Toujours coller à son amour, qui déambulait avec assurance dans les couloirs de l'abbaye, Abrie devenait anxieuse. Elle n'était pas du genre pessimiste mais elle désirait tellement cette union qu'elle préférait relativiser pour ne pas être trop désespéré si des imprévus apparaissaient... Comme un refus de l'autorité ecclésiastiques. Certes elle psychotait parce qu'il n'y avait aucune raison de se refus, mais elle était comme cela la chataine.
Une fois planté devant la porte du bureau du grand prieur, la jeune femme embrassa rapidement Erasme dans le cou puis le laissa frapper. Stressée, elle ne se rendit même pas compte qu'elle écrasait la main de son amour...