Cérémonie du 29 novembre en l'honneur de la Saint Pape Nicolas V

Titca arriva dans l'abbatiale, l'ordre avait encore une fois vu les choses en grand pour cette fête.

Demandent à un novice de sonner les cloches, elle regarda l'abbatiale et frissonna, dans quelques temps il sera plein.
Afin avant cela peut-être était-il plus judicieux de laisser les invités et les membres de l'ordre arrivé calmement.
Proches des portes elle attendit donc selon la liturgie de l'ordre maintenant Le clergé devaient accueillir les fidèles à l’entrée de l’église.

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le père Artmaniak avait chercher toute la matinnée. Où la cérémonie pouvait elle avoir lieu? il chercha longtemps puis tomba sur un plan.

ET bien c'est mal indiqué tout cela dit-il a son compagnon de voyage Don Camillo.

Il aurait pus fait un petit truc, dans le style panneau d'indication.

Don Camillo fit un geste de la tête qui montrait sont accord.

Bien Maintenant que nous y sommes, attendons que le monde arrive. Il n'y a pas foule.

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Revêtu de sa bure de moine cistercien, Uriel se rendit à l'abbatiale, prêt pour la cérémonie qui se préparait depuis des jours.
Il eût pensé arriver en retard, mais ne vit pas grand monde.

Il salua soeur Titca ainsi que le Père Artmaniak.

Novice Nombre de messages : 112 Date d'inscription : 23/05/2009

Xollir se présenta sur le parvis de l'abbatiale, les cheveux en désordre et les yeux cernés de noir. La journée précédente avait été intensive pour lui.

Soeur Typhanie! Et... heu... Monseigneur! Comment allez-vous?
J'espère ne point être en retard.

Heu... Je rentre déjà dans l'abbatiale? Je ne sais où je dois me mettre...

Le père Artmaniak Salua Uriel d'un signe de respect envers le membre du chapitre et l'archidiacre de Trève.

Puis le voyant saluer une autre personne il se retourna et la salua aussi. C'etait sa soeur qui l'avait acceuillit à l'entrée

Bonjour ma soeur, Et bonjour mon frère Uriel. Je suis heureux de voir que nous ne sommes pas trop seul devant ce grand monument.

je commençais à avoir peur.

Il sourit au deux.

se retournant voyant et entant un nouvel arrivant qui avait l'air tout tremblant.

Il se pencha sur Uriel pour lui murmurer

Est-ce un des votres? C'est sa première foi?

il lui sourit

Tipoison fit un signe et sourit à soeur Titca avant de rentrer dans l' Eglise .

Elle vit Frere Uriel et se présenta pleine d enthousiasme aux deux personnes à ses cotés en souriant et en s inclinant :

"bonjour ,je suis Tipoison,enchantee!"

Le jeune séminariste en Aristologie se préparait tranquillement dans sa cellule, tenue blanche et grise comme à son habitude, il prit soin de prendre son chapelet héritage de feu son père.
Soudain les cloches sonnèrent, il sourit et sortit de l'aile des Séminaire et se laissa guider par le tintement des cloches. Arrivée devant l'édifice il salua les présents.

Bien le bonjour mes Frères & Sœurs.

Titca regarda le monde arrivé doucement, tranquillement, mais d'un coter cela était normal ! Les gens venais souvent tranquillement avant d'arrivé en masse. Souriante elle salua le frère Uriel d'une bise très Aristotélicienne et les novices ensuite qui semblaient angoissé, c'était amusant à voir, non pas pour ce moquer, mais cela rappelait des souvenirs. Aussi la maître des novices regarda Xollir et lui sourit doucement.

Ou tu veux mon ami, après tout les places ne sont pas noter ! Va donc au tu souhaite allez.

Puis elle se tourna et regarda Tipoison dans le même sourire, en voici une qui n'était en rien intimidée apparemment ! Une bonne chose !

Bonjour ! Comment va tu ? Bien le bonjour mon frère. Dit-elle à l'homme qui venait d'arrivé.

Artmaniak n'attendit pas la réponse de Uriel car une autre dame s'était présenté ici-lieu.

Il fit la même courbette et se présenta

Je suis le père Armaniak du Doubois, Curé de la paroisse de Vesoul qui se trouve dans le diocèse de Bensaçon. Je suis heureux de vous voir là ma fille, ou ma soeur, j'avoue ne pas savoir ce coup ci

et il se mit à rire

et voila que Thybault de Lunebourg était venu lui aussi. Son Thybault.

Et bien en effet ma soeur! Le monde vient tous d'un coup! Cela fait plaisir! Vraiment!

Bonjour Thybault!

Psy arriva à grands pas , elle avait peur d'être en retard .
Elle salua la soeur Titca et le Frère Uriel , puis vit que d'autres personnes étaient présentes , elle dit alors en s'inclinant :

Bonjour , je suis Psy , enchantée .

Artmaniak rit alors en pensant qu'il allait passé tout la journée a se présenter. Une idée de pencarte lui traversa l'esprit mais resta au stade de simple idée.

Il refit sa petite courbette mais avec moins de grâce que la première foi. Pensez donc, avec ses 55 ans bien tassé.

Et moi je suis le père Artmaniak! Enchanté par la même de votre rencontre!

Novice Nombre de messages : 112 Date d'inscription : 23/05/2009

Rougissement du novice. Il n'avait pas pensé à se présenter.

Pour ma part, je me nomme Xollir. Je suis ravi de vous rencontrer.

Il se retourne vers Typhanie.

Je vous remercie, ma soeur. Mais si les novices peuvent rester ici, ma foy, je crois que je fais profiter un peu de l'air frais.

Peut-être que cela m'empêchera de m'endormir pendant l'office.

Artmaniak poussa un petit soupire...

Bon Aller on y retourne! se dit-il.

il fit sa petite présentation puis se retourna.

Tiennez à propos? Qui va meuner la cérémonie? Vous ma soeur ou vous mon frère?

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Un petit groupe se formait avec les arrivants.
Uriel était toujours satisfait des ambiances conviviales comme celles-ci. Il s'approcha donc.

Bonjour Père Artmaniak, je pense en effet que les gens vont commencer à arriver.
Quant à Frère Xollir, il est novice en effet et suit ses cours avec soeur Titca.

Ah Frère Xollir, salutations !! Bienvenue !
Soeur TiPoison, venez donc avec nous !

Bonjour, Messire Thybault.

Soeur Psy, je vois que vous avez maintenant une lourde responsabilité !

Il faisait référence à sa qualité de soeur hôtelière, bien sûr.
Puis voyant le Curé de Vesoul s'inquiéter, il lui répondit.

Et bien en vérité, nous collaborons tous à la cérémonie.
Chacun en fait une partie. Notre Recteur sera là, je n'ai pas encore vu notre amie commune, Dame_Oisele.
au fait je vous remercie de ce que vous faites pour elle, cela me va droit au coeur

L'Oiselier, avait revétu une aube blanche de novice. Il avait un peu peur, il devait intervenir devant ses pairs.
Il vit que l'édifice commencait a emplire, il reconnaicait quelques novices mais aussi des précepteurs, et des frères et soeures croisées en diverses occasions. mais aussi des inconnus.

Bonjour mes frères et soeures.

le gros entra dans l'abbatial et pris place discretement en attendant que la cérémonie commence.

Un remue-ménage à l'entrée annonça l'arrivée du comte et de la comtesse de Nijmegen accompagnés de leurs enfants.

La comtesse Arielle était une dame vieillissante, au port digne et au sourire doux. Elle portait grand deuil et marchait à l'aide d'une canne, un bras sous celui de son époux flamand.

Dès son entrée sous la voûte sacrée, elle s'inclina pieusement avant de saluer avec mondanité les visages tournés vers elle et les siens.

Le bonjour à vous, chuchota-t-elle, sa voix assassinée se faisant difficilement entendre au milieu des bavardages.

Retraitant Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 29/11/2009

Persevael suivait sa mère de très près, se cachant derrière icelle lorsqu'il sentit les regards des gens se poser sur lui. Il était de nature timide et n'aimait pas les grands rassemblements. Cependant, il répondait aux sourires des autres personnes présentes à la messe.

Lorsque sa mère chuchota qu'elle arriva dans la salle, il sursauta malgré le son si peu fort de ses paroles et se cacha par réflexe derrière cette dernière.

Laurens, précédant toujours de manière bienveillante ses parents, son frère, entra dans l'édifice, s'agenouillant pieusement avant de continuer son chemin sous l'immense voute imposante tandis qu'il restait proche de sa mère, souriant à son père, devinant déjà ses pensées, du moins lui semblait il. Lui aussi avait senti cette odeur enivrante, délicieuse, que dis je ! transcendante qu'avait le houblon. Mais l'heure n'était pas à la dégustation d'une bonne et délicieuse bière. Les festivités ne tarderaient pas à venir. Saluant d'un regard, d'un sourire mais aussi d'un signe de tête, Laurens chercha quelques places pour sa famille, guidant la petite troupe à un banc qui serait assez grand pour tous les accueillir...

"Mère après vous je vous en prie."

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Uriel salua l'Oiselier et se dirigea vers la Comtesse de Nijmegen pour la saluer.
Il avait reconnu la Dame, malgré le fait de ne l'avoir vu qu'une seule fois.

Arrivé face à elle, il s'inclina et salua les personnes qui l'accompagnaient.

Bienvenue en ces lieux, Votre Grandeur.

Peut-être ne vous souvenez-vous pas de moi, en vérité.
J'étais au baptême de votre filleule, la charmante Sybille Von Frayner, lorsqu'il fut fait en la Cathédrale d'Aix, voici déjà de nombreux mois.

Arielle gratifia Uriel d'un sourire affable, détaillant attentivement les traits de l'homme.

Je vous remercie de votre accueil, murmura-t-elle, consciente du fait que l'homme allait trouver étrange qu'elle ne parle pas d'une voix normale. Il fallait tendre l'oreille pour l'entendre. J'ai certes souvenance de votre visage mais je crains que ma mémoire ne me fasse défaut en ce qui a trait à votre nom...

Elle eut l'air désolé. Il faut dire que l'époque où elle évoluait avec aise d'une réception à l'autre était révolue depuis longtemps. Désormais diminuée, elle ne pouvait plus si facilement se rappeler de détails tels que les noms des gens rencontrés une seule fois.

Permettez que je vous présente ma famille. Voici mon époux, le comte Jeanjacob de Gilraen, nos deux fils Laurens et Persevael, et ma fille Rose qui se tient silencieuse derrière nous.*

* [HRP] LJD Rose ayant dit qu'elle viendrait peut-être, je suppose qu'elle est arrivée avec nous mais qu'elle ne dit rien pour l'instant. Au pire, si la joueuse ne se pointe pas, elle restera silencieuse...

Elle n'était pas en retard mais pas vraiment à l'heure non plus.
Maudissant ses responsabilités qui l'occupaient plus que de raison à droite à gauche dans son Duché, elle entra au pas de course dans l'abbatiale et s'arrêta pour reprendre son souffle.

Elle se signa, puis s'avança vers la foule déjà rassemblée.

"Mes frères, mes soeurs, le bonjour.
Je suis Soeur Sakura, ravie de vous rencontrer."

Artmaniak trouva que tous ce monde présent fesait bonne chose pour l'EA.

et se présenta à chacun avec grande courtoisie

puis retourna vers Uriel.

et lui murmura pour que personne d' autre que lui ne puisse entendre

Et bien je me dis qu'elle ne doit pas être très fraiche notre cher soeur. Hier nous nous somme fait attaquer sur les routes et cette nuit elle a passé quelques heures dans une prison de Dôle... Le probléme de se faire attaquer et dépouiller juste avant de rentrer dans une ville qui interdit de vivre comme dans les autres villes et vous obliges à dormir à l'hôtel.

mais elle viendra, j'en suis sur, et jene sais pas ce que je fais pour elle mais bon si ça vous touche ça me touche

il sourit à son frère.

Ce 29 Novembre s'annonçait comme un jour très particulier! En effet, une grande cérémonie avait lieu en l'Abbatiale de l'Abbaye de Noirlac en l'honneur du Saint Père, le Pape Nicolas V.
Landelin sortait peu de sa cellule depuis le 4 Novembre dernier, jour de son arrivée en l'Abbaye Cistercienne, mais aujourd'hui, il se devait d'assister à cette cérémonie!
Il se leva tôt comme à son habitude et quitta le dortoir des novices et retraitants d'un pas pressé, et pour cause, il voulait à tout prix être dans les premiers rangs!
Arrivé dans l'Abbatiale, il s'agenouilla face à l'autel, fit son signe de croix et prit place en prenant le soin de rester silencieux...

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Il se rendit compte d'avoir parlé peut-être à voix trop basse pour garder la quiétude du lieu, mais il était vrai que pour l'instant l'office n'était pas commencé et que les retrouvailles allaient bon train.

Oh excusez-moi, Votre Grandeur ; oui, je me nomme Uriel.
En vérité, Frère Uriel, puisque je fais partie des oblats de cette abbaye.

La Dame semblait accuser durement le poids des années, il se dit qu'elle devait en souffrir énormément et il ressentit un de la peine pour elle.
Il faudrait qu'il en parle à Sybille afin qu'elle rende un jour visite à sa marraine ...

Il se tourna vers la famille d'Arielle et s'inclina, les saluant un à un.

Puis avisant le Père Artmaniak arrivé près de lui, il lui répondit.

Aïe ! Mince ! Et je suppose que cette "tête de mule" n'avait pas de mandat comme je lui avait suggéré d'en demander un ?
Il me faudra panser ses blessures alors, mais je vous rassure que je ne lui ferai aucune remontrance, à mon regard, je sens qu'elle va me dire ... "oui je sais, tu me l'avais dit !".

Un trait d'inquiétude marqua son visage, car il était réellement affecté pour sa très chère soeur.

Artmaniak remarqua que le visage de Uriel n'avait rien de paisible après l'anonce qui venait d'être fait.

Ho c'est bien ma faute aussi ! J'étais avec elle et je n'ai su la protégé. Je suis homme de Dieu et non homme d'épée comme vous mon frère.

et les mandats peut de maires les offres

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Le visage d'Uriel se détendit un peu

Je sais, mon Frère, et je ne vous blâme point.
Oh vous savez, mon épée ne me sert que rarement, je préfère user du Verbe d'abord, en tant qu'homme de Dieu avant tout, aussi, même si je ne suis point ordonné prêtre.
Ah je peste contre ces brigands, espérons que la justice franc-comtoise pourra les retrouver, mais quoiqu'il en soit, ils sont bons pour l'officialité pour blessures envers un prêtre !

Le Frère s'énervait rarement, mais il ne supportait pas les brigands, toujours s'attaquer aux plus faibles et les détrousser.

Oisèle avait bien eu du mal à enfiler sa robe de cérémonie… Le bras en écharpe, la jambe bandé, et quelques égratignures et de belle griffure sur sa nuque… Elle était vraiment mal a l’aise elle ne voulait pas paraître en si mauvais état… Elle prit sur elle d’enlever l’écharpe de son bras et de mettre sa plus longue robe avec la belle capuche relevé… aussi on ne voyait presque rien de son état… Boitant tant bien que mal elle attendait discrètement un peu avant l’abbatial que tout le monde entre et prenne place sur les bancs….

Non mais qu’elle tête de mule que je suis…. Il avait raison mon frère mais bon n’empêche que la prison c’est po de ma faute…. Quand j’y repense, j’en reviens pas qu’on mette en prison une diaconesse qui n’as pas de quoi se payer une nuit d’hôtel car elle s’est faites racketter….. Enfin j’ai pu prêcher la bonne parole la bas aussi heureusement, ca n’as pas que des mauvais cotés cette histoire d’hérétique…

Invité

N'ayant pas encore quitté l'abbaye avec la température qui empirait de jour en jour, l'inquisiteur arriva en l'église abbatiale. Cette fois-ci, il était plus présentable qu'à la dernière messe, et qui plus est il arrivait à l'heure.
Sa soutane noire faisait ressortir le col romain d'une blancheur à faire pâlir, et tressautant au gré de ses pas sur sa poitrine, sa croix inquisitoriale. Certes, il n'était pas commissionné en cette abbaye, mais ça ne faisait jamais de mal de garder ça toujours sur soi.
Il reconnut deux visages et s'approcha du groupe qui s'était formé.

Bonjour mes frères, bonjour Titca.

Retraitant Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 28/11/2009

franco remit son gilet en place,il avait laissé ses armes a la conciergerie.Il se recoiffa avec un petit peigne en ivoire,il prit un peu d'eau de senteur acheté au marchands arabe,le senteur était orangé..au note sucré.Il cira rapidement ses bottes,puis il prit sa giberne,et rentra dans l'église...Elle commençait a se remplir.Franco,s'essaya a coté d'une dame qui portait une longue robe.Il attendis que la cérémonie commence.

Défunt/Fantôme Nombre de messages : 7843 Date d'inscription : 27/01/2009

Tandis qu'il discutait, Uriel vit entrer le Père Graoully et l'invita à se joindre à son groupe.

Bonjour mon Père,
je vois que vous vous plaisez parmi nous !
Hum ... j'espère ne point vous avoir choqué avec mon crédo fort peu ... conventionnel. Je tenais néanmoins à faire partager à mes frères et soeurs ce texte qu'il m'a été donné d'entendre, ... je m'avancerais en prétendant que Saint Sylphaël aurait apprécié de l'écouter ...

Klervia avait pourtant entendu les cloches sonner mais elle avait eu du mal à se lever. Elle serait bien restée au lit ce matin là, quand elle se souvint que c'était une messe importante!
Elle bondit hors de son lit et se prépara en toute hâte. La jeune soeur sortit se cellule et se dirigea vers la chapelle.

Il y avait déjà du monde mais la cérémonie n'avais pas commencée. Klervia poussa un soupir de soulagement et salua les personnes présentes. Elle adressa un sourire à Xollir, puis elle se posta à côté de Psy est attendit la suite des événements.

Retraitant Nombre de messages : 70 Date d'inscription : 03/09/2008

Le Duc de Dun-le-Roy ne comptait pas rater la cérémonie en l'honneur de l'ancien pape, les occasions d'assister à un office religieux c'étant faites rares ces derniers temps pour lui, et encore plus de revoir des amis moines de Noirlac. Il avait toute la semaine essayé de ne pas oublier, surtout après s'être engagé à venir, alors lorsque le jour arriva, il s'y rendit, essayant de ne pas être en retard...

Lorsqu'il arriva dans l'abbatiale, il regarda rapidement l'assemblée réunie et se chercha un endroit où s'assoir, essayant de rester discret, à l'image de sa tenue sobre mêlant l'azur et le gueules comme disent les Hérauts.

Landelin observa en silence les différentes personnes entrer dans l'Abbatiale, tentant tant bien que mal de reconnaître les visages qu'il avait déjà rencontré.
C'est alors qu'entra Son Excellence Thomas de Clérel, qu'il eu la chance de rencontrer plusieurs fois lorsqu'il était encore, il y a peu de temps, Grand Consul de l'Ordre des Hospitaliers de St Jean de Jérusalem.
Il repensa au Concordat que le Berry avait accepté de signer avant qu'il ne décide de quitter l'Ordre et se demanda un instant si sa remplaçante avait pensée à lui faire parvenir le Concordat contre-signé par le Chapitre de la commanderie Hospitalière.
Le Sire de Crespin le regarda d'un oeil bienveillant en espèrant que son Excellence l'apercevrait et le reconnaisserait...

La rouquine avait chevauché longuemment pour être au rendez vous. Et c'était, les cheveux collés au visage, les joues et le nez rouges à cause du froid qu'elle était arrivée, passablement trempée au sein des murs de Noirlac.
Un tour rapide dans la cellule de sa soeur pour remettre un peu d'ordre à tout ça et arborer une tenue correcte et qui la mette un peu en valeur et elle s'était enfin rendue à la cérémonie.

Lorsqu'elle était arrivée, à part le visage de Typhanie, elle n'avait reconnu personne, néanmoins polie, elle avait salué discrètement d'un sourire et d'un signe de tête chaque personne pour aller se placer le plus près de Titca qu'elle put.
Adressant un clin d'oeil à sa soeur, elle s'assit tranquillement, attendant que cela commence, ayant hâte d'entendre la chorale. La maître troubadour aimait la musique d'autant plus qu'à cette occasion, elle n'avait pas manqué d'apporter sa contribution...

Souriante mais le visage fatigué et assez las, elle en profita pour adresser une petite prière au Très Haut au sujet de Loc...

Artmaniak qui venait de voir que la petit Diaconesse arriver alla à sa rencontre. Il souria puis lui dit

Ne t'inquiète pas ma soeur! J'ai mis Derdi sur le coup. Bon il est long mais j'espère!

Et sinon ma soeur! Et mon frère! vous devez être heureux que cette messe soit bien pleinne!

Et pourtant ce n'est pas gagné. Moi même je me suis perdu dans vos murs. J'était arrivé trop tôt parait il!

il rit

Titca écoutait sans vraiment le faire un peu perdu dans toutes les conversations, soudainement sa soeur arriva et la jeune femme sourit avant de lui coller une bise sur la joue, puis elle remarqua Thomas. Un sourire ce forma sur ses lèvres et elle s'approcha puis claqua un poutou sur sa joue dans un clin d'œil murmurant tout doucement.

Coucou toi, merci d'être venu ! J'espère que tu t'es réservé la journée ? Je tien à partage un verre avec toi après.

Dans un petit rire, elle s'autorisa un nouveau bisou et se redressa rougissant doucement, elle l'adorait le petit Thomas, mais ce n'était pas forcement le meilleur moment pour les retrouvailles. D'après le programme la choral allaient bientôt chanter, aussi la jeune femme s'assit près de lui et sourit, elle avait encore un petit moment tout de même, les cisterciens étaient connu pour prendre le temps après tout !? Fixent l'autel, la jeune femme haussa les épaules sans un mot et resta dans un silence. Les troubadours n'étaient pas encore la et le texte de la choral pas encore donner.

Alors comment vas Thomas ?! Pas trop fatigué par toute cette guerre et ses armées ?

Retraitant Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 30/11/2009

Boucles d'or avait suivi les indications délivrées par la soeur qui l'avait accueilli. Et elle ne s'était pas perdue en chemin, fait assez rare pour être souligné. Rassurée de n'être point trop en retard, contrairement à ce qu'elle avait craint, elle pénétra dans l'abbatiale et demeura quelques instants figée sur le seuil.

Impressionnante. Tel était le mot qui décrivait la vue qui se révélait à ses yeux. L'austérité de l'architecture, le dépouillement des pierres nues ornées de la seule lumière de l'astre du jour, tout concourait à faire ressortir la majesté des lieux. Malgré les goûts personnels de la poupée, qui la portaient à apprécier _ plus peut-être qu'il n'était raisonnable _ le faste et le luxe, impossible de rester insensible à cette calme pureté de cet endroit où nul décor ne venait distraire le fidèle de l'essentiel: la présence du Très Haut.

La môme balaya l'assemblée du regard, quelque peu intimidée de n'y trouver aucun visage connu si ce n'est celui de "Berry" qu'elle avait déjà eu l'occasion de croiser à Saint Antoine. Pas assez toutefois pour aller s'incruster et lui taper la causette ceci dit. C'est donc sur un banc encore inoccupé qu'elle prit place en attendant le début de la cérémonie.

Levée à l'aube, elle avoit mis la dernière touche à sa partie de la cérémonie, la closture.

Autant dire qu'elle aurait le temps de profiter de la messe, puisqu'elle n'aurait à participer qu'à la chorale et aux prières. Mais ceste cérémonie estoit importante pour elle, d'abord parce que c'estoit l'occasion de faire découvrir l'ordre aux laïcs et aultres croyants, de susciter peut estre de nouvelles vocations, et surtout, de célébrer un pape reconnu et apprécié par tous de part ses qualités et les actes accomplis durant son existence.

Profitant de ce que l'Abbaye estoit encore fort calme, elle avoit pris la liberté de se rendre au lavoir construit tout au bout du champ de houblon, alimenté par une petite rivière pas loin de déborder au vu des dernières pluies.
Là elle avoit procédé à une toilette vivifiante parce que faicte à l'eau très fraische de ceste journée venteuse et humide, puys avoit revestu les habits de cérémonie des cisterciens, soigneusement aérés et nettoyés quelques jours auparavant.

Lorsqu'elle entra dans l'abbatiale, elle se rendit compte qu'elle n'estoit point la dernière des cisterciens à arriver, mais point non plus la première ! Comme à son habitude, de faict, elle préféroit arriver avec la foule des moines et moniales plutost que de les précéder !

Elle adressa un sourire à ses frères et soeurs, un hochement de teste aux premiers invités, puys son regard accrocha une silhouette qu'elle reconnaistrait désormais entre mille. S'approchant du petit groupe formé autour de la comtesse de Nijmegen, Eloin s'inclina en une respecteuse révérence, tandis qu'un sourire erroit sur ses lèvres fines, heureuse qu'elle estoit de faire la cognoissance des estres qui sembloient compter énormément pour l'Académicienne Royale.

Vostre Grandeur, le bonjour et la bienvenue à Noirlac. Le voyage s'est-il bien déroulé ?

Un mouvement à l'entrée de l'abbatiale attira son attention, et c'est avec un nouveau sourire qu'elle invita sa filleule à la rejoindre d'un signe de la main.
Lorsque la duqueseta fut arrivée à sa hauteur, elle procéda aux présentations.

Vostre Grandeur, permettez-moy de vous présenter ma filleule, donaisela Elianor de Vergy, duchesse de Bellesme, baronne de Lesparre et de Castelnau de Médoc...

Duquessa, voici dame Arielle de Gilraen de Dénéré, comtesse de Nijmegen et Grande Académicienne Royale de France ; accompagnée de sa famille.

Retraitant Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 30/11/2009

L'arrivée de sa marraine soulagea la jeune boiteuse qui s'empressa de la rejoindre, non sans adresser au passage un courtois salut à son commensal héraldique.

Parvenue près de sa marraine, elle l'écouta en silence lui présenter la noble famille qui lui faisait face. Leur nom, bien sûr, ne lui était pas inconnu, mais là s'arrêtait ses connaissances en la matière. Ce qui ne l'empêcha pas d'incliner aimablement la tête pour les saluer. D'abord parce qu'on l'avait éduquée ainsi. Et aussi parce que la comtesse avait sur les traits une expression de douceur qui la rendit immédiatement sympathique à la miniature du sud.

Comtesse, c'est un honneur de vous encontrer, vous et votre famille.

Les mirettes émeraudes se posèrent discrètement sur le reste de la famille, époux et enfants visiblement. Et la poupée de se demander furtivement quel âge pouvaient avoir les deux fils du couple comtal. Pour une fois qu'elle rencontrait des personnes qui n'avaient pas l'âge d'être son père !

Retraitant Nombre de messages : 70 Date d'inscription : 03/09/2008

Le Duc aperçut dans l'assistance un homme qu'il avait connu dans ses fonctions diplomatiques, il le salua de loin d'un signe de la tête se disant que depuis son départ son ordre avait envoyé nombre de représentants qui ne duraient pas longtemps...

La vue de son amie le tira de ses pensées et il l'accueillit un large sourire aux lèvres :

Bonjour à toi ! Je venais vérifier que Noirlac n'avait pas changé depuis le temps...et te voir... et je compte bien rester la journée !

Lève la tête vers la cérémonie pour voir si elle a débuté, mais non, toujours pas, puis revient à son amie.

Je vais très bien, merci, et toi ? Tout le monde va bien dans ta petite famille ? Tu sais la guerre...les combats sont finis, mais...le plus dur c'est de négocier la paix..grimace.

Frère Uriel, avait murmuré la comtesse, fouillant dans sa mémoire. Je suis fort aise de vous revoir. Nous aurons certainement l'occasion de bavarder plus avant après la messe.

Son interlocuteur s'étant retourné pour répondre à d'autres salutations, Arielle en profita pour prendre la main de Persevael, qu'elle sentait un peu tendu, assis tout près d'elle. Elle espérait que sa chaleur allait le rasséréner.

Regarde comme la voûte est élevée, mon ange, glissa-t-elle à son oreille. Elle semble tenir là comme par magie. Ne sens-tu pas la présence du Très Haut céans?

Cernée par les siens, au milieu de cette foule pieuse, Arielle sentait bien cette présence lui réchauffer le coeur. Elle jeta néanmoins un regard en coin à son grand hurluberlu de garde du corps. Le message silencieux était clair à l'égard du Maure: pas d'esclandre en ce lieu saint!

C'est à ce moment qu'apparut Eloin. La comtesse l'accueillit d'un sourire chaleureux.

Dame Donatello-Bellecour, le bonjour à vous! chuchota-t-elle. Je vous remercie pour votre accueil. Le voyage a été long et inconfortable, comme c'est toujours le cas, mais il en valait la peine. Et vous, comment allez-vous?

La copiste académique fut alors rejointe par une jeune fille, boituse mais fort jolie, visiblement de noble famille. Icelle fut présentée à Arielle, qui l'embrassa d'un regard attentif. La petite duchesse devait être à peine plus âgée que son Persevael.

Votre Grâce, murmura la Dénéré, incapable de parler normalement. Vous me voyez ravie de faire votre connaissance. Permettez que je vous présente mon époux le comte Jeanjacob, mes fils Laurens et Persevael, et ma fille Rose.

Oisèle vit Art venir vers elle, il devait la trouver changer avec sa robe de moine… Lui qui l’a connaissait surtout en temps que Diaconesse la voyait aujourd’hui revêtant de grandes responsabilités pour la communauté Cistercienne… Discrètement il lui dit que justice temporel allais être rendu… Du moins c’est qu’ils espéraient tout deux… Néanmoins elle resta en retrait ne voulant pas inquiéter de trop ses frères… Elle regarda les fidèles entrés, des plus nobles aux plus pauvres… Tous étaient là pour rendre grâce au Très Haut et recommander l’âme de l’ancien Saint Père… Elle attendit encore un peu que les derniers visiteurs arrivent jusqu’en l’abbatial…

Retraitant Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 29/11/2009

Persevael, après les propos de sa mère et sentant que cette dernière lui tenait la main comme à un précieux trésor qu'il ne faudrait sous aucun prétexte lâcher, admira la grande voûte de l'abbatiale. Il faisait attention à l'architecture, se posant des questions sur le passé de ces lieux saints. Puis, il se tourna vers sa mère.

Oui maman, mais la magie n'existe pas. Tu es grande tu devrais savoir, C'est le Très-Haut qui fait tenir ces murs ! murmura-t-il à sa mère qu'il aimait tant.

Puis, il aperçut une femme ayant quasiment le même âge, qu'il trouva très belle. Cependant, il n'osa pas s'avancer et resta derrière sa mère, comme à son habitude, pour se protéger d'une quelconque attaque qui n'aurait jamais eu lieu. Il s'inclina cependant respectueusement devant la Dame qui avait parler à Arielle.

Son Excellence Thomas de Clérel fit un signe de tête à Landelin qui lui rendit la pareille en signe de respect.

L'Abbatiale quant à elle se remplit doucement et un brouhaha emplissait son espace.

Le jeune novice resta silencieux en attendant le début de la cérémonie...

La jeune femme auprès de son ami sourit en coin et rit même doucement à ses paroles, Noirlac était comme une forteresse sans garde, elle ne changeait pas, ne bougeait pas vraiment et rester toujours fièrement debout... Une chance, pour les amoureux d'une certaine routine ou simplement, comme Thomas les amoureux du calme et de la sérénité. Vu que la suite de la cérémonie dépendait de tous les cisterciens et de la choral. Titca avait le temps de bavardez avec son ami tout en surveillant du coup de l'oeil ses frères et soeurs.

Oh ben ma famille va bien ! Mon fils est je ne sais ou dans le duché du Maine, mon époux tranquillement en Guyenne pense faire des études au dragon et... le reste de la famille reste trop petits pour faire vivre sa vie. Sauf ma fille Corenne qui est sur les routes.

Ses yeux s'embrumèrent à cette simple pensée, il était dur d'avoir un membre de sa famille, une partie de son coeur loin, quelques part... Secouant la tête pour ce reprendre elle chercha à sourire tant bien que mal et regarda Thomas.

Je ne peux pas te retourner la question...c'est dommage un homme comme toi devrait être père depuis bien longtemps ! Mais dit moi que devient-tu... Je me suis inquiéter pour toi, beaucoup même... Les pigeons font la moue en Berry ?

Amusée de son humour un brin enfantin, elle rit... Mais il fallait rire, pour ne pas pleurer parfois.

La rousse se laissa embrasser par sa soeur comme une petite fille, lui rendant par la suite sa bise avec douceur. Puis, Typhanie s'adressa à un sire situé derrière elle, tournant la tête elle l'observa quelques instants. Le visage ne lui était pas inconnu... Fouillant sa mémoire, elle chercha où elle pouvait bien avoir croisé l'homme...Saint Aignan!!! L'image fusa à toute vitesse, à cette époque Titca voulait la marier, c'était le bon temps...

Un sourire assorti d'un signe de tête, destinés à ne pas troubler leur discussion, vint saluer le duc. Un autre coup d'oeil à l'assistance où une silhouette manqua de lui faire pousser un cri d'effroi...Les yeux fatigués l'instant d'avant reprirent vie mais avec une lueur effrayée, une flamme peureuse...

Elle devait rêvé, ce ne pouvait être lui. S'asseoir au plus vite pour ne pas défaillir, le premier banc qu'elle trouva était situé juste devant Thomas de Clérel, s'asseyant lourdement, presque à en tomber, la jeune rouquine essayait de se redonner une contenance, en proie à une panique intérieure...
Takoda revivait une scène de son passé lui ayant laissé un souvenir douloureux...Sa cicatrice! La fine main blanche en trouva le chemin rapidement, soulevant la mèche de cheveux roux.
Un soupire et les yeux se fermèrent....elle devait penser à autre chose.

So texte, la chorale allait chanter son texte, penser aux mots, rien qu'aux mots...Oublier....Loc, donne moi la force je t'en supplie. Elle rouvrit ses yeux verts et chercha dans la foule, il semblait avoir disparu. Elle se retourna vers Typhanie toujours en pleine discussion avec le Duc.
Un soupire de soulagement, s'échappant de ses lèvres, elle n'était pas seule cette fois.

Invité

Toute à ses préoccupations personnelles la brune castelroussine avait oublié de prendre la route pour Noirlac. Lorsqu’elle arriva enfin dans l’abbatiale, elle fut soulagée de constater que la cérémonie n’était encore point commencée…ou alors que de très peu. La foule s’agglutinait dans la nef et les bavardages y allaient bon train. La jeune femme en profita pour se faufiler jusqu’à un banc, prendre place et attendre le début de l’office. Ce faisant son regard azuré se noya dans la contemplation des vitraux, tandis que ses mains délicates jouaient machinalement avec une des lanières de sa ceinture.

Fondateur Nombre de messages : 4123 Date d'inscription : 24/05/2005

Le vieux roger arriva en toute hâte pour se joindre à la cérémonie entre deux siestes & une inspection de la cave à bière couplée à celle du garde-manger de l'abbaye. Roger est plein de miettes et semble tituber.

burps ... bonjour à tous ... mal à la tête à force de prier moi ... burps ...

Tipoison inclina la tete devant chaque personne qu'elle rencontrait en se présentant à chaque fois:

"bonjour, je suis Tipoison, réellement enchantée de vous connaitre"

Elle se fraya un chemin au milieu de la foule (laissant passer un moine l'air un peu ebouriffé,la robe un peu tachée et qui semblait trés gai...) pour aller s'assoir dans l abbatiale et se recueillit quelques instants avant le début de la cérémonie .

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