[Mariage] : Liz_de_wissocq et Ludwig_von_Frayner

Jo partit en voyage un moment fit un détour par Noirlac. Le mariage de son amie ne devait ps etre louper, sinon elle risquait de lui tiré les oreilles à son retour....

La jeune femme avait apporter à son voyage une simple robe de saison non point trop encombrante afin de ne pas trop ce charger. Un châle sur ses épaules bien épais pour ne pas avoir trop froid.
Maellys, portait une petite robe mauve, elle marchait depuis peu et ce réjouissait déjà de courir partout dans l'Abbaye.

Elle regarda qui était la, entra et ce signa.

Elle ce dirigea tenant Maellys par la main. Bien le bonjour Messieurs, belle journée bien fraiche pour un beau mariage.Jo fit une bise à Free et Uriel et salua le futur marié.

J'espère que tout ce passera comme vous le souhaitez Ludwig, que cette journée vous soit mémorable.
Maellys tirait sur sa manche et Jo s'accroupit. Papa ou ? Elle la regarda et sourit. Je ne sais pas ma chérie, il va surement arrivé, tu le verra. Déposant un baiser sur son front, Jo ce releva.

Témoin. C'était donc le rôle du Frère lors de cette office. C'était avec honneur qu'il avait accepté cette tâche (qui d'ailleurs ne se refusait pas). Mais bon ... Le seul inconvénient est qu'il fallait se rendre jusqu'en Berry, terres francoyses ... Lieu où siégeait l'Abbaye de Noirlac, tenu par les moines cisterciens. Ordre monacal dont il avait déjà entendu parler ... Oui mais où ? Hum ... Ah voilà, la mémoire lui revenait, c'était c'te blondinet de Esteban, le Chambellan de la Garde Impériale qui était aussi Oblat ici. Bref, le voyage se déroula sans encombre, de Lorraine au Berry les routes étaient plutôt plates et on pouvait dire que ça roulait plutôt vite. Bref, voici donc notre Alban en l'Abbaye qui se précipite à l'église où se déroulait la cérémonie. Enfin dans la bâtisse, il se rend rapidement vers son frère, lui fait un signe de main, et lorsqu'il est enfin à ses côtés lui dit :

-"Me voilà cher frère, à l'heure qui plus est. Un exploit n'est ce pas ? Tout va bien, pas trop le trac ?" Lui dit-il en adressant un sourire avec une fraternelle tape dans le dos.
Puis il salua Uriel, le clerc de la famille qui décidément officiait à toutes les cérémonies :

-"Bonjour cher cousin, nous nous croisons souvent ces derniers jours." Lui dit-il aimablement.
-"Ravi que vous célébriez cette cérémonie en tout cas. Comment allez vous ?"

Balsamo avait fait le voyage de nuit et s'etait reposé un peu avant de venir...il entra dans l'abbaye ou tres peu de gens etaient deja arrivés ,pour l'occasion il avait quand meme fait l'effort d'etre presentable meme si la periode ne l'incitait pas vraiment...
en entrant une petite voix de fillette le fit tourner la tete ,il reconnu de suite la voix de sa petite Maellys ...il sourit mais alla quand meme saluer ses amis....il serra la main a son ami Free et Uriel puis au futur marié qu'il avait avait croisé a Epinal ....

Bonjour comment allez vous ? le grand jour est arrivé? vous verrez tout se passera tres bien ... c'est un jour memorable

il bavarda un court moment et s'eloigna rejoindre son épouse qui etait deja arrivée...au passage il salua Alban qui entrait... il regarda son épouse en souriant et l'embrassa puis regardant sa fille toute heureuse dans une tres belle petite robe ,il la prit dans ses bras et la bisouilla tres tendrement ,puis fit un "chuttt" a Maellys qui heureuse de le voir parlait fort ....

comment allez vous ? tu as fait un bon voyage ma cherie? Maellys est adorable ...

il se placa aux cotés de son épouse et la ragarda puis attendit la suite .... nul doute que cette journée serait emouvante...pour tout les deux

Elle entre en compagnie de l'Orléanais qui lui donne le bras pour l'occasion, elle examine le bâtiment, assez différent des chapelles où elle se rend assez régulièrement en ce moment pour assister à l'épidémie de mariage qui sévit dans son entourage. Machinalement à l'entrée , légère génuflexion et signe .Elle se laisse guider jusqu'au marié qu'elle salue d'une légère inclinaison et d'un sourire. Elle laisse Atolchamb prendre la parole en premier, après tout n'est-il pas son supérieur hiérarchique ? Même si elle a l'avantage de l'âge sur lui.

Bonjour votre Excellence, comme l'a si bien dit mon cavalier, nous sommes ravis d'être des vôtres en ce jour. Je vous renouvelle tous mes vœux de bonheur et mes félicitations .

Un sourire amusé à Atolchamb pour sa dernière question.

Oui, je vous l'accorde volontiers.
Nos amis lorrains excellent dans ce domaine, peut-être me laisserai-je tenter par l'expérience?
Mais il est temps que nous allions prendre place.

A la fin de l'échange verbal, le petit bout de femme entraine son Excellence dans son sillage pour prendre place dans une des travées.

(Epinal, à l’aube)


Non ! La voix de Ludwig retentit, ferme et sonore : Non ! lorsque le clerc lui posa la question rituelle : Voulez-vous prendre Liz ici présente pour épouse…
Un gouffre noir s’ouvrit sous les pieds de la jeune femme et dans un hurlement de désespoir, elle se sentit engloutie par les ténèbres d’un puit profond .., dont elle émergea aussi brusquement qu’elle y était tombée avant d’en atteindre le fond lorsqu’elle se réveilla, le souffle encore coupé par la terreur qu’elle venait de ressentir. Le décor familier de sa chambre au dessus de la Chipotte et les premières lueurs du jour eurent tôt fait de lui remettre les idées en place, ainsi qu’un sourire ses lèvres.

Idiote que tu fais ! C’est vraiment pas le jour à faire des cauchemars, il me semble, tssss ! Allez, debout, il ne s’agit pas de traîner au lit !

Elle réprima un petit rire coquin à la pensée que la prochaine fois qu’elle se retrouverait dans un lit, elle n’y serait pas seule, puis se punit d’une petite claque sur la joue. Hum, c’est pas le moment d’avoir des pensées pareilles, ma fille ! Hop… au bain !

Quelques heures plus tard, baignée, parfumée, ses cheveux remontés en chignon retenant les pans de tissus vaporeux qui formaient le voile de sa tenue nuptiale, revêtue de la robe qu’elle avait voulue sortant des habitudes, ce jour étant inhabituel, leur amour l’étant tout autant et qu’elle avait enfilée non sans regretter amèrement l’aide de ce bon vieux Robert, le majordome grincheux mais toujours prêt à prêter main forte, surtout quand il s’agissait d’apercevoir une parcelle de peau féminine, elle était presque prête à appeler la voiture qui devait l’emmener à Noirlac.

Elle accrocha à son cou le lourd collier en or incrusté de pierres précieuses que Ludwig lui avait offert, puis glissa à son poignet le bracelet ayant appartenu à la mère de celui que allait devenir son époux, puis après avoir jeté un dernier coup d’œil à sa tenue, elle alla s’engouffrer dans la calèche.

(Sur la route vers Noirlac)

Elle se laissait aller à une douce rêverie, bien calée par quelques coussins censés lui éviter de vilaines marques bleues causées par d’éventuels chocs contre les parois de la calèche lorsque celle-ci passait dans les nids-de-poule qui parsemaient la route.

Enfin, elle trouvait le temps de savourer son bonheur, les jours précédents ayant passé à la fois très vite dans le tourbillon des préparatifs et très… trop lentement dans l’attente de ce jour béni. Elle en perdait presque le souffle, réalisant qu’elle allait unir sa destinée à celui qui lui avait redonné la joie de vivre qu’elle pensait avoir perdue définitivement quelques mois plus tôt.
Oh oui, elle l’aimait, cet homme fier, impérieux, exigeant et dont le caractère intraitable de Von Frayner faisait que parfois, il était détesté par certains. Oh oui, elle l’aimait et l’aimerait pour toujours, d’un amour infini et fou qui grandissait jour après jour, lui donnant la certitude que rien ni personne au monde ne pourrait les séparer.

(Noirlac)

Dans une dernière secousse un peu brutale, la calèche s’arrêta devant les portes de l’Abbatiale dont les portes étaient grandes ouvertes, laissant entrer les invités.
Une dernière vérification dans un petit miroir sorti du petit sac caché dans les plis de sa robe, et elle descendit de la voiture, aidée par la main secourable du cocher :

Merci, mon bon ! Veuillez aller quérir Messire Free, il doit certainement être déjà arrivé !

Gribouille arriva en retard et en courant trainant derriere elle Alkemie qui n'arretait pas de raler .

La blonde sur le coup se fit de tres mauvaise foi, en effet elle avait oublie la date du mariage de son amie liz et c'est Alke qui lui avait rappelé , ce fut donc en branle bas de combat que les deux femes partirent précipitament.

depeche toi alke on va etre en retard !!!

elle passèrent donc en courant devant la conciergerie un fois arrivée près d'un bosquet , elles se changerent rapidement et monterent les marches quatre par quatre , car bien évidement plus personne n'etait sur le parvis .
elles ralentirent en haut, lissant robe et coiffure et rentrèrent d'un pas lent et calme .

Elles entrerent dans l'abbatiale en salua au passage et s'intallerent pres d'isis et Viv.

coucou les filles ça va ?on a rien loupé ?

La Zahra, connait que trop bien cette abbaye, lieu ou son chevalier Amyr lui avait sous entendu qu'un jour elle serait sienne devant dieu, lieu ou malheureusement elle lui fit ces adieux pour ce monde et une promesse de le retrouver un jour au soleil paradisiaque, en attendant la route était bien longue et la Zahra continuait avec brio à flirter avec la Mort, et la Mirabelle, du coup, maintenant elle avait trois prétendants qui l'attendaient ou qu'elle attendait dans l'au delà, l'espérait que le bon Dieu lui offrirait une fleur du genre "polygamie Oki pour Zaza, droit à autant d'homme que je t'ai retiré de ce bas monde", oui mais bon, la brune n'était pas aussi gourmande, du coup, elle esquivera au mieux le paradis solaire et se trouvera un seul homme en enfer lunaire, plus excitant ............han les vils pensées démoniaques dans un lieu si saint, elle avait quitté la Lorraine depuis quelques jours déjà, et le voyage avait été plutôt calme, quelques demandes de laisser passer par ci par là, le Berry, toujours aussi accueillant (humpf t'parles même pas de liqueur de mirabelle dans leur taverne de la bière fadasse! ), une chance qu'auront les deux mariés , la baronne de Beaulieu en Argonne éternelle enivrée sera sobre, eh oui, pas de pot, elle ne supporte pas la vinasse et les autres amuse bouche, qui ne lui donne pas ce "goût" et qui ne la font pas grimper aux rideaux "haaaaaaaa ça arrache!".

Le regard qui recherche l'entrée de l'abbatiale, bien qu'elle connait le lieu, elle avait du mal à se repérer, elle saluait de la tête les personnes qu'elle croisait, puis ses pensées se plongent dans ses souvenirs, puis le visage de Liz, il y a quelques années, qui grimaçait à l'idée de rentrer dans une église, qui virer à coup de taloche sur les fesses, les personnes qui osaient l'importuner avec les discours sur l'amour, l'union devant dieu, mais également la politique dans son antre "la Chipotte", du coup, elles avaient apprit à faire passer les soirées, les journées en taverne de bien d'autres façons, la Zahra sourire aux lèvres, quand elle songe à ses idées tordues, un enlèvement de la Liz et du Srame juste pour les marier de force, avec un faux cureton pour la forme .

L'enivrée était surprise, mais elle savait que la roue tournait et que c'était que du bonheur!
Voila que Liz s'était fait arracher le coeur par un Von Frayner de quoi bien se marrer, et la charrier, la dame d'Epinal, donc c'était avec une immense joie que la Z se déplaçait pour une grande amie, et un super chancelier, qui avait réussi une mission, réveiller "la mort qui tue" dans la diplomatie Lorraine, mission plutôt ardue, mais bon en même temps l'homme n'avait il pas déjà réussi un exploit? ramener la Liz devant l'autel?

Il y a encore quelques mois, Zahra et d'autres lorrains l'avaient obligé à venir jusqu'au parvis de l'église d'Épinal, c'était aussi une sacré mission, donc le Ludwig avait de quoi être fier en somme, l'avait pas réussi à cueillir n'importe quelle fleur du duché, c'était "Liz" dans sa splendeur !

Avant de rentrer dans l'abbatiale, la brune, lisse rapidement sa robe et retire son chapeau "trop moche le fameux chapeau cyan son "doudou", pour remettre une mèche rebelle en ordre, allez zou, elle fait une entrée discrète, pour une fois elle ne titube pas.

Autre exploit, ne pas tituber est une chose, et arrivée à l'heure en est une autre, non la Zahra s'était surpassée hein!

L'abbatiale était encore quelque peu vide, elle salua les personnes présentes attendant la fin de cérémonies pour féliciter les mariés, mais tout de même elle leur fait son "bonjour" en bon et du forme .

Des bruits de fer à cheval et de calèche se firent entendre et la foule s'agita un peu plus. Paximus se leva et se retourna, ébloui par la lumière, il ne distinguait que des silhouettes agglutinées sur le parvis. Doucement la foule s'écarta pour laisser place à deux ombres qui s'avançaient lentement et qui pénétraient, accompagnées de murmures, dans ce lieu saint. Au fur et à mesure de leur progression, on apercevait plus clairement la future mariée au bras de messire Free que Paxi avait eu l'occasion de rencontrer dans une taverne d'Épinal. Lorsque Liz passa à côté de lui, Paxi fut envahi d'émotion de la voir si belle et radieuse dans cette robe blanche qui diffusait encore plus de lumière autour d'elle. Elle continuait sa montée vers l'autel d'un pas lent et régulier, Paxi lui fit un grand sourire lorsqu'il croisa son regard : *Dieu qu'elle est belle* se dit-il.

Une fois sa bien aimée, placée à ses côtés, devant l’autel ;
Une fois, dressés l’un à côté de l’autre, comme un tout, devant Dieu ;
Ensemble, dominant le monde ; ensemble, écrivant leur histoire ;
Notre bon Ludwig déclara d’une voix limpide et assurée :

" Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés. "

Un léger regard complice jeté à sa belle étoile ;
Un sourire accroché solidement à ses lèvres ;
La cérémonie pouvait commencer.

Un léger courant d'air, un bruissement de tissu , un bruit de talon qui frappe le sol régulièrement , la mariée faisait son entrée. Le silence se fit, elle comprit pourquoi. Elle la regarde s'avancer vers son promis qui semble hypnotisé. Il est une chose certaine à cet instant c'est que ces deux là s'aiment et qu'ils sont confiants dans l'avenir. Elle se souvient alors du dernier mariage en date où elle était allée..très récent d'ailleurs moins d'une semaine.

Elle est et était à chaque fois surprise par l'assurance qui émane ou émanait des couples qui franchissaient le pas. Peut-être qu'un jour elle connaitrait ça, petite moue dubitative, de toute façon problème est réglé, mariage en Orléanais on fait parler les témoins sur les mariés lors de la cérémonie et donc voilà. Hop hop ma fille reste concentrée sur la cérémonie qui est différente en bien des points avec ce qu'elle connaît.

Elle récite à voix basse la prière.

" Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés. "

[En passant par la Champagne...]

La route avait été longue depuis la Champagne... Plus longue que ne l'aurait cru Sybille... Si longue que le convoi avait pris un retard considérable.

Dans le carrosse, elle s'énervait, s'agaçait, soupirait. Elle aurait tant aimé voir son mari avant le début de la cérémonie...

- Nous n'avonçons pas !

Lison, sa fidèle suivante, tachait de l'apaiser.

- Ma Dame, il faut vous calmer. Nous arriverons. En retard certes, mais nous arriverons.

Et Sybille, d'une humeur de chien, de rétorquer...

- Des heures dans ce coche ! J'en ai raz le bol et l'estomac sans dessus dessous !

Lison allait répondre quand le cocher l'interrompit d'une voix forte.

- NOIRLAC EN VUE !

- Et bien ! ce n'est pas trop tôt !

Sybille se pencha pour regarder à travers la fenêtre du portillon.

- Et moi qui suis vêtue d'une robe de voyage ! J'espère que je ne vais pas trop dénoter.

Elle lissa son jupon. Lison sourit, bienveillante. Même malade, sa maîtresse restait coquette ! On ne referait pas sa Sybille ! Pour sûr !



[Sur le parvis]

Livre des vertus en main, la duchesse, accompagnée de sa suivante, poussa la lourde porte du sanctuaire.

La cérémonie, évidemment, avait débuté. Le regard de la jeune femme fut irresistiblement attiré par l'officiant. Elle sourit tendrement en le voyant. Cela faisait plusieurs longs jours qu'ils ne s'étaient pas vus et il lui manquait terriblement.

Elle leva la main à son attention et, discrètement, prit place dans les derniers rangs pour ne pas déranger le déroulement de la messe. Elle aurait voulu courrir vers lui et le serrer dans ses bras. Mais il fallait avouer que ce n'était pas du tout de circonstance...

Toute absorbée qu'elle était par la contemplation de son époux, Sybille avait oublié tout ce qui l'entourait. Petit à petit, elle reprit ses esprits.... Liz, Ludwig...

La robe de la mariée était vaporeuse, d'un blanc immaculé. Elle était magnifique... Ludwig quant à lui était fier, droit... Son port altier le mettait en valeur. Il ressemblait à un conquérant. C'est du moins ce que pensait la brunette.

Regard à Lison... Sourire... Murmure...

- Vous vous sentez mieux Ma Dame ?

Sybille déglutit.

- Oui... Toujours barbouillée... Mais j'ai connu pire... Ce fichu coche aura eu raison de mon estomac !

Gribouille n'eu pas le temps de repondre à Isis que déja la mariée fit son entrée .
une mariée magnifique.
et la cérémonie commenca, elle recite donc le prière du pardon :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

puis le crédo :

Je crois en Dieu le très haut puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
des Enfants et du Paradis
Juge de notre âme à l'heure de notre mort.

Et en Aristote son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos
Né de Maria et de Gioseps
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut

Je crois en l'action divine,
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine
Une et indivisible
En la communion des saints
En la rémission des pêchés
En la vie éternelle
amen

Elle sursauta quand elle entendit son nom ...enfin grogna un peu quand elle entendit "soeur Gribouille" mais elle se leva pour parler en tant que temoin.

Elle se dirigea vers l'autel sourit aux mariés :

on donne plein d'amour à tout le monde ...ses amis , ses parents, ses frères et soeurs ...à Dieu.
Mais il est un amour unique ...celui qu'on ressent ...pour l'être qui sera le plus cher à notre cœur , celui qui partagera avec nous nos espoirs et nos désirs les plus secret. Bien sur pour certain il est partage pour d'autre il est de donner sans compter et ne rien attendre en retour.

Je connais peu Ludwid étant resté que quelques jours à Épinal , mais je me suis fait une idée …pas du tout à son avantage je vous l'accorde ..car pour moi il est jaloux , possessif , hautain et même des fois très désagréable ….limite insultant. Mais une chose pour laquelle il aura mon respect c'est d'avoir redonné le sourire à ma liz quand elle a eu besoin .

Si vous parlez avec Liz , vous verrez qu'elle le voit différemment de nous ..pour elle il est comme un rocher sur lequel elle peut s'appuyer , il la protège , la guide et la rend terriblement amoureuse comme si sa vie à elle tournait autour de lui. Des choses qu'elle ne ferai pas hier elle le fait aujourd'hui.... pour lui . Elle trouvera toujours une excuse à quelque chose que vous n'avez pas aimé chez lui .

On aime plusieurs fois dans nos vies ..mais jamais de la même façon. Tout ce que j'espère c'est que cette fois là pour liz c'est la bonne car voyez vous notre liz a souffert , elle aime aider les autres et elle est toujours là pour ses amis . Alors Ludwig j'espère que sur cela vous le changerez point car c'est pour cela qu'on l'aime nous et je suis sure c'est ce qui vous a plus en elle .

Sinon ben...Je vous souhaite tout le bonheur du monde .

Puis elle retourna à sa place .

écoutent gribouille c'était bien ce quelle disait, un sourit a grib puis comme tout le monde elle récité le pardon


Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

puis le crédo :

Je crois en Dieu le très haut puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
des Enfants et du Paradis
Juge de notre âme à l'heure de notre mort.

Et en Aristote son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos
Né de Maria et de Gioseps
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut

Je crois en l'action divine,
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine
Une et indivisible
En la communion des saints
En la rémission des pêchés
En la vie éternelle
amen

Lorsque la porte s'ouvrit, Vivlyne sourit voyant son amie Liz dans sa belle robe remonter aux bras de Free, l'allée. Une simple pensée vint à son esprit "pourvu qu'elle ne trébuche pas!".

Une fois à hauteur de son futur époux, le frère Uriel entama la cérémonie en narrant un passage du livre des vertus puis invita les futurs époux et aux gens présents en ce Saint Lieu, à réciter la prière du pardon, ce qu'elle fit

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

puis enchaina avec le Credo

Je crois en Dieu le très haut puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
des Enfants et du Paradis
Juge de notre âme à l'heure de notre mort.

Et en Aristote son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos
Né de Maria et de Gioseps
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut

Je crois en l'action divine,
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine
Une et indivisible
En la communion des saints
En la rémission des pêchés
En la vie éternelle
amen

Les prières dites, le silence se fit, c'est alors que le frère Uriel appela les témoins afin que ces derniers puissent parler avec franchise sur les futurs mariés.

Viv écouta silencieusement et se fut Gribouille qui prit la parole en premier. Elle reconnu bien là son amie Gribouille pour sa franchise de dire ce qu'elle pensait.... Viv sourit malgré tout et attendit les dires du second témoin.

Je crois en Dieu le très haut puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
des Enfants et du Paradis
Juge de notre âme à l'heure de notre mort.

Et en Aristote son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos
Né de Maria et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut

Je crois en l'action divine,
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine
Une et indivisible
En la communion des saints
En la rémission des pêchés
En la vie éternelle
amen

Liz récita le credo sans bafouiller, sa voix ayant retrouvé quelque assurance, puis adressa un clin d'oeil à Gribouille qui s'était levée, invitée par Uriel à venir dire quelques mots, mais elle restait malgré tout un peu inquiète de ce qu'allait dire son amie et témoin: Avec Gribouille, il faut s'attendre à tout, pensa-t-elle, amusée.
Elle ne put s'empêcher de pouffer de rire en l'écoutant décrire le caractère de Ludwig, malgré qu'elle était très émue par les paroles franches mais empreintes de profonde amitié prononcées par son amie.

Puis ce fut le tour de Alban de prendre la parole. Alban, ce frère dont Ludwig lui avait si souvent parlé. Elle-même ne le connaissait que depuis peu, mais très vite, elle avait appris à l'apprécier et elle avait pu constater qu'il possédait lui aussi un caractère bien trempé, héritage familial sans doute, et que les deux hommes étaient unis par un solide lien fraternel.

Lorsque Alban se tut, elle lança un regard à Ludwig ... Oh oui, ils allaient être heureux!