prit en ses mains le cierge qu'il lui tendait avec précaution et fierté

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Frère Uriel lui parla de la lumière, lui annonça qu'elle était baptisée, elle lui sourit et lui murmura

Merci...merci...Frère Uriel.

La jovente regarda ses trois compères et sourit, puis instinctivement elle balaya la chapelle du regard afin de croiser les yeux de ceux qu'elle apprécie . Elle ne put qu'espérer que sa vie ne soit qu'Amour...Elle observa les autres en souriant, bientôt il y aurait quatre cierges qui brilleraient comme les rayons du soleil.

La cérémonie suivait son bonhomme de chemin dans le recueillement. Une personne que Julien avait vue à Ouillie et qui lui avait été présentée prit le relai d'Arian pour le second texte, Julien commencait à sentir ses genoux, aussi, quand Steph prononca le serment du Bapteme, il se sentit un peu...soulagé.

Il la regarda avec un sourire prononcer les quelques mots, puis elle reçut les signes de l'eau et du feu, elle semblait si heureuse...

Julien jeta un oeil autour de lui, personne ne semblait prendre la suite, il se lanca...

Je reconnais en Dieu le moteur du monde
La pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde
Je reconnais l'Église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Être divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

Tit avait écouté avec soin la baronne et sourit elle était douée sans aucun doute ! Puis un homme avait fait une lecture qu'Uriel commenta tout aussi bien ! Arriva rapidement l'heure du serment d'allégeance à la Saint Église, Uriel et elle-même c'étaient mis d'accord, lui les femmes, elle les hommes, égalité parfaite ! Deux et deux match nul si j'ose dire. Alors, quand Stephandra récita son serment elle ne bougea pas est observa silencieusement. Puis quand ce fut le tour de Julien elle avança et trempa les doigts dans la coupole du Doyen, l'eau froide sur sa peau la fit sourire puis elle marqua Julien d'un croix invisible, mais surement fraiche en plein sur le front.

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Certes les paroles n'étaient pas les mêmes que le frère, mais chacun avait ses petites habitudes ! Souriante elle alluma elle aussi un cierge et le tendit à homme devant-elle

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Acceptez ceci, la lumière vous guidera dans les ténèbres de notre monde, afin de retrouver dans le doute le chemin des vertus. Elle guidera les âmes perdus et vous protègera du mal. Apprenez à la rendre plus forte et plus brillante encore afin de vous rapprocher le plus possible des vertus et de la connaissance. Vous voici baptisé Messire Julien, bienvenue dans notre famille et toutes mes félicitations.

Lui accordant un clin d'oeil elle recula légèrement et regarda Uriel dans un petit sourire. A qui le tour ?

Julien accueillit avec un sourire plein de confiance le sacrement du Bapteme, il parvint même à ne pas tressaillir à la température de l'eau.

Prenant le cierge, il jeta un regard plein d'amour à sa Suzeraine. Baptisé, sa vie prenait un nouveau sens. La tendre promesse qu'il lui avait faite peu de temps auparavant devenait plus palpable et c'est à elle qu'il adressa un clin d'oeil, puis s'adressant à l'officiante...

Merci, merci beaucoup de ces belles paroles pleines d'espoir.

Retraitant Nombre de messages : 192 Date d'inscription : 14/01/2010

Stéphandra sourit en regardant la Soeur et Julien, il y avait un vrai jeu en ce baptême, chacun se passait le relai avec harmonie et délicatesse et ça semblait être tellement naturel.

Pour le moment tout se déroulait sans anicroche, elle se demanda qui d'Emeline et Ulrich prendrait la balle au bond.

Tout était si fluide ... si la vie pouvait être un long fleuve tranquille, ampli d'amour et de bonheur, en tous les cas le bonheur chez Julien était palpable...petit regard à Arian, bien la joie était dans le sien, hé hé vivement le mariage pensa-t-elle amusée.

Emeline sourit en voyant Stephandra et son Oncle recevoir les derniers sacrements et enfin rentrer dans l'amitié Aristotélicienne. Elle se demandait tout de même avec une certaine appréhension si elle aussi alors se voir recevoir de l'eau divine sur le front. Non mais c'est qu'il ne faisait pas si chaud que ça malgré le soleil et imaginons qu'un des deux trébuchaient se prenant les pieds dans sa robe! C'est tout le bol d'eau bénite qu'elle allait recevoir la jeune brune.

Elle sourit un peu bêtement à l'idée, remarque au moins là ce serait un baptême folklorique dont elle se souviendrait. Un regard tendre vers son futur parrain et sa futur marraine pour se rassurer et à son tour elle se mit à entonner d'une voix douce et clair presque chantante.

Je reconnais en Dieu le moteur du monde
La pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde
Je reconnais l'Église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Être divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

Par contre cela voulait dire quoi efficiente... bon bon elle demanderait cela au professeur Uriel dans la suite de ses études après son baptême ma foi. Oui elle avait pris sa décision de continuer comme elle y avait pensée bien avant. Qui plus est il semblerait que le Trés-Haut lui ai envoyé un signe ce jour même, elle ne pouvait aller contre sa volonté.

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Dans un parfait ballet avec Soeur Titca, qui baptisa Julien, Uriel reprit la coupe et traça, à son tour, le signe de croix sur le front d'Emeline.
Elle leva la tête et il lui sourit.

Ainsi, cette eau bénite nettoie l'âme, qu'elle coule le long de votre corps, qu'elle le rende lumineux aux yeux de Dieu et qu'elle emporte au loin vos anciens péchés. Sagesse et Raison doivent vous guider, désormais.

Je vous baptise, Emeline, dicte Redyane, au nom de l'Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l'amitié de tous les Saints et pour l'amour du Père de l'humanité.

Posant la coupe sur l'autel, il prit un cierge, éteint ; il aida la jeune fille à se relever et plaça la bougie dans sa main puis la guida afin de faire naître la flamme, l'allumant à celle de Julien ou de Steph'.

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Voici cette lumière naissante, qu'elle envahisse votre vie, qu'elle chasse l'ombre et éclaire votre chemin, quel qu'il soit.
Ainsi, munie de cette flamme, il vous reviendra d'aller la porter dans le coeur de ceux qui sont démunis et de les accueillir près de sa chaleur.
La famille aristotélicienne vous compte maintenant dans ses membres, respectez toujours votre serment, car vous savez désormais vers où mène la voie de la rédemption.
Félicitations, vous voici baptisée.

Nouveau sourire à l'une de ses meilleures élèves.

Un sourire mutin s'empara de son visage quand elle sentait l'eau bénite bientôt couler de son front et venir lui chatouiller le bout du nez puis les douces paroles du frère Uriel vinrent chanter à ses oreilles. Elle était vraiment heureuse voilà qu'elle ne tenait plus en place du tout la jeunette, après tout personne ne lui en voudrait d'un élan de grâce démesurée! Elle était à son tout rentrée dans la grande famille, forte heureusement elle était soulagée à présent de ne plus vivre dans la honte et d'être enfin baptisée. Enfin le terme était peut être un peu exagéré, il fallait avouer qu'Emeline était un peu emportée parfois... enfin si peu...

Uriel l'aida à se relever, ses jeunes jambes n'avaient pas eu à souffrir de la position, surtout qu'elle était bien installée sur son coussin, mais quand même cela faisait du bien d'être à nouveau debout. Il lui offrit également un cierge qu'ils allèrent tout deux illuminé grâce à la flamme de ceux de son oncle et de Stéphandra.
Quelques paroles suivirent pour finaliser son baptême et doux sourire de la part du meilleur des professeurs qui soit icelieux.

Ah non elle était trop contente vraiment elle n'y tenait plus du tout et en retour la jeune femme fit quelques chose dont ne peux plus peu conventionnelle, mais sur l'instant cela lui parut la meilleure des choses bien sur. Sans crier garde elle sauta au cou du frère Uriel et lui fit une grosse bise sur les deux joues!

Oh merci je suis vraiment très heureuse!!

Elle le libéra bien vite tout de même c'est qu'il y avait du monde dans la salle, mais pour bien vite aller dans les bras de Julien et Stéph pour leur offrit de grosses bises également. Une fois son petit moment d'euphorie terminé elle se posta tranquillement à leur côté regardant danser la jolie flamme de son cierge. C'était vraiment un jolie cierge il n'y avait pas à dire, qui plus est c'était bien la première fois qu'elle en tenait un en main même.

Titca regarda Uriel est la femme pendu à son cou ! ! Ouvrant les yeux aussi gros que deux billes, elle pouffa ensuite en rire, décidément il avait le don de faire tomber les femmes dans ses bras lui ! Riant encore aux éclats elle dû tourner le dos à l'assemblée pour se calmer un peu et ne pas trop attirée l'attention sur elle. Levant les yeux vers l'un des statues elle toussa.

Heum... hihi heum ohohoh... Pardon seigneur tout puissant. Heum, uhuhuhuh !! Le bisou, le bisou, le...bi Oups, diagrez...

Plus ou moins calmée elle regarda à nouveau l'assemblée évitant le regard du Cap'-Doyen au risque de rire à nouveau, mais c'était drôle !!! Pour un baptême joyeux et convivial cela en était un ! Sans l'ombre d'un doute, regardant Julien elle croisa les bras limite boudeuse, pourquoi elle n'avait pas le câlin elle hein ! Tirant la langue amusée, mais vexée elle regarda Ulrich et attendit qui sait peut-être qu'il lui fera un bisou ? Mouarf surement pas venant de lui elle aurait tout juste le droit à une tape dans le genre '' Merci mon pote'' et encore....

Retraitant Nombre de messages : 192 Date d'inscription : 14/01/2010

Emeline ne put dissimuler sa joie, Stéphandra sourit se sentant d'un coup moins seule dans ses excès d'impulsivités ...Bises à Uriel et la voilà dans les bras de Julien et Stéph.

A peine surprise par cet élan d'affection, c'est que dans l'intimité elles s'entendaient plutôt bien toutes les deux et la bise faisait parti de leur petit rituel, Stéphandra lui rendit son tendre bisou et se décala un peu afin qu'Emeline soit entre son oncle et elle.

Tout sourire elle regarda Ulrich, qui devait se sentir un peu visé avec toutes ces paires d'yeux qui le regardaient.
De plus la soeur n'avait pu retenir un rire qui était plus logique, la jovente imaginait guère que toutes les cérémonies se déroulaient ainsi, le dernier baptême auquel elle avait assisté l'évêque avait failli noyer le baptisé dans le baptistère.

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Voilà la vue qu'il devait avoir face à lui...Plus qu'un cierge et la boucle était bouclée, allait il bisouiller Titca ou non?

Ensuite sûrement autre chose et tous pourraient papoter gaiement de cette journée. En tous les cas la jovente se souviendrait longtemps de cette journée qui faisait partie d'une de ses plus belles de sa courte vie, dans l'espoir d'en avoir d'autres à venir.

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Uriel fut un peu pris au dépourvu. Il avait par pur bonheur, déjà déposé la coupe avec l'eau bénite et ne s'était pas encore muni de celle qui contenait le vin, sinon .. ça aurait été beau.
Il accepta donc le bisou de très bonne grâce, un baiser tout aristotélicien qui reflétait le bonheur de la jeune fille, cela faisait plaisir à voir, tant de spontanéité.
Heureusement qu'il n'y avait que Titca présente qui allait encore le taquiner avec le fait que les jeunes filles étaient toujours pendues à son cou.

Pour un peu, il l'aurait saisi et fait tourner dans les airs pour rendre grâce à ce bonheur communiqué, mais bon ... on était pas au bal ... dommage d'ailleurs.
Cela lui donna une idée, toujours avec ses plans non conventionnels, il s'imagina poursuivre chaque baptême d'un bal ... mmhhhh à murir, cette idée, ... à murir ...

Souriant alors de voir les jeunes gens si heureux, il se demanda quelle serait la réaction d'Ulrich ...

Amené par le frère portier, gardien de la lourde porte d'entrée de l'édifice, Personne ne l'avais vu rentré...
Il en était mieux ainsi, quelle idée d'avoir galoper tout ce temps pour en fin de compte arriver en retard.
Que de souvenir de voir cette jeunesse embrasser la religion dont lui même était l'un des fils. Un fils plus souvent sur les routes qu'entre les murs d'une église ou d'une abbaye.

C'est vrai qu'en y repensant un peu plus, c'était une surprise de taille d'avoir reçu cette demande de parrainage de la part d'Arianrod, dans ses souvenirs, elle n'était pas mère mais plutôt la guerrière enflammée, capable de botter les fesses à toutes une taverne pleine de soulards et de filles faciles.

Sacré souvenir que ces moments là.

Modius regarda en direction des participants et dévisagea les personnes pour enfin reconnaitre le fils de son amie.

N’oubliez pas que l’Amour est la seule richesse qui ne peut nous être volé, elle est en nous pour toujours.

En fait, elle n'a réellement changé...peut être un peu moins nerveuse dans sa posture...ca doit lui venir de ses heures de garde, à vivre entre la vie et la mort, sur un champs de corps en ruine....

Il retendit l'oreille

Je reconnais en Dieu le moteur du monde
La pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde
Je reconnais l'Église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Être divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

jolie voie que celle la. Un jolie frimousse de surcroit.

En y regardant de plus près, il est vrai que les abbayes sont des endroits bien paisibles. Il doit être bon d'y vivre surtout durant le printemps et l'été.
Il faudrait vraiment être d'une implacable destinée que de faire bruler ces endroits de mille feux païens.

Modius regarda de nouveau la cène et il répéta à demi voie mais solennellement les paroles du séminariste.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Titca regarda Ulrich et toussa doucement, puis regardant Uriel elle haussa les épaules et s'agenouilla à la hauteur de l'homme à savoir son élève Ulrich.

C'est à vous... Allons... auriez-vous un souci ?

Toujours à sa hauteur, elle posa ses yeux dans les siens et sourit doucement, pauvre petit après cette horrible guerre il devait être épuiser.

Retraitant Nombre de messages : 25 Date d'inscription : 17/05/2009

Arianrod écoutait la suite de ce grand bapteme, souriant à chacun d'eux, puis un doux sourire quand ce fut le moment de son vassal, elle était heureuse pour eux.

Cérémonie... oui oui, mais rien de tres protocolaire comme on ferait en temps normal, elle fut prise d'un fou rire quand sa fille sauta au cou d'Uriel, décidement pire que sa mere celle là, vive la jeunesse et l'inscoucience. Regard qui se pose sur Keur, elle se demanda ce qu'il pouvait bien penser de ce moment et doucement elle souriait amusée.

Portant la tete vers son fils, elle appercut Modius, elle lui adressa son plus beau sourire, enfin il était là, elle avait cru un instant devoir traverser tout le Royaume pour lui botter le train pour avoir oublié le bapteme de son filleul.

Elle se décala discretement, enfin comme si c'était discret de quitter le centre de l'abbaye pour rejoindre l'entrée, mais bon il le fallait. Elle se placa face à son ami Modius, lui sourit tendrement et lui colla un gros baiser sur sa joue, comme ferait une fille à son pere. Elle lui prit la main et le conduit pres de l'autel, aux cotés des parrains, marraines et des baptisés. Doucement elle lui glissa à l'oreille.Tu arrives à temps Baron, ton filleul n'a pas fait son serment encore.

Il y avait bien longtemps qu'ils ne s'étaient vu, et le bonheur était le meme à chaque fois qu'elle se trouvait aux cotés du Baron, papa de coeur. Un regard, empli de tendresse, discret en direction de Julien,

HRP/ ljd Ulrich a quelques soucis de connection il essaye de faire de son mieux

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