Ordination de Dame_oiselle

Neocor vint une fois de plus vérifier l'abbatiale, puis regarda si les éléments aristotéliciens étaient bien présents... Tout était parfait... Ce jour allait être officiée une importante cérémonie, celle de l'ordination de Dame_Oiselle...

Neocor se rendit sur le perron et attendit après avoir sonné les cloches à la volée...

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Un jour important parmi tant de jours importants.
Dans sa cellule, Uriel hésita sur quels habits il devait mettre : sa tenue de Capitaine Episcopal ou une simple bure de moine ...

Il savait que Oise aimait particulièrement les uniformes, mais cela lui aurait rappelé des souvenirs peut être trop récents ... il opta donc pour la tenue classique et simple de ses frères.

Arrivé devant la Chapelle, il s'arrêta, inspirant ... il tenait absolument à être là, à épauler sa soeur dans ce tournant de sa vie.

Il salua donc Monseigneur Neocor

Bonjour, Monseigneur,

C'est une belle journée pour un tel sacrement, n'est-ce pas ?

Le vieux Prêtre donna l'accolade au Capitaine Uriel, montrant une véritable joie de le retrouver... Il s'était vétu d'une bure, comme lui-même, laissant se ornements d'archevêque dans la sacristie...

Bonjour mon Frère, c'est en effet une très belle journée qui s'annonce... Je suis un peu désorienté cependant, c'est la première fois qu'il m'est permis d'ordonner une dame mariée... enfin avec le consentement de son époux, bien sur !

Cellule de Titca

Une grande question lui trottait dans la tête, c'était aujourd'hui et pourtant, la jeune femme ne savait pas quoi faire. Osiele était son amie oui, mais elle n'était pas invitée ? Avait-elle besoin d'une invitation ? Non ? Si ? Raaah ! Titca marchait de long en large dans sa cellule dans ses mains, son enfant la petite dernière Natanäelle qui dormait bien sagement. Bon alors iras n'iras pas ? Regardant la petite elle se mordit la lèvre et soupira. Après tout pourquoi pas ? Pourquoi juger cette soeur qui donnait sa vie à l'église à des personnes comme elle. Sortant de sa cellule, elle courut rejoindre celle de Jac et lui donna la petite sans grande explications, heureusement son époux n'était pas curieux et il savait, il savait très bien qu'une fois la décision prise, Tit ne reculait pas.

Abbatiale quelques minutes plus tard.

Après avoir remis ses cheveux en place, rapidement enfiler ses vêtements cisterciens et fait un brin de toilette, Titca entra dans l'abbatiale, deux frères y étaient déjà. Mais pas de soeur, heureusement ! La décision était prise, la soutenir ! Facile et efficace ! Puis elle lui devait bien cela à Osiele ! Non mais ! Souriante elle s'inclina devant Uriel et l'évêque Neocor, puis s'assit sur un banc et regarda derrière elle, rien ?

Bonjour mes frères.

Dans un sourire elle Haussa les épaules, Titca profita de ce moment de calme pour prier un peu et refaire la paix avec elle-même, elle en avait besoin...tellement besoin.

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Uriel répondit à l'accolade fraternelle de Monseigneur Neocor et l'écouta.
Il prit une mine un peu grave.

Oui, je comprends, mon Frère, c'est ... comment dire ... peu banal, mais si tel est leur choix à tous deux.

Notre pauvre soeur a subi pas mal de déconvenues, hélas ; j'eus tellement souhaité qu'elle trouve le bonheur dans son mariage.
Si elle peut trouver son aboutissement dans la prêtrise - et je lui souhaite sincèrement, cela ne sera que pour la plus grande gloire de Dieu.

Il éprouva encore de la tristesse pour sa soeur, elle n'avait pas mérité ce qui lui était arrivé, la pauvre.
Parfois les hommes pouvaient être bien cruels.

Ensuite arriva Soeur Titca, enfin libérée de sa grossesse, il lui sourit.

Bonjour ma soeur,

Alors ? Comment va votre dernière née, la petite Nathanaëlle ?

Reprenant les bonnes habitudes, Ellya avait convenu avec sa détresse du moment qu'elle l'attende dans sa cellule le temps de l'ordination de sa soeur. Cet accord servant plus à la jeune fille à se donner du courage pour afficher un teint lumineux que pour sombrer dans la folie, fut mis en place dès que le son des cloches retentit dans l'Abbaye.

Vêtue et coiffée simplement, elle laissa ses pieds la porter vers l'Abbatiale, tout en se rappelant une conversation qu'elle avait eu avec Oisele quelques mois plus tôt.

" Si mon époux me quitte, je rentre dans les Ordres ", avaient-elles toutes deux affirmé.

Son mari ne semblait pourtant pas avoir voulu se séparer d'elle, mais Oise était tout de même prête à se lier au Très-Haut. Ce que la vie a d'étrange et d'incompréhensible, parfois...

Sur l'heure, la nonnette aurait apprécié d'appliquer sa pensée d'avant.

Un bref sourire se dessina sur son visage quand elle aperçut trois de ses frères et soeurs d'ores et déjà arrivés. Si elle eut été moins bavarde, sans doute les eut-elles réprimandé de discuter ainsi à pleine voix dans ce lieu saint. A l'inverse, elle se dirigea plus franchement vers eux avant de s'asseoir près de sa soeur Titca. En proie à de gros chagrins récemment, il lui semblait de son devoir de lui apporter une vague de réconfort par sa présence.

Se contentant d'un signe de tête pour tous les saluer et laissant Uriel avec sa soeur, Ellya fit les quelques prières silencieuses habituelles pour que la cérémonie se passe bien.

Tit leva les yeux vers le frère Uriel et sourit en coin, stoppant en même temps sa prière. Regardant Ellya entrer elle lui sourit aussi et la remercia du regard en silence, avant de murmurer pour Uriel assez doucement histoire de ne pas s'attirer les foudres de la belle Ellya.

Elle va très bien mon frère, une jolie et douce petite fille... mais elle risque de pleurer pendant la cérémonie voilà pourquoi je ne l'ai point prise avec moi.

Lui accordant un sublime sourire, elle retourna à ses prières pour ne pas perturber l'entrer de la soeur Osiele. Tous deux aurais le temps de bavarder plus tard.

Une cérémonie en l'abbatiale...

En somme, rien de bien exceptionnel, sauf que cette fois-ci ce serait une ordination, la prise de l'habit monastique cistercien par une soeur qui s'estoit beaucoup investie pour l'ordo et qui avoit peu avant convolé en justes noces.
Eloin avoit appris la tristesse et le malheur qui s'estoit emparé de la jeune espousée, et elle comprenoit son désir de s'investir un peu plus dans un amour du Très Hault qui devoit se batailler en duel avec l'amour éprouvé pour son mary.
Pour sa part, elle n'en estoit point à se poser une telle question, mais il luy falloit bien s'avouer que l'idée l'effleuroit de temps à aultre, sans qu'elle puysse pour le moment vraiment trancher sur la question. Alors elle continuoit sa vie ainsi, attendant vainement une lettre ou une apparition d'un mary toujours absent, réfléchissant sur son devenir et la suite de son existence, se demandant si elle aurait ou non la trempe pour prendre une cure et guider les fidèles dans la communauté aristotélicienne et dans le service de Dieu...

Elle s'estoit levée à l'aube, ce matin-là, profitant des quelques heures qui la séparoient du début de la cérémonie pour se rendre à la ville voisine, et s'offrir un long moment dans une étuve emplie d'eau chaude et parsemée de pétales de roses.

Elle y estoit allée en tenue civile, alors, bien sur, sans luy demander si elle souhaitoit se "divertir", la tavernière luy avoit discrètement faict amener un jeune homme de belle prestance pour luy tenir compagnie, ce dernier n'estant vestu que d'une courte et moulante paire de braies qui laissoit fort bien deviner son anatomie...

Choquée de cette attention et mortifiée d'estre vue dans le plus simple appareil par un homme aultre que son espoux, la jeune femme avoit ordonné au jouvenceau de quitter la pièce et s'estoit rhabillée bien plus vite qu'il ne falloit de mots pour le dire. Revenue au devant de la tenancière, elle avoit laissé éclater une colère non feinte, et avoit sorti de sa besace son scapulaire noir, signe de son appartenance à l'ordre cistercien, pour le brandir devant les yeux de la femme ahurie.

Ayant payé son dû avec une certaine réticence, elle s'estoit promis de ne plus jamais remettre les pieds en ce lupanard, et remonta sur le dos de sa jument afin que de rentrer à Noirlac à birde abbatue. La prochaine fois qu'il luy faudrait se rendre parfaitement propre pour une quelconque occasion, elle se rendrait aux étuves en tenue de moniale, ainsi tout doute serait dissipé !
C'est donc les joues encore un peu rouges de honte et d'indignation que la jeune femme entra dans l'abbatiale, ayant pris soin auparavant de laisser sa monture aux écuries avec une bonne dose de fourrage pour compenser le galop effrené qu'elle luy avoit imposé sur la route du retour. Elle se rendit compte assez tardivement qu'elle n'avoit point faict de détour par sa cellule pour revestir les habits cistercien, et, ses frères et soeurs l'ayant ouïe arriver, il estoit maitenant trop tard pour faire demi-tour.
Eloin lança donc un regard d'excuse à celuy qui officierait ce jour, lissant machinalement les plis de sa robe de velours vert qu'elle avoit récemment reçu d'une jeune cousturière aux doigts en or, et alla s'installer près de soeur Ellya qui sembloit s'estre isolée du reste du groupe. Son visage fermé laissoit certes transparaistre les prières qu'elle récitoit silencieusement, mais la jeune femme devina que cette mine cachoit aultre chose. Et la conversation qu'elle avoit eu un soir, bien après que le soleil ne se soit couché, luy revint en mémoire. Estoit-il possible que son union avec son amy ne soit compromise par une quelconque mésentente ? Elle l'ignoroit, et elle souhaitoit que non, mais la vie avoit de ces déconvenues, parfois, que plus rien ne l'étonnoit désormais...

Oisele entra enfin dans l'abbatial. Elle arriva la tete basse les mains jointes le regard baissé. Elle marcha tout en priant jusqu'a l'autel... Ses freres et soeurs étaient déjà là... Elle leva la tete a leur hauteur et leur sourit... Elle regarda avec insitance le visage de son ami Uriel qui semblait inquiet pour elle... Discretement elle lui tira un tout petit bout de langue avec un léger clein d'oeil puis continua.

Retraitant Nombre de messages : 139 Date d'inscription : 04/04/2008

Patrocle se promenant dans les couloirs appris l'ordination de Sœur oiselle par hasard, il s'habilla sur son 31 rapidement et se dépêcha d'aller y assister.

Resplendissant de cierges, tendu de drap noir et violet brodé d'argent et de perles, le maitre autel dominait la foule, écrasant de pureté sévère... Debout au dessus des Frères et Soeurs agenouillées, le bras levé, le Grand prieur prononçait les paroles d'absolution; et tant d'yeux se relevaient vers cet homme tout revêtu, tout enveloppé, marqué et scellé de partout de la grâce et du pouvoir du Très Haut, avec sa mitre étincellante, son anneau d'améthyste, sa crosse dorée, et ses fines mains blanches qui déversaient le pardon venu d'en haut...

Mes Frères, mes Soeurs, mes Amis, cher et dévoué Recteur, il est temps maintenant de procéder à la Cérémonie (interactive) d’ordination de Dame_Oiselle prêtre de l’Abbaye de Saint Arnvald.

Dame_Oiselle, approchez vous et mettez vous à genoux devant moi...

Fille bien-aimée, Sœur Oiselle, vous avez choisi récemment la Voie de l’Eglise, et pourtant, l’Eglise est votre préoccupation depuis des lustres ! Vous avez été un membre très actif de notre Communauté et avez choisi de casser les liens de votre mariage, en accord avec votre époux, afin de vous consacrer entièrement à la religion aristotélicienne.

Avant d'être ordonnée prêtre, il convient, chère Dame_Oiselle, que vous déclariez devant l'assemblée votre intention de recevoir cette charge.

Voulez-vous être consacrée à la prêtrise de l'Église Aristotélicienne ?

Voulez-vous accomplir votre mission de prêtre avec charité et simplicité de cœur, pour aider votre Recteur, votre Grand Prieur ainsi que tous les dignitaires de l'Ordre, et faire progresser le peuple aristotélicien ?

Oisèle releva la tête en direction très honorable frère Neocor, le regardant de ces grands yeux verts elle était en émois devant le Grand Prieur. Son cœur battait a tout rompre et malgré la tristesse de sa récente séparation avec son mari Temudjin, elle était prête à entrer au service du Très Haut. Un léger parfum de lys dans l’abbatiale émanait des bouquets de fleurs qu’elle avait emmené la veille et se mélangeait a l’odeur d’encens que frère Neocor avait tout près de lui. La voix de l’officiant résonné dans ce silence…

- Mes Frères, mes Soeurs, mes Amis, cher et dévoué Recteur, il est temps maintenant de procéder à la Cérémonie (interactive) d’ordination de Dame_Oiselle prêtre de l’Abbaye de Saint Arnvald.

Dame_Oiselle, approchez vous et mettez vous à genoux devant moi...

Oisèle s'agenouilla devant l’autel où se trouvait frère Neocor, elle était un peu mal a l’aise d’être le sujet de la cérémonie du jour alors que son habitude était plutôt d’être l’officiante voir même le témoin d'autres cérémonies...

- Fille bien-aimée, Sœur Oiselle, vous avez choisi récemment la Voie de l’Eglise, et pourtant, l’Eglise est votre préoccupation depuis des lustres ! Vous avez été un membre très actif de notre Communauté et avez choisi de casser les liens de votre mariage, en accord avec votre époux, afin de vous consacrer entièrement à la religion aristotélicienne.

Avant d'être ordonnée prêtre, il convient, chère Dame_Oiselle, que vous déclariez devant l'assemblée votre intention de recevoir cette charge.

Nerveusement Oisèle fit entendre sa voix frêle en cet instant…

- Oui mon frère, devant tous mes frères je désire exprimer mon désir de prendre la prêtrise comme ma nouvelle vie. J'abandonne ma famille pour être ordonné et j'accomplirais ma tache avec toute la charité et la simplicité de cœur que vous me connaissez déjà.

- Voulez-vous être consacrée à la prêtrise de l'Église Aristotélicienne ?

- Oui mon frère j’aimerais plus que tout au monde servir l’Eglise Aristotélicienne…

- Voulez-vous accomplir votre mission de prêtre avec charité et simplicité de cœur, pour aider votre Recteur, votre Grand Prieur ainsi que tous les dignitaires de l'Ordre, et faire progresser le peuple aristotélicien ?

- Je serais toujours présente pour notre ordre, et je dédierais ma vie à celle ci sous la tutelle de notre Recteur, de notre Grand Prieur et tous les dignitaires de l'ordre. Et je ferais tout mon possible pour faire progresser le peuple aristotélicien et je leur viendrais en aide aussi longtemps que le Très Haut me le permettra...

Soudain elle se tue ne sachant pas trop quoi rajouter d’autre car son cœur savait tout mais sa bouche avait des difficultés à exprimer se que ressentait celui-ci… comment dire ce qu’elle était et ce qu’elle ressentait vis-à-vis de l’Eglise et de son Ordre Cistercien… Elle était très honorée de la faveur que lui faisaient ses frères en l’ordonnant et elle leur serait à jamais reconnaissante de tous leurs soutiens dans les bons moments comme dans les moments de doute… Elle pensa a son époux qui lui avait donné son accord a contre cœur, il avait compris ce qu’elle était et ne pouvait que la soutenir dans un tel choix…

Retraitant Nombre de messages : 37 Date d'inscription : 29/09/2008

tem dans son habit d'apparat vint s'assoir au premier rang et malgré les dires de certain il n'etait pas cruel
il vint juste par repect de oise qui malgré ses choix demeurerait son aimée a toujours
il salua l'assemblée et specialement uriel puis se mit a prier aristote qui ne l'avait toujours pas comprit et qui avec un malin plaisir le faisait souffrir

je sais les voies du seigneur sont........

Elle avait accompagné son frère qui était terrassé par le comportement de son épouse.

Si pudique, il n'avait rien dit et avait refermé son chagrin en lui et elle n'en avait pas fini d'en vouloir à tant d'égoisme. Son frère et elle enfin retrouvés, après tant de souffrance et de peine. Et c'était pas leur faute qu'ils soient frère et soeur, mais quelle joie d'avoir enfin une famille. Elle serra le bras de son frère doucement frémissant quand certains décochaient des regards lourds. S'ils savaient! connaissant son frère et surtout l'amour qu'il avait pour son épouse, celui-ci ne dirait rien. Mais elle, blème de colère ne laisserait pas médire sur l'âme et la bonté de son frère.

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Assis dans les premiers bancs, Uriel assistait pour la première fois une une ordination.
Concentré sur le serment, il était néanmoins attentif aux personnes qui venaient y assister.

C'est alors qu'entra Temudjin ; d'un signe de tête, il l'invita à venir s'asseoir près de lui.
Son frère d'armes semblait bien s'être remis de ses blessures, mais il était triste et cela se voyait.

Parfois le destin était cruel ; deux êtres s'aimant, et finalement malheureux à deux en même temps.
Il le salua, et posa sa main sur son avant bras, en signe de soutien, car c'était fort gentil à lui d'être venu assister à ce grand évènement, car cela en était un malgré tout.

Entra alors la mairesse d'Epinal, qui vint s'asseoir à côté de son frère ; il la salua également.

Enfin, il se remit à écouter la cérémonie, car le Frère Neocor allait certainement finaliser le sacrement pour Oisele.

Neocor suivait la mélodie des paroles de Dame_Oiselle avec la plus grande attention... Son visage désigna tour à tour les quatre points cardinaux, ce qui lui permit de voir que d'autres personnes arrivaient encore...

Le silence, impressionnant, se déchira alors quand le vieux Prieur reprit la parole et que sa voix se perdit dans les voutes et revint en echo...

Les quatre éléments vous entourent, femme de foi, créature du très-Haut vouée à accomplir la mission la plus noble sur cette terre. Et vous en connaissez la raison. Je vous la rappelle :

Monseigneur Neocor ouvrit alors le Livre des Vertus et en lut un bref passage.

Citation :: Au centre du Temple Aristotélicien, le postulant à la prêtrise médite à genou au centre d'un cercle tracé autour de quatre colonnades sur lesquelles reposent des objets de belle facture. Une vasque d'eau pure pour l'eau, un petit brasier pour le feu, une pierre taillée pour la terre et un encensoir pour l'air sont les symboles des quatre éléments de la théorie aristotélicienne. Le cercle et le futur prêtre figurent eux le dernier élément mystique : l'Ether, symbolisation de l'âme et de la présence du divin en toute chose.

Neocor posa alors un regard bienveillant sur la postulante et sa voix impérieuse sollicita son engagement absolu et définitif.

Face à la flamme du brasier qui monte vers le ciel, Promettez-vous de vivre en communion avec l'oeuvre de Christos ainsi que dans le respect et l'obéissance de la hiérarchie de notre Sainte Eglise Aristotélicienne ?

Face à la pierre taillée, socle fondateur sur lequel repose toute l'architecture de l'édifice de notre Sainte Eglise Aristotélicienne, Voulez-vous consacrer votre vie à suivre le chemin illustré par les paroles d'Aristote ? Promettez-vous de vivre en communion avec vos collègues dans le respect et l’obéissance de la Foi et de notre dogme pour la vie ?

Face à l'odeur de l'encens qui chasse les mauvaises émanations, Promettez-vous de respecter de tout votre cœur, de toute votre âme et sans aucune restriction mentale les préceptes du droit canonique de notre Sainte Eglise Aristotélicienne ? Promettez-vous d'aider les enfants de Dieu à échapper à l’Enfer lunaire en les éloignant de toute hétérodoxie ?

Face à l'eau symbole de pureté, Promettez-vous de partager de tout votre cœur, de toute votre âme et sans aucune restriction mentale les préceptes de l'éthique aristotélicienne qui consiste principalement à trouver le juste milieu entre abstinence et débauche ? Promettez-vous de tout votre cœur, de toute votre âme et sans aucune restriction mentale de refuser de sombrer dans le péché en cultivant les vertus et en luttant contre les vices ?

En bref, vous engagez-vous devant moi et au vu de tous,Dame_Oiselle, à ne pas porter d’arme de combat à l’exception des armes d’apparats liées à la noblesse ou au coutumier.

Vous engagez-vous à ne pas fonder de famille, de ce fait faire vœux de célibat et à ne pas adopter d’enfant.

Vous engagez-vous à être exemplaire en privilégiant l'étude à la recherche de biens temporels bien que vous soyez déjà accréditée « Théologien de l'Église aristotélicienne, universelle et romaine » et vous engagez-vous à mettre vos capacités au service de la vraie foi et des fidèles en général.

Vous engagez-vous à la triple obéissance : obéissance à la hiérarchie instaurée par Christos, l’obéissance aux dogmes, l’obéissance au droit canon.

Allez-y, répondez de toute votre âme et prononcez vos vœux de prêtre…

Titca sagement assise sur l'un des blancs, glissa sa main dans celle de soeur Ellya, un peu d'amour fraternelle dans ce monde de coup-bas et de mensonge, un grand bien. Les portes de l'abbatiale s'ouvrit à nouveau sur un couple des plus étranges. Tien tien, elle était de retour ? Sans chien cette fois-ci ? Aurait-elle appris les règles de courtoisie ou avait-elle peur que le prévôt arrive pour la faire sortir ? Lors du mariage elle ne c'était pas gêner à se montrer à la vue de tous, aujourd'hui plus discrète apparemment peut-être parce qu'il n'y avait plus rien à détruire, sauf son honneur, ou que cette charmante femme avait enfin remarqué son manque de respect au très-haut et à l'abbaye ? Mais c'était une autre histoire, après tout sans intérêt notoire.

Souriante l'adjointe du prévôt reposa son regard sur l'officiant et surtout Osiele, elle était au centre de toute cette attention et tous les frères et soeurs étaient présents dans un seul but la soutenir dans son choix! Le bon choix... cette femme avait du talent dans son travail et du courage, elle était belle et appréciable. Merveilleux soeur elle fera une carrière hors norme.

Était venue le même des voeux, Tit ne respirait plus et sourit fière, très fière de son amie, de sa soeur de coeur et sa supérieur aussi.

Oisèle entendit d’autres personnes entrer et ne pu s’empêcher de regarder qui se présentait en l’abbatiale. Temudjin était là accompagné de sa sœur. Elle lui fit signe de la tête pour le remercier d’être venu. Il avait compris que le bien collectif dépasser le bien personnel. Le faite que Oisèle fasse un tel sacrifice était signe d’une grande générosité en vers son prochain. Ils s’aimaient tout les deux infiniment et s’aimeraient toujours mais chacun d’eux avait compris le vrai sens des actes que Oisèle devait faire aujourd’hui.

Frère Neocor repris alors la cérémonie. Parlant des quatre éléments et de sa propre personne comme étant le cinquième élément, elle sourit a cette pensé… Elle regarda la flamme du brasier qui lui fit penser à sa propre flamme qui représentait son amour pour le Tres Haut tel un feu qui danse et qui vit et qui aime aller toujours plus haut pour rejoindre le ciel et le Tres Haut…

Oui je promets de vivre en communion avec l'oeuvre de Christos ainsi que dans le respect et l'obéissance de la hiérarchie de notre Sainte Eglise Aristotélicienne.

Puis détournant son regard sur le deuxième élément que lui présentait frère Neocor, elle regardait la pierre de taille qui lui fit penser que le Tres Haut nous a donner ces pierres pour que tel une maison nous construisons avec chacun des membres de la communauté un lien fort pour nous permettre de construire un avenir où la foy serais dans le cœur de tous.

Oui mon frère, je veux consacrer votre vie à suivre le chemin illustré par les paroles d'Aristote. Je promets de vivre en communion avec mes collègues dans le respect et l’obéissance de la Foi et de notre dogme pour la vie.

Attiré par l’odeur du troisième élément, l’encens, elle ne pu s’empêcher de se demander comment avec cette si délicate senteur on pouvait chasser les mauvais esprits… Il faut croire que tant que l’on n’est pas sois même un mauvais esprit, on ne peut comprendre cela…

Je promets de respecter de tout cœur, de toute mon âme et sans aucune restriction mentale les préceptes du droit canonique de notre Sainte Eglise Aristotélicienne. Je promets d'aider les enfants de Dieu à échapper à l’Enfer lunaire en les éloignant de toute hétérodoxie.

Face a l’eau qui couler tel la vie sur la terre, elle se sentait bien et aimait beaucoup cet élément… La pureté… le geste de Oisèle n’en été que pur quoi que l’on dise ou quoi que l’on en pense.

Je promets également de partager de tout cœur, de toute mon âme et sans aucune restriction mentale les préceptes de l'éthique aristotélicienne qui consiste principalement à trouver le juste milieu entre abstinence et débauche. Je promets de tout cœur, de toute mon âme et sans aucune restriction mentale de refuser de sombrer dans le péché en cultivant les vertus et en luttant contre les vices.

Elle attendit quelque peu afin de reprendre son souffle. Ce moment très important pour elle était si… si… émouvant. Elle aurait bien bu un tit peu de cette eau pure mais n’en fit rien… Ses pensés virevolter dans sa tête. Tout ses promesses que déjà elle respecté depuis fort longtemps… Là le faite de le dire a voix haute lui fit comprendre le réelle engagement de sa personne en vers le Tres Haut et en vers l’Eglise. Elle reprit….

Je m’engage devant vous tous, à ne pas porter d’arme de combat à l’exception des armes d’apparats liées à la noblesse ou au coutumier.

Je m’engage également à ne pas fonder de famille, de ce fait faire vœux de célibat et à ne pas adopter d’enfant.

Ca c’était clair dans son esprit puisqu’elle abandonné ce qu’elle avait de cher a son cœur pour être ordonnée.

Je m’engage à être exemplaire en privilégiant l'étude à la recherche de biens temporels bien ou je suis déjà accréditée « Théologien de l'Église aristotélicienne, universelle et romaine » et je m’engage à mettre vos capacités au service de la vraie foi et des fidèles en général.

Je m’engage surtout à la triple obéissance : obéissance à la hiérarchie instaurée par Christos, l’obéissance aux dogmes, l’obéissance au droit canon.

Elle avait tout répété sans rien oublier, du moins elle l’espérait… c’était beaucoup a se rappeler pour sa petite mémoire mais c’était en elle déjà depuis fort longtemps… Elle regarda Frere Neocor de tout son être comme si ce qu’il allait dire aller la faire directement monté au ciel… sa bénédiction était tellement impressionnante et solennelle que ca lui fit monté une larme au coin de l’œil mais la garda précieusement jusqu'à la fin…

Les vœux prononcés, Monseigneur Neocor apposa ses mains sur la tête de Dame_Oiselle toujours agenouillée au centre du cercle délimité par les quatre éléments. Il ferma les yeux un moment, se remêmorant les paroles de sa Soeur, s'imprégnant des engagements qu'elle venait de prendre. Il redressa une fois de plus son vieux corps usé

Que le Feu aristotélicien purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Que la Terre aristotélicienne purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Que l'Air aristotélicien purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Que l'Eau aristotélicienne purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Béni ton serviteur, Ô Très-Haut Tout Puissantet octroie lui ta protection et ta faveur.

Que l'Ether aristotélicien achève lui-même en vous ce les autres éléments ont débuté. Frères et Soeurs, avec tous les Saints qui intercèdent pour nous, confions à la miséricorde du très-Haut celle qu'il a choisi comme prêtre.

Dame_Oiselle, vous êtes désormais prêtre de l'Eglise Aristotélicienne Universelle et Romaine. Félicitations ! !

Récitez à présent le credo, Sœur_Oiselle, ce credo qui signifie pour tout Aristotélicien son adhésion pleine et entière au dogme.

Retraitant Nombre de messages : 37 Date d'inscription : 29/09/2008

tem n'en pouvant plus d'entendre l'adjointe au prevot "mêle tout" et se voyant comme quelqu'un de cruel et d'etrange selon les dires , remercia tout le monde de leurs acceuil pas toujours approprié mais bon
il prit ses enfants par la main et leurs dit d'embrasser leur mère pour la derniere et deçu de l'acceuil mesquin de certains ils s'en allerent esperant qu'Aristote dans sa bonté apprene enfin le pardon a certain et l'humilité a d'autres
il salua tout les present et sorti

L'adjointe du prévôt mêle tout, n'avait pas dit un seul mot depuis sa petite discution avec le frère Uriel, regardant la cérémonie bien sagement assise elle fut étonné pour ne pas dire choquer de voir que l'ex époux de la soeur lui lançait un regard des plus noir. Quoi encore un qui lisait dans les pensées ? C'était apparemment une maladie très grave pour la santé de lire les pensées des personnes. Aristote dans sa grande bonté devrait apprendre le respect à d'autre la cérémonie même pas terminer que certain fuyait déjà.

Tit regarda les enfants embrasser leur mère et secoua la tête, c'est fou comme certaine personne profitait de leurs ''pouvoirs'' pour blesser les gens. Un sourire aux lèvres elle regarda partir la petite famille et retourna à la cérémonie. Tellement plus intéressante.

Oisele se retourna encore pour voir Temudjin sortir de l'abbatial. Peut etre avait il trop de peine pour rester ici. Elle ne savait plus quoi pensé et était triste de le voir partir ainsi... Bref il fallait poursuivre la cérémonie et de tout son coeur elle récita le credo...

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Ainsi Dame_Oiselle venait d'être ordonnée Prêtre de la Sainte Eglise aristotélicenne... Son Credo achevé, Neocor prit une dernière fois la parole...

Mon Enfant te voilà désormais prêtre ! Je compte sur toi pour célébrer ta première messe demain dimanche ! Si tu as des soucis n'oublie pas de m'en faire part...

Puis le Grand Prieur lui donna l'accolade aristotélicienne, invitant chacun à la féliciter à la sortie de l'abbatiale...

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Uriel avait suivi toute la cérémonie avec grand intérêt.

Partageant
les doutes et les douleurs de ses amis : Oisele et Temudjin. Il les soutenait tous deux moralement, car ils étaient arrivés à un moment de leur vie où le chemin se séparait.

Monseigneur Neocor termina le sacrement et le Diacre de Lorraine se leva. pour se diriger vers Oisele.

Il lui donna l'accolade et la serra dans ses bras, mais pas trop fort tout de même, il ne tenait pas à l'étouffer.

Toutes mes félicitations, ma Soeur, voici maintenant que tu es sur la route pour ne plus oeuvrer que pour le Très-Haut.
Tu as beaucoup de mérite, tu sais. Je suis fier de toi.

Il se tourna alors vers l'Archevêque de Tarentaise.

C'était une très belle cérémonie, mon frère.

Puis il se recula, laissant les autres personnes présentes venir féliciter Oise ...

Le vieux Prieur était maintenant ému jusqu'aux larmes... Il avait vu Temudjin qui donnait de grands signes de tristesse... Il songea que la nouvelle ordonnée continuerait à l'aimer profondément, mais d'une autre manière... Il lui en parlerait un jour si le Très Haut voulait...

Il se trouva réconforté par la naturelle gentillesse d'Uriel qu'il appréciait beaucoup... "Celui-là aussi ferait un bon Curé dans mon archidiocèse..."

Entourée de Titca et d'Eloin, la jeune fille écouta attentivement l'ordination et les vœux l'accompagnant. Oui, attentive autant qu'elle le pouvait, elle ne laissait ainsi pas à ses mauvaises idées l'occasion de défiler devant ses yeux en la narguant.

Quand la cérémonie prit fin, elle se rendit alors compte qu'une de ses mains était emprisonnée dans celle de sa fugueuse soeur. Esquissant un sourire reconnaissant, elle se libéra doucement avant de se lever pour féliciter la nouvelle "moinette".

Cependant, avant de se diriger vers Oise, elle posa ses yeux vides sur l'intendante. Elles avaient partagé une nuit de confidence, et pour cette raison, la nonnette se sentait prête à lui vider son coeur. Hésitante, elle posa une main sur son épaule, évitant son regard pour ne pas fondre en larmes. D'une voix basse et tremblante, elle lui demanda s'il elle voulait bien lui accorder un peu de son temps.

Ne pouvant achever la suite de sa demande, elle s'esquiva sans attendre de réponse et vint prêt de la doyenne.

Je te félicite Oisele d'avoir su faire ce choix si difficile. Je prierai pour qu'il t'apporte ce que tu mérites.

Elle laissa à son tour sa place, saluant humblement le grand prieur d'un signe de tête, avant de s'immiscer dans le couloir à pas lent, espérant être vite rejointe...

Typhanie dans ses pensées, sentie soudainement la main de soeur Ellya lui échapper, étonner et confuse elle en rougit et se leva elle aussi. S'approchant de la soeur Osiele, elle ne savait pas vraiment quoi dire de ce genre de situation. Plutôt émouvante et pourtant tellement triste. Dans un sourire elle posa une main sur son épaule et décida de faire comme tout le monde.

Félicitations ! J'espère que cette nouvelle vie, vous apportera que du bonheur et de l'amour.

S'inclinant légèrement, Typh recula et laissa la place libre aux autres personnes désirant féliciter la nouvelle moniale. Remerciant du regard pour cette superbe cérémonie Monseigneur Neocor. Tit partie ensuite en direction des portes ou surement beaucoup de travail l'attendait encore.

L'arrivée tardive d'un couple luy fict à peine tourner la teste, elle qui estoit accoustumée, depuys qu'elle fut durant un certain temps la diaconnesse du village mainois de Montmirail, à ouïr les portes de l'église s'ouvrir et se refermer assez souvent, certains paroissiens n'oyant qu'une infime partie de la messe, d'aultres ne venant que pour communier et ainsi manger ce pain gratuit, d'aultres encore ayant la politesse de tout escouter en entier...

Elle venoit tout juste de se reconcentrer sur la cérémonie après ce petit souvenir que, pour sa part, elle trouvoit amusant, qu'elle entendit à nouveau des pas dans l'abbatiale, et cette fois, sa curiosité la poussa à se retourner. Elle apperçu alors la silhouette de celuy qui fut durant si peu de temps le mary de soeur Oiselle, compatissant à sa peine en se disant que son propre espoux, Lorenzo, devoit se sentir aussi abbandonné que cet homme en qui la tristesse se lisoit comme en un coeur ouvert...

Mais, jà, le père Néocor achevoit la messe d'ordination, et s'en venoit le temps des félicitations. Eloin n'y dérogea point, et s'apprestoit à se lever quand la main de soeur Ellya sur son épaule luy fict lever son regard sinople vers la jeune fille. Icelle avoict toujours au fond des yeux cette lueur triste depuys leur dernière conversation, ce qui la peina d'autant plus qu'elle partageoit, en quelque sorte, la douleur qui estoit la sienne. Hochant la teste à sa demande, et répondant à basse voix qu'elle la rejoindrait peu après dans le couloir, Eloin se leva et s'avança vers la nouvelle cistercienne, une soeur à part entière celle-ci.

Ma soeur, je vous félicite pour cet engagement et ce dévouement à l'ordre cistercien. Je suys heureuse pour vous, mesme si je sais que ce fut une décision qui se fict dans la douleur.

Puys, dans un élan de sympathie, elle serra "mère Oiselle" entre ses bras et déposa un léger baiser sur sa joue, avant que de se retirer non sans avoir salué d'une révérence monseigneur Néocor, homme pour lequel elle éprouvoit un grand respect, et dont la bonté luy rappeloit celle de feu monseigneur Zabouski.
Et, marchant d'un pas rapide pour rattraper sa soeur qui s'estoit jà enfuie de l'abbatiale, elle quitta le lieu sainct et rejoignit Ellya dans le couloir, glissant son bras sous le coude de la nonette accablée.

Je vous escoute, ma soeur...

Oisele a son grand étonnement fit des accolades a tout ses freres et soeurs de l'abbaya en commençant par ce "petit vieux" qu'elle aimait tant et dont elle vait un tres grand respect. Son accolade la fit rougir car elle n'avait point l'habitude que le frere Neocor soit si "familier".

Merci a tous, c'est grace a vous que je suis là et que mon cheminement vers le Tres Haut soit si important a mes yeux et en mon coeur. Quand je suis arrivée ici je ne pensais qu'a me faire baptiser, et vous m'avez tous fait prendre conscience, un par un, que cette voix était la meilleur pour moi. C'est grace a vous que je m'améliore de jours en jours.

Oisele laissa quelques larme perler sur ses joues rosit de joie. Emue elle n'osa point rajouter autres mots.

Retraitant Nombre de messages : 139 Date d'inscription : 04/04/2008

Patrocle alla félciter Mère Oiselle comme il se doit

Félicitation ma Mère lui dit-il en faisant une révérence

Une fois fait, il retourna sur Bourbon pour s'occuper des petits qu'il avait laissé à Nohell, espérant qu'ils ne l'ait pas fait tourner en bourrique

Arthé, assise au fond, avait suivi la cérémonie.
Elle était contente et fière de soeur Oisele.
Un jour viendrais ou ce serait qui serait intronisé et elle sourit a cette pensée.

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